Rosée

« Au laboureur» est un poème qui parle du travail de l’agriculteur et de l’effort qu’il met pour enfin avoir la récompense, le fruit du travail de celui-ci et de la terre. Penchons-nous sur la première strophe. « Depuis l’aube d’opale et la fraîche rosée/ O vaillant laboureur ne s’est point reposée». Cela nous démontre comment le travail d’un laboureur est long et très demandant physiquement travaillant du matin jusqu’au soir. Aucun repos pour ce travailleur, qui doit s’occuper de son champ. «  Le

Lexique classique/ Marastre nature Cadre cf nature idéal à l'évocation de l'amour c) Dramatisation : Ronsard évite la monotomie mièvre en dramatisant son alégorie, il ajoute une trame dramatique La narration se fait en une journée (matin : va à la rosée/ l'invitation/ la promenade le soir) Interjections => tonalité dramatique II- Mise en place de la métaphore. a) Beautés équivalents : Métaphore au V1 « mignonne.. rose », qui se résolue à la fin V17 « comme à ceste fleur la vieillesse.. »

méditation de la part de l’auteur. De plus, nous pouvons constater l’utilisation d’un langage mélioratif : « fleuve musculaire », vers 4 ; « rayonnant midi du corps noir », vers 9 ; « sonorité du sang noir », vers 20 ; « merveilles », vers 30 ; « rosée humaine », vers 32 et « riche végétation », vers 36. Toutes ces expressions appartiennent au champ lexical de l’enchantement, de l’éblouissement de l’auteur face à la beauté de cette race. En revanche il éprouve une certaine pitié envers les colonisés

La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme

personne n'a fouillées, dans l'air des merveilles que personne n'a vues, c'est passer après la foule et ramasser sous l'herbe les perles et les diamants qu'elle a pris, ignorante et insoucieuse qu'elle est, pour des flocons de neige et des gouttes de rosée. ”  On peut voyager non pour se fuir, chose impossible, mais pour se trouver. Le meilleur qu’on puisse ramener de voyages. C’est soi-même, sain et sauf. »  Afin d’apprécier le vrai bonheur, nous devons voyager vers des pays très lointains

contraire, à la fin, on en relève plus qu'une: la voix ne s'arrête presque plus (= enthousiasme) et il y a moins de rimes. >> tout cela connote l'envolée b) Cette envolée va du tout petit au très grand V.6 >> humble nature ("feuille", "mousse", "rosée") v.7 >> les roseaux sont déjà plus grands et le vent symbolise l'infini de l'air. v.8 >> centre du poème: le mot "monde" est prononcé v.9 >> l'image se précise v.11 et 12 >> on est dans la splendeur du ciel v.14 >> on retrouve le monde entier

char tiré par de « noirs chevaux »(v.4) Aube=2eme strophe : décrite comme une belle femme aux cheveux blonds Les 2 images sont dynamique et suggère un tableau en mouv’ -2ème quatrain marque prog TPS. Le cadre naturel est valorisé par métaphore : rosée du matin=perlettes(comme parure de bijoux) éléments qui participent à réhausser la féminité et la beauté. La nature y est décrite en termes mélioratifs, aube perso et valo par sa blondeur, ses couleurs et sa parure. 2ème partie : L’IDEALISATION

certain : Rhône ou Saône. Ce n’est pas le lieu qui est important mais les sensations qu’il va éprouver. On sait qu’il est «hors de la ville »dans un paysage malgré cela travaillé : « terrasses ». Les éléments naturels sont vagues : herbe, arbres, vent, rosée, terre… Les hommes sont absents et cela contribue à son plaisir malgré son «regret d’en jouir seul ». Ce moment est dénudé où rien ne vient le troubler seul le chant du rossignol (berceuse) le berçait. On a l’impression que les éléments ambiants (température

Du palais d'un jeune Lapin Dame Belette un beau matin S'empara ; c'est une rusée. Le Maître étant absent, ce lui fut chose aisée. Elle porta chez lui ses pénates un jour Qu'il était allé faire à l'Aurore sa cour, Parmi le thym et la rosée. Après qu'il eut brouté, trotté, fait tous ses tours, Janot Lapin retourne aux souterrains séjours. La Belette avait mis le nez à la fenêtre. O Dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ? Dit l'animal chassé du paternel logis : O là, Madame la Belette

différentes: À l'état solide : glace, neige, givre, grêle... L’eau prend cet état lorsque la température est inférieure ou égale à zéro degrés. À l'état liquide : eau des océans, des mers, des lacs, des rivières ; eau des nuages, des brouillards, de la rosée... L’eau prend cet état lorsque l’eau solide fond. À l'état gazeux : sous forme de vapeur d'eau invisible et inodore. L’eau prend cet état lorsque l’eau liquide est sous l’action de la chaleur : c’est l’évaporation. 2. Le cycle perpétuel C'est