Roman industriel

décrète que tout événement, objet, être, chose ou action sont dignes d'être des sujets littéraires et qu'ils doivent être rendus de manière véridique (= réaliste). C'est ainsi qu'émergent les ouvriers, les artisans ou encore les prostituées dans le roman. Les thèmes abordés concernent principalement l'influence du milieu sur les individus, la vie urbaine ou provinciale et les misères et ascensions sociales. Les principes de ce mouvement reposent sur la reproduction la plus parfaite possible de la

l'introduction du concret dans le domaine de l'art. Les écrivains sont alors soucieux de représenter et d'analyser la société. Au XIX°, le contexte politique amène les écrivains à se détacher de l'idéalisme romantique, d'autant que la révolution industrielle bouleverse la vie économique et sociale du pays ( développement des banques et du crédit, avènement de la bourgeoisie, développement des entreprises, premiers grands commerces...). Derrière l'écriture réaliste se trouve l'idée d'un combat pour

objective. Ce mouvement renforce certains caractères du réalisme, le romancier vérifiant expérimentalement dans ses romans le rôle des déterminismes sociaux sur l'individu et le groupe. Le naturalisme est né à la suite de mutations de classe sociales et politique durant les années 1860-1870. En effet, en 1860 lorsque le naturalisme nait au même moment la révolution industrielle provoque une modification des classes ouvrières et donc des revendications sociales C’est Zola qui définit particulièrement

culturel du XIXe siècle qui s’oppose au romantisme. Un roman réaliste s’inspire de la réalité de la vie, et non de l’imagination de son auteur. L’auteur montre la réalité telle qu’elle est avec des lieux authentiques dans leur descriptions ; des personnages décrits en détails et le plus réaliste possible et en dégageant de vraies émotions. Le contexte historique et la vie du peuple ont une importance dans un roman réaliste mais il n’y a pas que les romans qui sont réalistes, les peintres peignent le réel

Camus met en scène un personnage atypique qui présente de au début de l’œuvre des attributs des anti-héros. Un personnage de roman peut-il être selon vous un anti-héros ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les textes étudiés en classe et sur vos lectures personnelles. Le héros a été pendant longtemps le personnage central de la tragédie, puis du roman. Dans la mythologie gréco-latine, le mot « héros » désigne un demi-dieu, supérieur à l’humain comme Hercule ou Achille. Le

Les naturalistes introduisirent dans leurs romans des descriptions scientifiques et objectives des réalités humaines : ces auteurs montraient la société telle qu’elle était, aucun sujet n’était tabou. Le Naturalisme étudie l'hérédité et le milieu, le monde du travail, les paysages urbains et les défauts physiques et psychiques. De plus, le monde ouvrier occupe une place importante dans le Naturalisme, avec le thème du machinisme et la révolution industrielle. Influences scientifiques : Ces deux

sont les procédés d’écriture employés Du point de vue de l’écriture, les naturalistes héritent des réalistes dont Flaubert. Pour ces derniers l’important est de représenter les transformations de la société du XIXème siècle avec le développement industriel et les fonderies, la machine à vapeur, développement de l’électricité, commercial avec l’arrivée des grands magasins et scientifique grâce à de grandes découvertes tels que les vaccins, les rayons X, l’anesthésie, le tout sans rien embellir.

Le Personnage de Roman Stendhal « Le triomphe de Julien » Balzac « Rastignac à l'opéra » Zola « La politique commerciale de Mouret » Maupassant « Le mariage de Du Roy » Définition du roman : Roman : histoire écrite en langue romane (différent du latin savant). Les récits sont accessibles à tous dans la langue du quotidien, ce sont généralement des romans de chevalerie qui possède une histoire d'aventure mais aussi une histoire d'amour. 1810-1850 : Roman Romantique (Stendhal

dicté par le devoir. Œdipe et Antigone, Achille et Ulysse, Lancelot et Siegfried, Hamlet et Macbeth ont en commun l'invariabilité : sauf en de rares moments de faiblesse ils vont dans le sens d'une même éthique supra ou extra-humaine. Le « héros de roman », par contre, obéit à la loi du changement. Il suit un itinéraire jalonné d'obstacles ou de conflits qui le modifient, sinon le transforment. Au terme de leur aventure, Rastignac, Julien Sorel, Raskolnikov, Emma Bovary, Lord Jim ne sont plus les mêmes

jette les bases dans son ouvrage théorique Le Roman expérimental. Zola explique qu'il a pris le parti du naturalisme, doctrine par laquelle il essaie d'élever la littérature au rang de science exacte. Zola narre en un cycle de vingt romans constituant une grande fresque romanesque « L'histoire Naturelle et Sociale d'une famille sous le Second Empire » ainsi que l'indique le sous-titre donné à l'ensemble de son oeuvre sur les Rougon-Macquart. Dans son roman La Bête humaine (1890), Zola met en scène Jacques