Rondeau De Printemps

Gide fut contraint à des études décousues. Son enfance fut pleine de tristesse et de noirceur, il vivait replié sur lui-même, et les seules émotions heureuses lui étaient procurées par la nature. A quinze ans, il s’éprend de sa cousine Madeleine Rondeau et le mariage blanc2 qu’ils contractent s’avèrera une union tragique et contradictoire qui le passionnera encore plus que la nature. Ainsi André Gide, dans toute son œuvre, ne cessera de louer la beauté de la nature, exprimant toujours son goût pour

littérature courtoise atteint son sommet dans l’art des troubadours. Le Midi, où l’économie est plus développée que dans les provinces du Nord et où la vie quotidienne est moins belliqueuse, se rend plus propice à l’art qui chante l’amour et le printemps. L’influence de cette poésie se traduit dans la langue d'oïl pendant la deuxième moitié du XIIe siècle. Les genres poétiques sont : la chanson de toile que les dames chantent quand elles tissent et brodent, la chanson de croisade, la pastourelle

acception très large, héritée d'Aristote, pour qui l'art poétique recouvre à la fois l'épopée, la tragédie et la comédie, et l'art du dithyrambe. De même, dans L'Art poétique (1674), Boileau parle, à côté des petites formes poétiques traditionnelles (rondeau, ballade, madrigal), de la satire, de la poésie épique, de la poésie dramatique. Dans un sens assez large, la poésie inclut donc des genres narratifs ou dramatiques à caractère fictif. Elle est assez proche de ce que nous entendons aujourd'hui globalement

(un des plus grands peintres de fresques de la Renaissance), Verrocchio Andrea Mantegna, etc. en peinture ; * Filippo Brunelleschi, Michelozzo, Leon Battista Alberti, etc. en sculpture David ; Michel Ange (1501-1504) Sandro Botticelli ; Printemps (1480) Leonard de Vinci(1452-1519) : Artiste et savant Italien.Il vécut surtout à Florence et à Milan. Il fut invité en France par François 1er en 1516. Il est célèbre pour les peintures de la Joconde, la Cène, La vierge aux rochers. Néammoins

Denis Église Villeneuve Clos St Nicolas Villeneuve le Comte Mairie Val d’Europe RER Lycée M. Luther King À compter du 14 septembre 2009 Chanteloup en Brie •Aux Cigares du Pharaon 60 bis avenue de la jonchère Desserte Place du Clos (Ets M. Rondeau et Collège J.Y. Cousteau) BUSSY Lycée M. Luther King SERRIS Val d'Europe RER | Les Pléïades | Le Prieuré - Parc d’Entreprises VILLENEUVE LE COMTE Clos St Nicolas | Villeneuve le Comte Mairie VILLENEUVE ST DENIS Villeneuve St Denis Église | Le Gibet

malheur, les Bergers célèbrent le pouvoir de l'Amour.- Rondeau pour les bergers- Air de Cloris "Ici l'ombre des ormeaux"- Air pour Climène- Tircis/ Philène paroles puis duoDeux partis se forment : celui des adorateurs de Bacchus, et celui des Amoureux.- Choeur "Chantons tous de l'Amour le pouvoir adorable"- Récitatif "Arrêtez, c'est trop entreprendre"- Choeur "Nous suivons de Bacchus le pouvoir adorable"- Air pour Cloris "C'est le printemps qui rend l'âme"- Air pour un Suivant de Bacchus- Dialogue

musique de Mozart. Le menuetto du second mouvement, sera, quant à lui, empreint d’une certaine placidité. Petit point négatif, j’aurais attendu un peu plus de brillance et d’énergie de la part des interprètes. Ceux-ci interprèteront, en revanche, un rondeau (3ème mouvement) très pétillant et vif. En somme, une fin heureuse. Et c’est sur cette fin que le public rendra un bel hommage aux prouesses que viennent d’accomplir ces trois artistes. En effet, une véritable standing ovation les attendait, et croyez-moi

mon âme, et m’aurait répondu ?... La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ; À la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ; Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu’elle expire, S’exhale comme un son triste et mélodieux. Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur, Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses, S'enivrer de parfums, de lumière et d'azur, Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes, S'envoler comme un souffle aux voûtes

soleil, De ses sœurs elle rend rustique Le coloris chaud et vermeil. Mais, si votre main qui s’en joue, À quelque bal, pour son parfum, La rapproche de votre joue, Son frais éclat devient commun. Il n’est pas de rose assez tendre Sur la palette du printemps, Madame, pour oser prétendre Lutter contre vos dix-sept ans. Questions de lecture analytique 1 Relevez dans le poème les notations de couleur. Que nous indiquent- elles sur la couleur des roses-thé ? 2 Étudiez les mouvements du poème. Que constatez-vous 

L. M i chel Je an -B ap ti Oliveraie l de Bourdonnières ou iè re A v. de Ro ut e Stade ue 74 Le C o Bd r sie r bu s or Hugo Madame Curie Ru e Parc de la Morinière Chapeau Verni Moulin Printemps Clisson Maladrie N 149 Rue de du Houmaille Dépôt SEMITAN Trentemoult 30 97 la 97 Rue T. R. Clos Bonnet Vi c Rue Émile Zola 2 Ripossière Le Corbusier 8 Mai Pont Rousseau Martyrs Félix Tableau