Ronsard Comme On Voit Sur La Branche

CHNIER (France) (1762-1794) INCLUDEPICTURE http//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/21/Chenier.JPEG MERGEFORMATINET Au fil de sa biographie sinscrivent ses uvres qui sont rsumes et commentes (surtout La jeune Tarentine, La jeune captive et Comme un dernier rayon). Bonne lecture Il est n Constantinople, o son pre tait consul de France. Sa mre, lisabeth Santi-Lomaca, tait une Grecque belle et cultive sous son influence, il conut ds ses plus jeunes ans un vritable culte pour lantique Hellade

sémantiques différents dans le but de créer une image qui éclaire, approfondit, enrichit le sens de ce que l’on veut dire.Sa construction se résume à : comparant – outil de comparaison – comparé « Le monocle du général, resté entre ses paupières comme un éclat d’obus dans sa figure vulgaire » (Proust, Du côté de chez Swann ). Le rapprochement, ici, est très motivé : éclat de verre/éclat d’obus/guerre/général/blessure.II – La métaphoreSeconde figure reine, la

vous vous tussiez Fallait-il que je vous aimasse Que vous me désespérassiez Et qu'enfin je m'opiniâtrasse Et que je vous idolâtrasse Pour que vous m'assassinassiez Jean MAROT, XV siècle A tout jamais, d'un amour immuable, La veuil servir, comme la plus notable Qui soit vivant, et du plus beau maintien. La raison est : car son coeur et le mien Ne sont plus qu'un par un vouloir semblable. Elle, voyant mon mal estre importable, M'a dit ce mot qui tant m'est agréable : "Mon coeur avez

nord, © Éditions Gallimard, 1991. et . . .que . . . . . le . . .public . . . . . . . . (« . . .devant . . . . . . . . .nous . . . . . . », . . .les . . . .lecteurs . . . . . . . . . .et . . .la ....... jeune . . . . . . . fi . .lle . . . », . . .comme . . . . . . . . . si . . .elle . . . . .apparaissait . . . . . . . . . . . . . . . .à. .l’écran .............. narratrice) . . . . . . . . . . . . . .la . . découvrait. ................................................ .............................

né à Sète le 22 octobre 1921 et est mort d’un cancer de l’intestin le 28 octobre 1981, à Saint-Gély-du-Fesc. « Je ne pense pas être un poète… Un poète, ça vole quand même un peu plus haut que moi… Je ne suis pas poète. J’aurais aimé l’être comme Verlaine ou Tristan Corbière » [Georges Brassens] 2°) Dégagez les principaux thèmes (la femme, l’amour, l’amitié etc.) développés par Brassens et dites quelles chansons correspondent à ces thèmes. LA MORT - Grand-père - Bonhomme - Les

sur des recherches personnelles dans des encyclopédies. En classe, le professeur pourra vérifier si cette lecture a été effectuée avec sérieux par un questionnement oral, adressé à toute la classe, et attirer l’attention des élèves sur un poème comme « Les Phares » 6, où Baudelaire brosse sa généalogie esthétique, et sur « La Mort des artistes » 100 qui dessine une figure de l’artiste d’autant plus importante qu’elle clôt le recueil de 1857. • Les figures et représentations d’artistes trouveront

Victor Hugo, dans un chapitre de William Shakespeare (1864), se propose d’évoquer ce que sont pour lui les plus grands poètes de l’humanité, il propose une liste de quatre-vingt quinze noms parmi lesquels on relèvera des poètes au sens strict du terme comme Homère, Lucrèce, Virgile, Dante, André Chénier ou Lamartine mais aussi des prophètes (Isaïe, Jérémie), des philosophes (Platon), des dramaturges (Shakespeare, Corneille, Molière, Racine), mais aussi Swift, Voltaire, Diderot, Beaumarchais, Jean-Jacques

tragédie, des lois encore suivies par Racine par exemple. Autorité : il a une influence luence sur les cadres de l’écriture occidentale. Théologie : nombres de théologiens comme Saint thomas d’Aquin sont très aristotéliciens, et suivent les règles qu’il a édictées. La Poétique (env. 340 av. JC.) La poétique d’Aristote se présente comme un recueil re de phrases rédigées, de notes non développée, qui sont en fait des notes des cours qu’il dispensait au Lycée1, son institution. Les notes sont laconiques

toujours choqué, en quelque sorte, car on m’a toujours appris l’amour des mots et de leur sonorité. La poésie, bien qu’elle soit un art à part entière, prend ses racines dans la chanson, et, tel deux arbres qui grandiraient cote à cote, et dont les branches s’entremêlent, ils puisent chacun dans leurs ressources pour arriver à la forme la plus pure et plus complète de ce qu’un être humain peut concevoir . La poésie, c’est la musique des mots. Sans doute cette idée d’anthologie de la poésie m’a-t-elle

devient l’élève du décorateur Audran, conservateur du Musée du Luxembourg, où Watteau peut contempler des toiles de peintres qui l’influenceront considérablement : Rubens, Le Titien, Véronèse. En 1717, il est élu membre de l’Académie de peinture comme « peintre de fêtes galantes » et connaît alors une certaine notoriété. Il voyage un peu, notamment en Angleterre, mais meurt précocement en 1721. Présentation de l’œuvre : Watteau travaille beaucoup, et se spécialise dans deux thèmes : le théâtre