Rosa Luxemburg

détruits dans la Potsdamer Strasse, Karl PAULMANN, Berlin, 10 novembre 1938 Les communistes à Berlin La diffusion du bolchévisme en Europe L’insurrection spartakiste est écrasée lors de la « semaine sanglante » (6-13 janvier 1919) Rosa Luxemburg Combats à Berlin pendant la révolution de la Ligue Spartakus, 1er janvier 1919 Le 30 janvier 1933, Hitler devint chancelier du Reich. Mais, à Berlin, la capitale, le parti nazi était plus faible qu’ailleurs, comme lors des élections de

congrès du SPD, au nom de la croyance dans le mythe mobilisateur de la révolution. Ils sont violemment combattus par l’aile gauche du Parti, gardienne de l’orthodoxie marxiste, antimilitariste et anticolonialiste, emmenée par Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg. Pourtant leur audience ne cesse de grandir et leurs idées imprègnent de plus en plus le comportement du Parti. Ainsi le SPD abandonne progressivement le principe de la grève générale, même en cas de guerre. Il ouvre un débat sur la question nationale

réclamer que les principes moraux de la vie privée soient étendus aux relations industrielles " (p. 181). Et Schumpeter, qui s'est particulièrement intéressé à l'impérialisme (5), récuse l'approche marxiste du phénomène, illustrée notamment par Rosa Luxemburg ou Rudolf Hilferding qui, dans la lignée de Lénine, analysaient l'impérialisme comme la bouée de sauvetage d'un système ayant besoin de vendre plus que les salariés ne pouvaient acheter, en raison de l'exploitation dont ils étaient victimes. Allons

qui tendent à vivre aux crochets de l'Etat. » (ibid.) Toutefois, pour des raisons similaires à celles exposées plus tard par Raymond Aron, la démocratisation mène souvent à une socialisation de la démocratie et à un recul du capitalisme. Rosa Luxemburg considère que dans la société capitaliste « les institutions formellement démocratiques ne sont, quant à leur contenu, que des instruments des intérêts de la classe dominante »[4]. Selon elle, la démocratie serait empêchée par le fonctionnement

industriels, eux, souhaitaient l’ouverture de l’Allemagne pour conquérir des marché, et non pas une Allemagne introvertie. L’opposition est donc multiple. Janvier 1921 le parti communiste Allemand (PCA) qui est un prolongement des spartakistes comme Rosa Luxemburg totalement opposé à Weimar (forte répression) ; 3) Les années troubles Il s’agit d’abord de la crise monétaire de 1923 et de ses conséquences (monétaires mais aussi politique et financière). L’armée franco italo et Belge envahissent la

partie du programme du parti parce que « l’unité dans la lutte réellement révolutionnaire de la classe opprimée pour la création d’un paradis sur terre est plus importante pour nous que l’unité de l’opinion prolétarienne sur le paradis aux cieux ». [7] Rosa Luxembourg était du même avis, mais elle élabora une démarche différente et plus souple. Bien qu’athée, elle s’attaqua moins, dans ses écrits, à la religion en tant que telle qu’à la politique réactionnaire de l’Eglise, au nom même de la tradition

valeur et la valeur-travail, qu'il a repris aux classiques anglais (en particulier Ricardo). Le marxisme est resté une théorie hétérodoxe féconde surtout dans les domaines de la philosophie et de la sociologie, ainsi que de l'économie où notamment Rosa Luxemburg avec L'Accumulation du capital [8] (1913), ou plus récemment Paul Baran ou Paul Sweezy ont continué les travaux des marxistes. III.4. L'école historique Article détaillé : Historicisme (économie). L'école historique apparaît dans les années

aux crochets de l'Etat. » Histoire du capitalisme (ibid.) Toutefois, pour des raisons similaires à celles exposées plus tard par Raymond Aron, la démocratisation mène souvent à une socialisation de la démocratie et à un recul du capitalisme. Rosa Luxemburg considère que dans la société capitaliste « les institutions formellement démocratiques ne sont, quant à leur contenu, que des instruments des intérêts de la classe dominante ».[3] Selon elle, la démocratie serait empêchée par le fonctionnement

peut s'avérer plus ancienne, car en effet le capitalisme industriel et triomphant du XIXème siècle développe le colonialisme, mut par la recherche de nouveaux débouchés. L'impérialisme est donc inévitablement la conséquence du capitalisme selon Rosa Luxemburg Ainsi ce phénomène va devenir un poids pour les colonies. Car un clivage de plus en plus intense va se creuser entre les colonies et les métropoles, celles-ci exerçant une économie de captation. De plus les colonies se retrouve en situation de

l’exploitation des travailleurs par les capitalistes et la nécessité à la fois logique et historique du passage du capitalisme au socialisme. MARX a comme disciple F. ENGELS (1821-1896) et des continuateurs immédiats comme LENINE (1870-1924) et Rosa LUXEMBURG (1870-1919) b- La tendance néoclassique L’économie néoclassique se constitue à partir de 1870 en France avec Léon WALRAS (1837-1910), en Angleterre avec Stanley JEVONS (1835-1882), en Autriche avec Karl MENGER (1840-1921) Les premiers auteurs