Rosée

yeux fait le tour de mon cœur, Un rond de danse et de douceur, Et si je ne sais plus du tout ce que j'ai vécu Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille

des yeux, les autres aux yeux purs. -Peut-être qu'on peut les déchiffrer : couleur: "feuille" et "mousse" >> vert? "ciel" et "mer" >> bleu/gris? "feuille de jour" > quand les paupières se lèvent Gala voit le jour "ailes" > paupières? "rosée" > regard humide? "roseau" > les cils? Les yeux de Gala ne sont pas simplement des yeux physiques, mais des "yeux purs">> monde moral, intérieur Il n'y a pas vraiment de description. II) Le couple a) Bonheur d'un amour partagé On a ici

Jaillissement d'images opposées les unes à la courbe des yeux, les autres aux yeux purs. • couleur : "feuille" et "mousse" vert // "Ciel" et "mer" bleu/gris // "Feuille de jour" quand les paupières se lèvent Gala voit le jour // "Ailes" paupières // "Rosée" regard humide "Roseau" les cils. Les yeux de Gala ne sont pas simplement des yeux physiques, mais des "yeux purs" monde moral, intérieur. Il n'y a pas vraiment de description. II) Le couple a) Bonheur d'un amour partagé

tradition d'élevage. Il est élevé sous la mère, c'est-à-dire "allaité par sa mère", et reçoit en complément des céréales. Il est rigoureusement identifié dès sa naissance. Le Veau d'Aveyron et du Ségala donne une viande tendre et savoureuse de couleur rosée. Rayon géographique étendue: Germain Grâce à un règlement européen de 1992, l'I.G.P. (Indication Géographique Protégée) protège le nom d'un produit originaire d'une aire géographique délimitée. Le Veau d'Aveyron et du Ségala appartient à

même jusqu’à adjoindre le verbe « aimer » aux « pleurs », comparant ces derniers à la rosée qui sied si bien aux fleurs. Quoi que, la comparaison ne soit pas la figure idoine dans ce cas-ci puisque l’auteur affirme, il emploie le verbe « être » et non un verbe comme « paraître » ou « sembler », l’affirmation est donc franche. Là où il y aurait lieu d’avoir comparaison c’est dans ce que sont les larmes et la rosée. Assurément, elles se rejoignent par la texture et la forme : une larme coulant sur une

yeux, les autres aux yeux purs.- Peut-être qu'on peut les déchiffrer:couleur : "feuille" et "mousse" >> vert ?"ciel" et "mer" >> bleu/gris ?"feuille de jour" > quand les paupières se lèvent Gala voit le jour"ailes" > paupières ?"rosée" > regard humide ?"roseau" > les cils ?Les yeux de Gala ne sont pas simplement des yeux physiques, mais des "yeux purs">> monde moral, intérieurIl n'y a pas vraiment de description.II) Le couple a) Bonheur d'un amour partagé On a ici

la morale. - émue et émouvante (son « bras tremblant », ses efforts inutiles) b. La nature » - belle (« rosée », « parasols) - personnifiée (« perles », « offrait », « courait ») - asile idéal pour les amoureux, car il leur procure l’intimité (« parasols », « bois sourds ») c. La correspondance entre la femme et la nature - Elles se ressemblent (le nom de Rose et la fleur, la rosée, les rossignols ; elles sont belles toutes les deux) - La nature est complice de Rose (les oiseaux expriment

est le temps verbal associé à son intervention ? A plusieurs reprises le poète laisse percevoir sa présence dans l’énoncé. Senghor s’implique au moment de l’écriture ou dans le contexte du récit au passé simple, « je dis hurrah ! », « disputa…la rosée sucrée de nos plaies ». On relève également l’emploi de présentatifs qui expriment l’implication et l’engagement de l’auteur, « Voici », « et la voici ». L’interjection « ô » et la modalité exclamative sont également mis au service de l’expression

imagination et à ses fantaisies, pendant ses errances. Elle a transformé les conditions difficiles et réelles de son errance en créations poétiques. La présence de la nature simple et agréable rend cette rêverie très plaisante. La comparaison : « De rosée à mon front, comme un vin de vigueur » traduit la force, la vie, nous pouvons mettre y attacher une dimension plus religieuse. Le terme « vigueur » révèle la jeunesse de Rimbaud, la vigueur de l’adolescence e l’élan de vie qui pousse le jeune homme

Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur ! Arthur Rimbaud, Cahier de Douai (1870) L’espérance J’ai ancré