Role Du Protectionnisme

europhiles/eurosceptiques à l’approche des prochaines présidentielles. Le protectionnisme transcende les partis En effet, la crise que traverse l’Europe a fait émerger deux notions qui, du fait du climat anxiogène voire de panique, prennent davantage de consistance dans l’opinion publique : le protectionnisme et le souverainisme. Une enquête révélée par l’économiste et historien Emmanuel Todd indiquait que 53% des sondés étaient favorables au protectionnisme ; d’ailleurs, les plus fervents supporters du concept

compte le rôle des FMN qui peuvent exercer une concurrence monopolistique ou oligopolistique. La présence des économies d’échelle remet en cause la théorie de l’avantage comparatif. II- Les théories protectionnistes Le protectionnisme peut prendre la forme de barrières tarifaires ou non tarifaires. Dans les deux cas, il s'agit de protéger l'économie nationale et son marché de la pénétration de produits étrangers soit par les droits de douane soit par des normes ou des quotas. Le protectionnisme entraîne

.................. 35 INTRODUCTION .......................................................................................... 35 SECTION I : LE LIBRE ECHANGE ET LE PROTECTIONNISME ................ 35 A/ Le libre échange .................................................................................... 35 B / Le protectionnisme ............................................................................... 37 SECTION II : LE DEVELOPPEMENT DES ECHANGES INTERNATIONAUX ......................

relations commerciales avec le reste du monde : 1) Une politique commerciale pragmatique et mercantiliste : a) Une ouverture commerciale limitée : Même si le Japon est l’un des signataires du GATT, il est régulièrement taxé de protectionnisme par les dirigeants économiques et politiques des pays partenaires. Jusqu’en 1945, le Japon connaît une alternance de périodes de semi-fermeture et d’ouverture. La première ouverture est forcée, imposée par Perry. Mais dans le cadre de l’industrialisation

commencé il y a un siècle et demi. Mais le processus n’est pas linéaire : la Première Guerre mondiale puis la grande dépression des années 1930 suscitent la montée des nationalismes étatiques, une fragmentation des marchés, le grand retour du protectionnisme. La mondialisation n’est plus à l’ordre du jour jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide et la constitution des blocs figent ensuite le monde pendant près d’un demi-siècle. Pourtant, la mondialisation actuelle est déjà en train de

échanges. Section 1 : Les fondements des échanges internationaux 1. Les explications libérales de l’échange international * Les mercantilistes prônaient le protectionnisme. On est au 17ème siècle. * Les physiocrates sont contre les mercantilistes et veulent libéraliser les échanges. Ils sont contre le protectionnisme (« Laisser faire, laisser passer »). On est au 18ème siècle * Smith écrit son livre en 1776 : Théorie des avantages absolus Un pays a intérêt à se spécialiser

de paiements (carte de paiement, chèques, virement, etc…). Chapitre 2 – La création monétaire I) La masse monétaire C’est la quantité de monnaies en circulation dans une économie : monnaie fiduciaires + monnaies scripturales. II) Le rôle des banques dans la création monétaire 1) La Banque de France Elle fabrique les pièces et les billets. 2) Les banques commerciales Ces banques sont à l’origine de la création monétaire. La masse monétaire est créée avec le crédit. Exemple :

pour s’interroger sur l’effet du GATT puis l’OMC sur l’évolution des échanges mondiaux. L’OMC vient justement combler les lacunes du GATT qui n’était plus adapté à la conjoncture du commerce mondial qui a donné naissance à de nouvelles formes de protectionnisme taillées pour contourner les principes du GATT. Les négociations, dans le cadre de l’OMC, ont pour objectif principal de faire évoluer les règles favorisant le libre-échange. Résumé L’auteur commence dans l’introduction par faire le constat

ainsi à instituer les prémisses du capitalisme libéral tel qu’on connait aujourd’hui. Des valeurs libérales, directement tirées du siècle de lumières, promeuvent les libertés individuelles, tant dans le domaine économique que politique ; l’Etat, ayant rôle de gendarme, doit alors assurer le maintien d’une structure stable permettant aux individus d’agir selon leurs intérêts propres. Ces valeurs s’accordent parfaitement au capitalisme, qui stipule que seul la somme des individus peut régir le marché,

du monopsone et surtout, plus fréquemment, de l’oligopsone (marché de certaines matières premières, défavorable à certains pays pauvres, encore que la faim actuelle de matières premières [Chine] modifie les données) ; • Les inconvénients du protectionnisme (limitation de la concurrence étrangère) : spécialisation inefficace, risque de sclérose de l’appareil productif national maintenu à l’abri, autant d’effets défavorables aux consommateurs. 1 Conclusion partielle – Reprise de l’idée-générale