Rosier

L’Héritage (1884) Monsieur Parent (1885) Lettre d'un fou (1885) Bel-Ami (1885) Contes du jour et de la nuit (1885) Le Horla 1ère version (1885) Le Horla deuxième version (1887) Mont-Oriol (1887) Sur l’eau (1888) Pierre et Jean (1887/1888) Le Rosier de Madame Husson (1888) Le Port (1889) Fort comme la mort (1889) La Main gauche (1889) Histoire d’une fille de ferme (1889) Mouche (1890) La Vie errante (1890) Notre cœur (1890) L'Inutile Beauté (1890) Le Père Millon (1899, posthume) Le

Bel-Ami (1885) Contes du jour et de la nuit (1885) Le Horla 1ère version (1885) (livre électronique) Le Horla deuxième version (1887) Mont-Oriol (1887) Sur l’eau (1888) (livre électronique) Pierre et Jean (1887/1888) (livre électronique) Le Rosier de Madame Husson (1888) Le Port (1889) Fort comme la mort (1889) (livre électronique) La Main gauche (1889) (livre électronique) Histoire d’une fille de ferme (1889) Mouche (1890) La Vie errante (1890) Notre cœur (1890) L'Inutile Beauté (1890)

Identification de la personne:Nom : Mr Christian Âgé de : 67 ans Pèse : 100 kilogrammes Mesure : 1 mètre 80 Entré à : 13 heures Diagnostic d'entrée : déficit neurologique, retrouvé effondré dans les rosiers, n’arrivant pas à se relever, bavant, les yeux hagards, une plaie au niveau de l’arcade sourcilière gauche et ne pouvant plus parler, il est incontinent urinaire pour le moment donc pose d'un étui pénien (exemple : Pénilex) Diagnostic actualisé : hémiplégie droite associée à une paralysie

l’implicite Ce jour-là, il faisait si beau, ils n’avaient pas envie d’aller à l’hôtel. Entre ces deux-là, le sourire était magnétique. Leurs regards si semblables et si bleus semblaient faits de la même eau, presque turquoise. Leurs joues étaient rosies par l’émotion. Et ce courant, si fluide ou si intense passait si fortement entre leurs deux êtres. Ils ne se donnaient jamais de rendez-vous. Où qu’elle aille, il la retrouvait. Elle le sentait. Ils se rêvaient. En cet instant, leurs respirations

de distribution  et points de vente : Business to Business 24, Rue de Sevres 75007 Paris Téléphone : 01 44 39 80 00 80, Rue de Passy75016 Paris Téléphone : 01 44 14 38 00 Boutique en ligne : http://mademoisellechapeaux.com/ 6, rue des Rosiers 75004 Paris Téléphone : 01 42 74 09 91 4, rue de Buci 75006 Paris Téléphone : 09 80 39 58 84 7, rue des Abbesses 75018 Paris Téléphone : 09 67 07 21 04 Business to consumers Le Boudoir 26 26, rue des blancs manteaux, 75004, Paris Téléphone

Fifi 1883 : Contes de la bécasse 1883 : Clair de lune 1884 : Miss Harriet 1884 : Les Sœurs Rondoli 1884 : Yvette 1885 : Contes du jour et de la nuit 1886 : Monsieur Parent 1886 : Toine 1886 : La Petite Roque 1887 : Le Horla 1888 : Le Rosier de Madame Husson 1888 : Clair de lune (2e édition) 1883 : La Porte, Le Père, Moiron, Nos lettres, La Nuit. 1889 : La Main gauche 1890 : L’Inutile Beauté 1907 : Boule de suif Ses romans : Une vie (1883) Bel-Ami (1885) Mont-Oriol (1887)

qu’on ne pouvait rien lui refuser, et elle le fit transporter sur la corniche à côté de la petite maison. Le vieux Joseph, tout heureux d’avoir les pieds au sec, se laissa réparer et transformer en maison. On lui mit de beaux rideaux, on planta des rosiers qui grimpèrent sur son ventre et on installa de jolies chambres où la petite fille put inviter à jouer tous ses petits camarades. Le vieux Joseph devint ainsi la maison des enfants. Si vous passez sur la corniche, le vieux Joseph est toujours là

au texte. Produire une image qui donne un sens poétique au texte. Elle donne une dimension symbolique à l’idée. Exemples « La musique me prend souvent comme une mer » Baudelaire « Je me suis baigné dans le poème de la mer » Rimbaud « Quelques rosiers agonisaient » Maupassant La mort : la faucheuse… Métaphore Personnification Allégorie Elle met en relation deux idées, de manière implicite sans outil de comparaison. Attribuer des caractéristiques humaines à un être inanimé. Personnification

saules pleureurs qui « pleurent » II.Unité du poème 1) Une esthétique impressionniste Impressionnisme* : représenter par petites touches le paysage Champ lexical du végétal proliférant, varié : « vergers fleuris », « cerisiers », « rosiers », « vignes », « lierre », « roseaux », « fleurs »… Mais il n’y a pas que le paysage : le décor est représenté en touches de couleurs: « tziganes » (thème courant au XIXème) -> Cortège : « les cloches », « saltimbanque » Thème courant : l’eau

dans le silence = solitudeStrophe 4 :· Vers 14 : “Le mai le joli mai » répétition = conclusion du poème ? « les ruines » métaphore des souvenirs amoureux douloureux.· Vers 15 : « vierge » donc sans pétales = plus d’ongles = plus de Annie Playden. « rosiers » métaphore de la rose pour la femme aimée.· Vers 16 : nature vivante : temps qui s’écoule.· Vers 17 : sonorités + allusion à la féminité.