Ronald Coase

Moyen Âge (où il désignait le mode d’organisation du pouvoir féodal), le terme de « gouvernance » est réapparu dans les années 1930 aux États-Unis dans le domaine de l’économie, et plus précisément de l’entreprise, en particulier avec un article de Ronald Coase, « The Nature of the Firm » (1937)[1]. Puis, dans les années 1980, le terme de « Corporate governance », ou en français « gouvernance d’entreprises », s’est répandu dans les milieux d’affaires américains. La notion de gouvernance a alors été importée

la performance On s’accorde aujourd’hui à penser et à accepter que le fonctionnement de l’organisation est un facteur déterminant de la performance, tant des entreprises situées en milieu concurrentiel que des organismes publics. A cet effet, Ronald Coase (économiste, 1937), considère que le recours au système néoclassique des prix a un coût (remettant en cause l'hypothèse néoclassique d'information parfaite, une des conditions de la concurrence pure et parfaite), et ce coût explique la formation

telles que les droits de propriété en utilisant des instruments tels que l’analyse coût-avantage et la recherche d’efficience, les notions de coûts moyen et marginal, les tests économétriques. La théorie est en grande partie associée aux travaux de Ronald Coase publiés dès le début des années 60, notamment son ouvrage The problem of social cost. L’idée est que la règlementation va influer dans son choix de comportement l’individu rationnel qui cherche à maximiser ce qu’il considère comme le plus avantageux

c'est le principe-même de l'égalité qui est ici remis en question, car elle n'est pas seulement juridique ; elle peut être aussi sociale, économique ou culturelle. De ce 52 53 Ses principaux représentants sont James Buchanan, Gordon Tullock et Ronald Coase Jacques Chevallier. Le service public. Paris : PUF, 2008, p.45 54 Jean-Paul Valette. Le service public à la française. Paris : Ellipses, 2000, p. 115 55 Gilles Savary. L'Europe va-t-elle démanteler les services publics ?, éd. de l'Aube, 2005. Compte-rendu

acquisition), la plupart des du temps on a des marchés oligopolistiques (quelques producteurs qui dominent le marché), démontré par Alfred Chandler (idée de formation des entreprises géantes, contre les propos d’Adam Smith et la main invisible). Ronald Coase, est néoclassique et dit que le marché a fait des coûts, il y a des coûts intra secs aux marchés, il n’est pas parfait en matière de formation et de circulation, transmission de l’information se sont des coûts de transactions. Les entreprises ont

1967 – la technostructure: le pouvoir de l'entreprise appartient désormais aux technocrates managers qui ont des capacités d'organisateur mais ne cherchent pas nécessairement à maximiser le profit de l'entreprise. b. les approches contractuelles Ronald Coase – 1937 – la justification de l'entreprise: il pose la question de la nature de l'entreprise, sa raison d'être. Sa réponse est que l'entreprise constitue un mode de coordination économique alternatif au marché. le marché → coordination des agents

OATauxquelles souscriraient une grande variété d’investisseurs : il n’y aurait alors pas de raison d’être à la présence des intermédiaires financiers. L’intermédiation serait inutile dans ce monde. Mais différents travaux, à commencer en 1937 par Ronald Coase, ont démontré que les mécanismes de marchés ne suffisent pas à assurer à eux seuls l’allocation de l’ensemble des ressources financières. En effet, lors des échanges financiers, il existe des « coûts de fonctionnement » du marché c’est-à-dire des

client, négocier, assurer une certaine qualité de prestation et livrer la marchandise. Pour ces raisons, l’entreprise peut supplanter le marché comme mode d’allocation des ressources et comme mécanisme de coordination des activités marchandes. Ronald H. Coase (1937) précise : « grâce à la firme, il devient beaucoup moins nécessaire de spécifier des prix pour chacune des transactions réalisées car il suffit d’un contrat à long terme pour remplacer une série de contrats à court terme. Ex : le contrat

affectées fortement par la pollution ;  Incitants financiers (subsides) pour pousser les entreprises à « verdir » leurs manières de travailler. Il existe aussi des arguments contre cette internalisation ; Une théorie de l’économiste britannique Ronald Coase (1910-2006) de 1960 à la base du principe contre l’internalisation des coûts externes, trouvait inconcevable que les entreprises payent pour tous les dommages causés à l’environnement car cela nuirait au bien être économique. Cette théorie énonçait

client, négocier, assurer une certaine qualité de prestation et livrer la marchandise. Pour ces raisons, l’entreprise peut supplanter le marché comme mode d’allocation des ressources et comme mécanisme de coordination des activités marchandes. Ronald H. Coase (1937) précise : « grâce à la firme, il devient beaucoup moins nécessaire de spécifier des prix pour chacune des transactions réalisées car il suffit d’un contrat à long terme pour remplacer une série de contrats à court terme. Ex : le contrat