Roman Perfection

Mlle de Chartres => Princesse de Clèves (jeune mariée avec Prince de Clèves) INTRODUCTION : - Mme de La Fayette (1634 – 1693) *Aristocrate ayant vécu à la cour + Femme de lettres - La Princesse de Clèves: *Roman classique assez bref + inhabituel ( différent des romans fleuves) + analyse psychologique des personnages * Extrait: peu après le mariage de l'héroine (→ n'aime pas son époux) * coup de foudre entre Princesse – Duc de Nemours * Comment Mme de La Fayette renouvelle

 reçoit tous les samedis à l'hôtel du Marais,  des bourgeoises férues de romans, des anciens de l'hôtel de Rambouillet et des écrivains  célèbres (comme Paul Scarron). C'est chez elle qu'apparaît le terme «précieux», et que l'on  invente La carte du tendre ( représentation allégorique du pays de l'amour). Ces salons vont influencer les auteurs de cette époque qui, à travers la pratique du  portrait littéraire, de la maxime, du roman, et de la lettre, renouvellent la littérature  baignant dans un raffinement extrême qui inspirera le libertinage

Autonomie du roman Gustave Flaubert est généralement classé parmi les écrivains réalistes, même s’il refuse ce qualificatif. Flaubert est certes un observateur, et son travail littéraire repose en effet sur une large documentation, mais ses oeuvres sont avant tout le produit d’un style unique, lentement travaillé. Pour cette raison, Flaubert préférait dire que ses oeuvres ne renvoyaient à rien d’autre qu’à elles-mêmes. Gustave Flaubert est né dans une famille de chirurgiens des environs de

Henri Coulet définit le roman comme « une œuvre en prose, un genre sans forme préétablie qui ne montre que le concret, une fiction, une histoire, un récit. » Stendhal a dit : « Un roman est comme un archet, la caisse du violon qui rend les sons, c’est l’âme du lecteur. » Ainsi, on peut se questionner sur l’influence du roman sur le lecteur voire même sur ses aspirations. Par exemple, peut-on reprocher au roman d’entretenir les rêves et illusions du lecteur ? Apparemment non, pourtant on peut trouver

Vautrin, protagoniste du roman réaliste de Balzac Le Père Goriot, à travers un long discours à Rastignac, son « élève », veut, dans cette « leçon de vie », apprendre au jeune étudiant inexpérimenté à « parvenir » dans la société parisienne. Son absence totale de conscience morale, son assurance et ses qualités d’orateur font de Vautrin un tentateur, un diable incarné. 3. Les personnages héroïques, modèles Le personnage extraordinaire a une vie plus intense ; l'intrigue du roman en devient captivante

critique d’art, véritable déchéance aux yeux de Balzac. La contrainte, si elle est matérielle, réside aussi dans la forme. L’écrivain se plie à un genre et aux règles qui lui sont propres, lesquelles peuvent le mener, à force d’exercices, à la perfection. Ainsi Racine, en dépit d’un très faible corpus de mots, parvient-il, par l’entremise d’une connaissance solide de la métrique et de la prosodie, à susciter des émotions tout aussi fortes que lors d’un représentation du Roi Lear de Shakespeare,

personnages de roman qui n’inspirent pas de sympathie. Un personnage médiocre peut-il être un héros de roman ? Vous répondrez à cette question dans un développement composé en vous appuyant sur les textes du corpus, sur vos lectures personnelles, ainsi que sur les œuvres étudiées en classe. Invention Après le départ de Julien, Mme Derville s’approche de Mme de Rênal et la met en garde contre le jeune homme. Imaginez cet épisode. PLAN : Un personnage médiocre peut-il être un héros de roman ? Les

l’art, un nec plus ultra sans issue » Vous discuterez ces propos d’André Gide sur la Princesse de Clèves (NRF, 1913, Les dix romans français que … Incidences, p151-158) ********************* La Princesse de Clèves est considéré comme l’un des premiers romans d’analyse, plaçant son auteur, Mme de La Fayette au panthéon des grandes romancières. Le genre du roman d’amour se trouve alors renouvelé par le fait de privilégier l’analyse du sentiment amoureux et c’est bien l’expression du sentiment

Salammbô (= guerre contre Carthage dans l’Empire romain, Salammbô = prêtresse carthaginoise, parle de la révolte des esclaves…). Avec L’éducation sentimentale = il revient à un roman parisien, il y décrit une génération perdue. On y voit Frédéric Moreau (= son évolution) de 18 ans à l’aube de sa vieillesse. On s’attend à un roman d’apprentissage, mais finalement, le personnage n’apprend rien, ses passions ne le mènent nulle part (ex : Marie Arnoux). Il s’abandonne à sa passion, sa vie est une suite

et du roman d'aventure en contant l'histoire de deux amants séparés qui cherchent à se rejoindre. Les épisodes s'enchainent avec rapidité, et servent de prétexte à une critique politique, religieuse et sociale. Qu'il s'agisse du fanatisme ou de la cupidité des prêtres, des abus de la noblesse, de la bassesse des courtisans, de la vanité des despotes, de la vénalité des ministres et des juges, Voltaire a toujours son coup de griffe à donner. PERSONNAGES Candide : Il s'agit de l'héros du roman, qui