Role Du Protectionnisme

un marché international de capitaux en plein expansion remettant en jeu la stabilité monétaire internationale, le développement du commerce international dépassent le niveau des productions nationales, le rôle grandissant des nouvelles technologies de communication et des télécommunication, le rôle grandissant des firmes multinationales, l’émergence des nouveaux pays industrialisés ( les pays du sud East asiatique (chine, inde), certaines pays d’Amérique latine, l’Afrique) accaparent une grande part

Le rôle des instances internationale 1947 le GATT est crée, en 1995 il disparait. Il est remplacé pas l’OMC (Organisation mondial du Commerce). 40% de niveau moyen des droits de douanes en 1947 et 4% en 1995. On a remplacé le GATT par l’OMC pour donner un pouvoir de sanction (amende), élargir les domaines de libéralisation économique : Elargir premièrement les mesures de libéralisation (pousser les pays a retirer les mesures qui empêchais les importations). Légiférer le protectionnisme agricole

l’achat de nouvelles machines, pour l’extension de son activité… Ainsi, c’est l’époque du développement des banques d’affaires comme celle des Rothschild et du développement des grandes bourses mondiales comme celle de Londres, New-York ou Paris.  → Le rôle des Etats (troisième acteur principal de cette croissance économique). Ces Etats soutiennent la croissance économique par leurs choix économiques et commerciaux, leurs politiques monétaires, leurs mesures douanières et leurs investissements.   Partir

mais à des périodes différentes. Les points communs : Culturel : il s’est imposé partout et où il s’est imposé, on a relégué la parole divine. Le rôle du marchand devient important alors qu’il était avant méprisé. 1 objectif : enrichir l’Etat. L’argent développe la puissance d’un pays. C’est la première forme d’économie politique. Protectionnisme Anton Függer, héritage (Noblesse pense que le travail est dégradant ; Clergé « mieux vaut mendier qu’emprunter). Keane a été condamné pour avoir

sur le marché : Quiconque veut s'adonner à une certaine production peut le faire sans restriction ni délai. Les firmes qui composent l'industrie ne peuvent s'opposer à l'arrivée de nouveaux entrants. il ne doit y avoir aucune entrave tarifaire (protectionnisme), administrative (numerus clausus), technique à l’entrée d’un offreur ou d’un demandeur supplémentaire. La libre entrée suppose de manière plus générale que les nouveaux entrants ne font face à aucun désavantage face aux insiders et peuvent aisément

sociétés restent très souvent localisées dans ces pays mais se livrent désormais à un assemblage de composants qui proviennent d'ailleurs tend à masquer l'impact global de ce processus. La capture de la valeur ajoutée par ces entreprises tend à minorer le rôle des sous-traitants. Quand on tient compte de ces biais comptables, même un pays comme l'Allemagne connaît la désindustrialisation. Les économistes allemands parlent d'ailleurs du passage du " made in Germany " au " made by Germany ". Si l'on raisonne

fixe, à la différence de celui de toutes les grandes nations qui ont opté pour le régime des changes flottants à la fin des accords de Bretton Woods, sous Nixon, en mars 1973. Le protectionnisme monétaire est un protectionnisme, efficace. Or, l'OMC ne traite que des protectionnismes douaniers et non monétaires. Ce rôle incombait autrefois, en système de change fixe, avant 1973, au FMI. La surcroissance économique de la Chine s'explique par cette arme qui a amplifié structurellement les déficits

Rôle de la répartition dans la croissance depuis le XIXème siècle Actualisation : Allocution de N. Sarkozy qui revendique un partage équitable de la VA : 1/3 K, 1/3 W, 1/3 Fonds (actionnariat…) Au XIXème : Théorie de la plus-value de Marx. Loi des rendements décroissants de Ricardo Etat stationnaire qui peut-être évité par le libre échange. Livret de l’ouvrier, qui permet de suivre les pérégrinations de l’ouvrier au cours de sa vie professionnelle. On encourage à cette époque l’accumulation

financière et bancaire. Nombreux problèmes à venir. La montée du protectionnisme pourrait également briser l’intégration politique. Cc : Le « policy-mix » européen, habituellement si critiqué pour sa rigidité et le caractère contraignant des institutions l’encadrant, semble relativement opérant en ce qui concerne la sortie de la crise des « sub-primes » : la BCE mène une PM fortement expansionniste et laisse les Etats membres jouer leur rôle de « prêteur en dernier ressort », le PSC est mis de côté ce

finances publiques. Il faut également accroître l'effort de coordination des plans de relance pour que les pays s'entendent sur les instruments à utiliser, assurent la rapidité et l'efficacité de leur mise en œuvre et coupent court aux rumeurs de protectionnisme. La possibilité pour la BCE de créer une ligne de crédit spéciale pour l'achat de billets de trésorerie pourrait, par exemple, permettre de relâcher la pression sur ce point en limitant le recours aux Etats pour le refinancement des grandes entreprises