Rosanette

rencontrer à Frédéric sa première maîtresse : Rosanette. Totalement l'opposée de Mme Arnoux, elle fait des avances à Frédéric et séduit les hommes, passant de l'un à l'autre, trompant sans s'en cacher. En parallèle Frédéric continue de se rapprocher des Dambreuse qui incarnent le « monde » et sa vie se rythme au gré des visites à Arnoux et sa femme, à Rosanette et aux Dambreuse. L'univers de ces mondes est très différents, la crudité de Rosanette contraste avec la bienséance qui règne chez Mme

dix-huit ans venant faire ses études à Paris. De 1840 à 1867, celui-ci connaîtra l’amitié indéfectible et la force de la bêtise, l’art, la politique, les révolutions d’un monde qui hésite entre la monarchie, la république et l’empire. Plusieurs femmes [Rosanette, Mme Dambreuse] traversent son existence, mais aucune ne peut se comparer à Marie Arnoux, épouse d’un riche marchand d’art, dont il est éperdument amoureux. C’est au contact de cette passion inactive et des contingences du monde qu’il fera son éducation

préfère « traîner » dans Paris que prendre partie. Marie Arnoux : mariée à Jacques Arnoux mais est profondément amoureuse de Frédéric. Elle reste indécise et préfère ne pas s’engager avec Frédéric de peur de blesser Marthe où Eugène, ses enfants. Rosanette : une prostituée qui a de nombreux amants dans Paris. Elle reste pourtant amoureuse de Frédéric, dont elle tombe enceinte mais dont l’enfant meurt prématurément. Jacques Arnoux : mari de Marie Arnoux, par argent change de métier et n’a aucun scrupule

a-t-elle un regret ? Entre temps Frédéric Moreau, devra d'abord se résigner à retourner vivre en province, en raison de la précarité de sa situation, avant qu'un héritage inespéré ne lui permette de vivre à nouveau à Paris. Il fréquentera ensuite Rosanette, une femme légère rencontrée lors d'un bal masqué . Ils auront un enfant qui mourra. Frédéric aura également une liaison avec Madame Dambreuse, veuve d'un banquier opportuniste. Deslauriers, son meilleur ami, épousera Louise Roque, qui aurait tant

qui lui arrive ». En effet, si nous prenons l’exemple du moment où Frédéric prépare son appartement pour Marie Arnoux jusqu’aux moindres petits détails pour que celle-ci prennent du plaisir avec lui. C’est Rosanette qui arrive, Frédéric ne change rien à « ses préparations » et laisse Rosanette goûter aux plaisirs qui avaient été préparées pour Madame Arnoux en ne disant rien à la première. Ce premier exemple, démontre déjà que Frédéric se laisse submerger par les événements de la vie sans rien n’oser

temps entre la maison des Arnoux, le logement de Rosanette et le salon des Dambreuse. Frédéric apprend que M. Arnoux a faisait faillite et ils ont déménagé et s’est reconverti dans la faincerie. Frédéric n’a pas pu les attraper. Son ami Delauriers a quant à lui abandonné ses études et manifeste des penchants socialistes. İl projette de fonder un journal militant. Arnoux emmène Frédéric à un bal costumé ou il lui présente une de ses maitresses, Rosanette. Delauriers se marié avec Louise. Frédéric échappait

l'autre. Dans le texte suivant, le personnage principal, Frédéric Moreau, est désespéré parce que Mme Arnoux, son grand amour, n'est pas venue au rendez-vous fixé rue Tronchet. Il l'a attendue toute la journée, en vain. Pour se consolé, il va retrouver Rosanett, une femme de mœurs légères. Pendant ce temps, en ce 23 février 1848, le peuple français manifeste dans les rues de Paris. Le roi demande a son ministre, François Guizot, fort impopulaire de démissionner. Les manifestations se rendent rue des Capucines

Fred fait des commentaires sentencieux alors qu’il ne fait rien=anti-héros (20-21) -La nuit d’amour avec rosanette est dû à son incapacité de marcher (23)=hasard -Peuple du côté de l’action==vb d’action, les héros =passivitée ==passé simple 2) 1héros aux sentiments mediocres Mme Arnoux pas venu au rendez-vous donc fred veut se venger -Fred se venge et se console avec Rosanette mais pas bcp de mérite car c’est 1 fille facile -Il décide d’aller dans la chambre reserve à l’autre pour

Invité chez Rosanette Bron, Frédériqc Moreau, héros réaliste de l'éducation sentimentale de Flaubert (1869), découvre une soirée des plus médiocre, l’écœurant au plus haut point. Les invités s'y exhibent de manière grotesque et odieuse, une attitude que l'auteur, à travers le regard de son personnage, développe subtilement, et ce, par divers procédés. C'est donc en examinant de plus près ce dernier point que nous nous pencherons en premier lieu sur les mœurs ridicules et de cette société bourgeoise

presque tous d'âge mûr, en costumes de routier, de débardeur ou de matelot. Frédéric, s'étant rangé contre le mur, regarda le quadrille devant lui. Un vieux beau, vêtu, comme un doge vénitien, d'une longue simarre de soie pourpre, dansait avec Mme Rosanette, qui portait un habit vert, une culotte de tricot et des bottes molles à éperons d'or. Le couple en face se composait d'un Arnaute chargé de yatagans et d'une Suissesse aux yeux bleus, blanche comme du lait, potelée comme une caille, en manches de