Rollback

) 9 || ' -> ' || :OLD.ename ) ; 10 End ; 11 / Déclencheur créé. Supprimons maintenant un employé SQL> set serveroutput on SQL> delete from emp where empno = 7369 2 / Suppression de l'employé n° 7369 -> SMITH 1 ligne supprimée. SQL> rollback; Annulation (rollback) effectuée. La DRH annonce que désormais, tout nouvel employé devra avoir un numéro supérieur ou égal à 10000 Il faut donc interdire toute insertion qui ne reflète pas cette nouvelle directive SQL> 2 3 4 5 6 7 ; 8 9 10 CREATE OR REPLACE

Exemple : SQL> DELETE FROM emp; SQL> DECLARE 2 PRAGMA autonomous_transaction; 3 BEGIN 4 INSERT INTO dept values (60,‟STOCK‟,‟CASA‟); 5 COMMIT; 6 END; 7/ SQL>ROLLBACK Un autre exemple: INSERT INTO emp values(6000,….); SAVEPOINT sp1; DELETE FROM emp; SAVEPOINT sp2; INSERT INTO dept values(…); END; / Rollback to sp2; Rollback to sp1; Rollback; Identificateurs - Le nom de tout objet PL/SQL (variables, curseurs, expression…) doit commencer par une lettre suivi de symboles (lettres, chiffres.$,_,#)

caspistrano -Automatisé livraison sur plusieurs serveur en même temps -utilise ssh -> le compte ‘exploit ‘ du serveur -capifly -capifly |–config/deploy -role : je veux tel chose sur web/app/db(database) -nous on a un seul serveur web/app -rollback annule ce qui a été fait s’il y a une erreur -dire où livrer -Livraison : jouer test unitaire (migration de asphing->capistrano) -apache = httpd -Ne pas oublier d’initialiser le dossier où l’on veut notre livraison.  Cotation des prochains

jusqu'au prochain COMMIT ou ROLLBACK. Remarque : un COMMIT automatique est effectué en fin de session SQLPLUS. • ROLLBACK : invalide toutes les modifications effectuées depuis le dernier COMMIT. En cas de panne (logicielle ou matérielle), Oracle effectue un ROLLBACK automatique des transactions non validées (par un COMMIT) • SAVEPOINT : permet de définir un point de validation intermédiaire pour ne défaire qu’une partie de la transaction. Exemple : savepoint val1 ... rollback to val1 Remarque : Tous

likely SQL server abruptly went down/restarted in the middle of a transaction and while coming back, SQL http://www.sqlservercentral.com/articles/Database+in+suspect/69133/Printable 2/8/2010 Page 2 of 3 server could not complete (commit/rollback) the transaction. At this point, I recommend you to take a decision. If you have a good backup and can restore the database in an acceptable time up to an acceptable point, then go ahead for it. But if restore is not an option at this point, then

IMMEDIATE : Oracle déconnecte tous les utilisateurs (en effectuant un ROLLBACK des éventuelles transactions en cours) puis ferme proprement la base. - TRANSACTIONNAL : Oracle attend que toutes les transactions en cours se terminent avant de déconnecter les utilisateurs (pas de nouvelle transaction autorisée) puis ferme et démonte proprement la base. - ABORT : Oracle déconnecte tous les utilisateurs (sans effectuer de ROLLBACK des éventuelles transactions en cours) puis ferme brutalement la base

correctement (Commit) Sinon retour à l’état initial (Rollback) Alami Laila 7 Transactions ACID Contraintes     Atomicité Cohérence Isolation Durabilité Alami Laila 8 1. ACID : Atomicité Une transaction doit s’effectuer en tout ou rien Alami Laila 9 ACID : Cohérence  La cohérence des données doit être assurée dans tous les cas. Dans les cas d’erreur : le système doit revenir au dernier point de cohérence (Rollback) Exemple : Transfert d’argent d’un compte bancaire

2. Gestion des transactions partagées : JTA JTA est une API fournie dans la version J2EE de Java. Elle permet une gestion à distance des transactions. Le principe est similaire à celui de JDBC du coté client : on appelle les fonctions commit() et rollback() d’une instance de l’objet UserTransaction (javax.transaction.UserTransaction) comme si on appelait les méthodes de Connection. Cependant, la transaction n’est pas gérée du coté client, mais l’appel de ces méthodes invoque les méthodes correspondantes

l'ouverture d'une socket permet le transfert des tuples au client. A l'exécution d'un COMMIT, les écritures de la transaction sont transférées du journal interne vers le journal externe (log file) créé sur le disque dur. Au contraire, avec le ROLLBACK, les modifications et les écritures effectuées sont défaites pour revenir à l'état de la base correspondant à celui du début de la transaction. Cette opération sous-tend l’écriture des anciennes valeurs. Exemple d’un traitement d’un ordre de requête simple 

employés sont ajoutés en une seule transaction et si cette contrainte n'est vériée qu'à la n de la transaction. Si une contrainte est diérée et si elle n'est pas vériée au moment du commit de la transaction, toute la transaction est invalidée (rollback) automatiquement par le SGBD. Pour diérer la vérication d'une contrainte à la n de la transaction, on procède en 2 étapes : 1. Au moment de la déclaration de la contrainte, on indique qu'on pourra diérer sa vérication : CONSTRAINT truc