Roman Sans Personnage

(Sujet : La découverte des personnages est-elle selon vous la principale source d’intérêt lorsqu’on lit un roman ?) Dans le roman, il y a toujours une présentation des personnages. Lors de l’étude d’un roman, une problématique apparaît : « Pour autant, est-elle la principale source d’intérêt lorsqu’on lit un roman ? ». Pour disserter sur ce sujet, il est nécessaire de se pencher sur trois plans. Le premier sera l’intérêt que suscite la présentation des personnages sur le lecteur ; le deuxième

trois différents romans : un de fin du XIXème siècle et les deux autres de début du XXème ayant pour thème principale l'assassinat d'un des personnages du roman. La description de la nature et des lieux est beaucoup présente dans les trois textes. En effet le corpus est composé de l'extrait dont Thérèse et Laurent tuent Camille tiré du livre Thérèse Raquin écrit par Zola en 1867, d'un extrait du livre La Condition humaine écrit par André Malraux en 1933 dans lequel le personnage principale : Tchen

Un roman tourne autour de la vie et des sentiments de plusieurs personnages. Mais celui qui nous attire le plus, nous lecteur, c’est le personnage principal ; celui qui partagera ses sentiments, qui sera confronté à plusieurs situations, celui qui est au cœur de l’histoire. Et nous pouvons choisir de s’identifier, ou non, à celui-ci lors de la lecture. L’appréciation d’un roman varie selon les critères de différentes personnes. On peut donc alors se demander si un lecteur a besoin de s’identifier

mieux leurs personnages de la réalité. Mais un lecteur a-t-il besoin de s'identifier au personnage principal et de partager ses sentiments pour apprécier un roman ? Dans un premier temps, le lecteur est plus captivé par un roman quand le personnage principal lui ressemble, mais un personnage ne peut pas être le reflet exact de l'individu. On peut alors penser que l'auteur veut que le lecteur puisse s'identifier à son personnage. Tout d'abord, le lecteur lira plus facilement le roman si il peut

I. "Le roman: c'est comme un miroir que l'on promène le long d'un chemin" 1) Les auteurs réalistes et naturalistes veulent "copier" la réalité Dans le Père Goriot, Balzac décrit l'ascension d'un jeune étudiant en droit dans la haute société parisienne de 1809. 2) Les écrivains ancrent leurs personnages dans un cadre réaliste Dans Thérèse Raquin de Zola, le roman s'ouvre sur une description du passage du Pont-Neuf (boutiquiers, dalles jaunâtres, l'atmosphère insalubre...) II

Sujet de dissertation : Un personnage de roman doit-il nécessairement surmonter des épreuves pour être considéré comme un héros de fiction ? Se distinguant par ses actes courageux avec lesquels il se met en valeur dans de nombreux romans, le héros suscite une fascination chez le lecteur. Mais les différents genres littéraires qui ont traversé et traversent nos siècles n'ont pas tous dans leurs romans donnés au personnage principal le titre de “héros”. En considérant le héros qui accomplit des

Maxime van Caemerbeke 1ere L Devoir maison Question : « Dans les textes 1 et 2, les personnages nous sont ils présentés de la même manière et avec les mêmes qualités ? » Notre corpus est composé de quatre textes, tous extraits de roman. Il y a un texte écrit en 1876 par l' Amiénois Jules Verne, Michel Strogoff, un autre, Voyage au bout de la nuit, principal œuvre de l'auteur Céline, puis un extrait du roman Aurélien d'Aragon, et enfin, un extrait de l'Extension du domaine de la lutte, écrit par

Quelle sont la place et les fonctions du personnage de Mme de Sainte Colombe dans le roman et dans le film Tous les Matins du monde? Introduction : Le roman de Quignard, Tous les Matins du monde, adapté en 1991, à l'écran par Alain Corneau, met en scène deux musiciens méconnus, Sainte Colombe et Marin Marais. Si la narration souligne les rapports de complémentarité et d'opposition entre ces deux personnages, dont l'un incarne le don absolu de soi à son art et l'autre la mondanité, elle se concentre

INTRODUCTION Les historiens, tâchant de penser rationnellement le cours de l'histoire et de donner un sens au flux chaotique des faits, isolent un certains nombre d'événements et de personnalités dont ils font la trame de leur récit. Parmi ces personnages, un petit nombre accède au rang de héros de l'histoire. La singularité du héros en fait un élément indispensable du devenir historique, en ce qu'il est présenté comme celui qui fait dévier le cours de l'histoire et l'oriente vers quelque chose de

Colloque d’esthétique ESA – 27-29 mai 2010. Le personnage de fiction est-il absolument et entièrement fictionnel ? Où tracer la frontière entre personnages et personnes ? En philosophie analytique contemporaine, la question de la fiction semble se focaliser plus précisément sur celle des êtres fictionnels. Se pose le problème ontologique de savoir s’ils existent, et si oui, de quelle manière : sont-ils des possibilia (Kripke), des objets abstraits (P. van Inwagen), des entités artéfactuelles