Roland Blum

Léon BLUM, bien qu’élu grâce à un programme pacifiste est plutôt favorable à la guerre. Il pense que c’est souvent la bonne solution aux conflits. Avec le front populaire il veut relancer l’effort militaire. Léon BLUM est opposé aux accords de Munich car il pense qu’il y a une forme de lâcheté de la part de la France, de l’Angleterre d’avoir cédé aux exigences d’Hitler .De plus, la France abandonne la Tchécoslovaquie avec qui elle avait signé des accords pour garantir les frontières. L. Blum est

(journal socialiste français, crée en 1916, par des opposants à la guerre). Ce discours est prononcé par Léon Blum le 20 Septembre 1938, et nous décrit un homme partagé. En effet Léon Blum est “soulagé” d’avoir évité une guerre, mais à quel prix ? Le gouvernement français a donné son accord pour laisser la tchécoslovaquie, leur allié depuis de nombreuses années, à l’armée du Reich. Ainsi, Léon Blum se “[...] sens partagé entre un lâche soulagement et la honte [...]” Document 2. Ce document est un

réalité et traitant de sujets qu'il ne connaît pas bien) a ensuite très largement disparu, au profit d'une image positive d'hommes, appartenant certes à des professions intellectuelles, mais avant tout soucieux de défendre des causes justes. Léon Blum racontera, dans ses Souvenirs sur l'Affaire, comment, fin 1897, tous les "démarcheurs" de bonne volonté commencent à se partager la tâche. Tous ces "intellectuels" (entre autres Charles Péguy, André Gide, Marcel Proust, Daniel Halévy, Lucien Herr,

grandissante, Léon Blum, Maurice Thorez et Daladier vont s’unir. Pour lutter contre les fascistes, les partis de gauche se rassemblent. Les communistes du PCF se modèrent et s’allient avec les socialistes du SFIO et les radicaux. Au lendemain des manifestations anti fascistes et de défense de la république, du 12 février 1934, ils constituent le Front populaire, autour du programme électoral « pain, paix et liberté ». Ils y défendent les valeurs de la démocratie. Ainsi Léon Blum soutenu par les

organisations politiques s’opposent sur un même sujet : la guerre. Les ligues sont pour une guerre face à l’Allemagne, en effet, la plupart de ces dirigeants sont nationalistes, mais le Front populaire colle à l’élan pacifiste animant la France. Léon Blum, lui, n’a pas pour but le réarmement de la France. C’est alors que le régime politique de la France reste instable notamment par la conséquence de divisions entre le Front Populaire et les ligues qui sont les principaux partis en 1939. Le Front

grandissante les partis de gauche se rassemblent. Léon Blum, Maurice Thorez et Daladier vont s’unir pour lutter contre les fascistes. Les communistes du PCF s’allient avec les socialistes du SFIO et les radicaux. Au lendemain des manifestations anti fascistes et de défense de la république du 12 février 1934, ils constituent le Front populaire, autour du programme électoral « pain, paix et liberté ». Ils y défendent les valeurs de la démocratie. Ainsi, Léon Blum soutenu par les communistes, remporte les élections

économique reste inférieure à celle de 1929. La crise économique n’est pas résolue même après l’accord Matignon (7 Juin 1936) et les congés payés, les divisions politiques au sein du FP emportent le gouvernement de Léon Blum en Juin 1937 à cause des sénateurs radicaux. Léon Blum démissionne alors le 21 Juin 1937. Le FP est donc dans une très mauvaise phase jusqu’en avril 1938. En avril 1938, Edouard Daladier est alors désigné comme président du conseil, il y a alors une majorité de radicaux et droite

les années 30 en Europe, et à plus forte raison en France. La question se limite à l’année 1934, mais il me semble bon de signaler qu’en 1936, le Front Populaire, réunissant Socialistes (SFIO), Radicaux, et Communistes (PCF), et dirigé par Léon Blum, gagne les élections, dissout les Ligues et engage des réformes économiques et sociales qui apaisent les tensions, et ramène le calme dans le pays.

car l'élection du Front Populaire, avec comme Président du conseil Léon Blum, a permis à la classe ouvrière de bénéficier d'énormes avancées économiques, financières, sociales et culturelles. En effet, au lendemain de la victoire électorale du Front populaire, un puissant mouvement de grèves paralyse la France. Des négociations engagées entre syndicats et patronat sous les auspices du nouveau président du Conseil, Léon Blum, aboutissent, dans la nuit du 7 au 8 juin 1936, à la signature des accords

huelgas. ▪ La izquierda está dividida ( congreso de Tours de 1920) ▪ Los socialistas se dividen y la mayoría apoya a los comunistas, formando el partido comunista francés. La minoría restante se queda en el partido socialista( dirigente Léon Blum, periódico : “le populaire” ) ( Partido Socialista: SFIO = sección francesa internacional obrera = SFIC ▪ La reconstrucción y el pago de las pensiones provocan el endeudamiento del país. ▪ Alemania no paga las reparaciones de guerra