Rosée

la morale. - émue et émouvante (son « bras tremblant », ses efforts inutiles) b. La nature » - belle (« rosée », « parasols) - personnifiée (« perles », « offrait », « courait ») - asile idéal pour les amoureux, car il leur procure l’intimité (« parasols », « bois sourds ») c. La correspondance entre la femme et la nature - Elles se ressemblent (le nom de Rose et la fleur, la rosée, les rossignols ; elles sont belles toutes les deux) - La nature est complice de Rose (les oiseaux expriment

figure géométrique du cercle; "berceaux"(v.3), "feuilles"(v.6), "ailes"(v.8), "bateaux"(v.9), qui sont à peu près en amande, donne l'image des paupières. "Roseaux" et "la paille" ont la figure des cils. Les larmes sont enfin assimilées à la "mousse de rosée"(v.6). Le poète veut aussi décrire la couleur des yeux de sa bien aimée par les termes comme "feuilles" et "mousse"(v.6) qui son vertes, le "ciel" et "la mer"(v.9) qui sont bleu – gris. Mais il ne dit pas exactement quel est la couleur de ces yeux

Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur! 3) Versification a) Les deux premières strophes sont des quatrains

contraintes physiques permet de rejoindre le bonheur de l'âme. Ces métamorphoses ne touchent pas seulement le poète dans son entité physique mais aussi son environnement, les étoiles deviennent des auberges ou des filles avec des robes à frous-frous et la rosée devient même vin de vigueur. III/ Les raisons d'un rapprochement : Le poète voyageur ou le voyageur poète : Voyageur et poète se confondent car ils se ressemblent et apportent une même découverte ils se rejoigent dans leur quête : La réciprocité

aimée: - mobiles et vivants « roseaux du vent » comme des roseaux agités par le vent, « ailes » qui peuvent être en train de battre, « chasseurs des bruits » comme s’ils étaient sans cesse à l’affût de quelque chose...) - scintillants (« mousses de rosée »...) - irisés, aux reflets changeants (« sources des couleurs »...) - transparents et profonds (« feuilles de jour », comme s’ils étaient faits d’une matière aussi transparente et impalpable que le jour...) b ) les yeux semblent dotés de valeurs symboliques

Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J’étais froid comme les marbres ; Je marchais à pas distraits ; Je parlais des fleurs, des arbres Son œil semblait dire : «  Après ? «  La rosée offrait ses perles, Le taillis ses parasols ; J’allais ; j’écoutais les merles, Et Rose les rossignols. Moi, seize ans, et l’air morose ; Elle, vingt ; ses yeux brillaient. Les rossignols chantaient Rose Et les merles me sifflaient. Rose

les métaphores qui évoquent un monde originel, purifié et innocent : « feuilles de jour », « mousse de rosée »… L’amour se diffuse dans le monde, importance accordée aux parfums : « sourires parfumés » et « parfum éclos » (= symbolique de la diffusion) La femme apparait comme une muse qui offre le monde au poète, elle l’ouvre à l’extérieur : « bateaux », présence des quatre éléments : l’eau « rosée », la terre « feuille », l’air « vent » et le feu « lumière » Conclusion : Le poète rend hommage aux

assonances en « i », « en » , associées à l’allitération en « s », insistent sur l’étendue. Nous pouvons constater que touts les mouvements sont descendants : « ses regards (...) redescendaient » (ligne 8-9), « le soleil se couchait » (ligne 12), « une rosée d’or tombait » (ligne 14) ces citations nous donne donc une impression de vue horizontale et de domination. Transition : Oui, effectivement Saccard nous décrit Paris de façon très réaliste, mais nous allons voir qu'elle est aussi représentée comme

poèmes ? L'aspect du printemps varie d'un poème a l'autre mais chaque poète évoque le thème de la nature et de son renouvellement perpétuel de façon très différentes. Pour Aloysius BERTRAND le printemps est comme vers 1 :« une goutte de rosée » la rosée du matin symbolise la fraîcheur de chaque jour renouvelée au vers 10 le printemps est personnifié en «  oiseau de passage » c'est une métaphore de la fragilité du printemps qui associée au « o » vocatif suivie d'un verbe conjugué à un temps

autres aux yeux purs. - Peut-être qu'on peut les déchiffrer: couleur : "feuille" et "mousse" >> vert ? "ciel" et "mer" >> bleu/gris ? "feuille de jour" > quand les paupières se lèvent Gala voit le jour "ailes" > paupières ? "rosée" > regard humide ? "roseau" > les cils ? Les yeux de Gala ne sont pas simplement des yeux physiques, mais des "yeux purs">> monde moral, intérieur Il n'y a pas vraiment de description. II. Le couple 1) Bonheur d'un amour partagé