Roman psychologique

L’attente du lecteur de roman est le plus souvent de « se plonger » dans une intrigue, de suivre des personnages dont l’histoire va le divertir et l’émouvoir, voire de s’identifier à eux. Ce processus est facilité par les moyens mis en œuvre par le romancier pour donner de la « chair » à des personnages imaginaires. Pourtant l’enjeu du romancier, qui imagine et construit ses personnages, est-il seulement de faire oublier au lecteur qu’ils sont fictifs, d’en faire en quelque sorte des personnes

La princesse de Clèves Introduction : -roman de mme de LaFayette (1678) (renaissance) -publié sous un pseudonyme (Claude Barbin) puis en 1780 Lafayette apparaît sur l’œuvre -roman moderne car premier roman d’analyse psychologique et fin du roman courtois médiéval -XVII marqué par la préciosité (contraste) -roman encré dans la vraisemblance (vraisemblance historique : cour de Valois d’Henri II + vraisemblance psychologique : évolution naturelle des sentiments) -présenté comme l’inspiration

Oe : Le roman et ses personnages : vision de l’homme et du monde : Leçon récapitulative Le roman 1 action et personnages a) les actions Le récit rapporte une suite d’actions qui se déroulent selon un certain ordre. Cet ordre peut être chronologique mais un récit peut également jouer avec la chronologie, par exemple en racontant la fin de l’histoire. On peut le définir comme un processus de transformation qui conduit par étapes d’une situation initiale à une situation finale. (Situation initiale

1 le roman s'eforce d'etre le miroir d'une societe 2 il amene aussi le lecteur a reflechir sur soit meme 3 mais il ne se contentepas de refleter il transmet aussi une vision du monde e mieux, avec ce sujet, est de tirer parti de l'image utilisée par Stendhal. Ce qui est suggéré, c'est que le roman ne serait qu'un miroir. C'est-à-dire que le roman le plus abouti serait une image, un reflet de la réalité qu'il capte. C'est bien l'ambition du réalisme qui voudrait rendre compte de ce qu'il observe

DE ROMAN Le personnage est un élément essentiel du récit, « le point d'ancrage et l'intérêt majeur » selon un critique Vincent Jouve. Mais, au cours de l'histoire, il a connu des développements variés. Etymologie: « personnage » vient de « persona» signifiant « masque » : il désignait le rôle tenu par l’acteur dans le théâtre antique. Du théâtre, le mot est passé au récit pour désigner une personne fictive. \Des premiers récits (en prose ou en vers) jusqu'aux romans du

Princesse de Clèves (jeune mariée avec Prince de Clèves) INTRODUCTION : - Mme de La Fayette (1634 – 1693) *Aristocrate ayant vécu à la cour + Femme de lettres - La Princesse de Clèves: *Roman classique assez bref + inhabituel ( différent des romans fleuves) + analyse psychologique des personnages * Extrait: peu après le mariage de l'héroine (→ n'aime pas son époux) * coup de foudre entre Princesse – Duc de Nemours * Comment Mme de La Fayette renouvelle la scène de

CRITIQUES DE LIVRES LA NEIGE EN DEUIL Henry TROYAT. (Flammarion, éditeur) (Revue " La Montagne " - No 361, 1953) En deux mots, voici l'argument de ce roman : un avion percute une montagne imaginaire (le Mont Blanc). Un guide (René Payot) se tue à la tête d'une caravane de secours. Clandestinement, deux paysans parviennent jusqu'à l'épave. Venus pour piller, ils découvrent une survivante... On le voit, Henri Troyat s'inspire d'épisodes authentiques. Le scénario est admirablement construit.

ensemble de 96 œuvres, comprenant des romans, des nouvelles, des contes et des essais, selon la liste fournie par la Maison de Balzac1, des textes réalistes, fantastiques, ou philosophiques. Vingt-cinq œuvres ébauchées, regroupées sous le titre Ébauches rattachées à la Comédie humaine, y sont également associées dans le tome XII de la Bibliothèque de la Pléiade, ce qui porte le nombre d'œuvres de La Comédie humaine à 121. À cela peuvent s'ajouter les huit romans de jeunesse écrits entre 1822 et 1825

La Comédie humaine est un ensemble d’ouvrages d'Honoré de Balzac de 137 œuvres comprenant 95 romans, nouvelles, essais[1] réalistes, fantastiques, ou philosophiques, mais aussi des contes, des essais, et 25 œuvres ébauchées, regroupées sous le titre Ébauches rattachées à la Comédie humaine[2], ainsi que 8 romans de jeunesse écrits entre 1822 et 1825 sous divers pseudonymes, reniés par leur auteur, mais réédités dans les volumes I et II des Œuvres diverses[3] où l'on trouve les germes et les thèmes

noble. Le 15 Février 1600, épouse Diane de Châteaumorand. Écrit en 1604 son premier poème, La Sireine => défend les théories platoniciennes. En 1607, H. D’Urfée commence à écrire L’Astrée, roman précieux (+ œuvre la plus connue). Divisé en 4 parties, fin du roman publié en 1627 => s’inscrit dans la tradition des romans hellénistiques (troubadour). Meurt en 1925 en guerre contre les Espagnols. L’action se déroule au V° siècle à Forez (nom du pays natal d’H). => image de l’Eden pastoral, royaume pacifique/miraculeux/isolé