Rouge-gorge familier

dix livres de tétons pour le moins, c'est à dire la troisième partie de son sein, le reste étant distribué à poids égal sous ses deux aisselles. Sa mauvaise intention la faisant rougir (car elles rougissent aussi, les dévergondées), sa gorge n'avait pas moins de rouge que son visage, et l'un et l'autre ensemble auraient été pris de loin pour un tapabor4 d'écarlate. Le Destin rougissait aussi, mais de pudeur, au lieu que la Bouvillon, qui n'en avait plus, rougissait je vous laisse à penser de quoi.

dix livres de tétons pour le moins, c'est à dire la troisième partie de son sein, le reste étant distribué à poids égal sous ses deux aisselles. Sa mauvaise intention la faisant rougir (car elles rougissent aussi, les dévergondées), sa gorge n'avait pas moins de rouge que son visage, et l'un et l'autre ensemble auraient été pris de loin pour un tapabor4 d'écarlate. Le Destin rougissait aussi, mais de pudeur, au lieu que la Bouvillon, qui n'en avait plus, rougissait je vous laisse à penser de quoi.

teintée un jour sous la douche quand, en se rasant les jambes, elle s’était coupée. Sauf que là, il ne s’agissait pas d’un filet d’eau. Il s’agissait des yeux d’un homme. De ses yeux ! Qui avaient tourné au rouge sang. Et qui la fixaient comme s’ils transperçaient son corsage, son soutien-gorge et l’endroit le plus intime de son cœur. — Sortez ! lança-t-il d’une voix dont, plus tard, elle dirait à sa mère qu’elle n’avait rien d’humain. Natalia obéit, claqua la porte et, pâle comme une morte, s’enfuit

peut varier en genre et en nombre ou rester invariable : une voiture flambant neuf ou une voiture flambant neuve . ► Les adjectifs suivants ne s’emploient qu’au masculin : aquilin, avant-coureur, ballot (familier), benêt, coulis, coûtant, échéant, grégeois, précurseur, salant, salaud (très familier), saur, vairon. ► Les adjectifs suivants ne s’emploient qu’au féminin : ansée, bée, bissextile, cochère, crasse, dive, enceinte, épinière, faîtière, gammée, grège, infuse, océane (littéraire), palière, patronnesse

défaut des bourgeois de Rouen, comme au temps des défenses héroïques où s'illustra leur cité. - On se disait enfin, raison suprême tirée de l'urbanité française, qu'il demeurait bien permis d'être poli dans son intérieur pourvu qu'on ne se montrât pas familier en public, avec le soldat étranger. Au-dehors on ne se connaissait plus, mais dans la maison on causait volontiers, et l'Allemand demeurait plus longtemps, chaque soin à se chauffer au foyer commun. La ville même reprenait peu à peu de son aspect

porte, son pas a fait craquer le plancher : l’enfant commence à geindre. La mère se penche hors de son lit, afin de le rassurer ; et le grand-père allume la lampe en tâtonnant, pour que le petit n’ait pas peur de la nuit. La flamme éclaire la figure rouge du vieux Jean-Michel, sa barbe blanche et rude, son air bourru et ses yeux vifs. Il vient près du berceau. Son manteau sent le mouillé ; il traîne en marchant ses gros chaussons bleus. Louisa lui fait signe de ne pas s’approcher. Elle est d’un blond

Nous progressons rapidement maintenant. Je m’arrêterais bien pour une pause coquine mais nous devons arriver au village avant la nuit. Même pas le temps de fumer une cigarette. Le bruit de nos pas fait fuir un boa géant, livrée argent tâchée de rouge. Marie semble tétanisée par cette rencontre. Non, pas Marie, elle s’appelait déjà ainsi la semaine dernière en Egypte. Caroline, j’aime bien. Comme ma grand-mère. Assise dans son grand fauteuil, toute menue, recroquevillée sur son tricot, elle attendait

nôtre, pour parler avec ses amis. Elle fit un mouvement bref, et passa les doigts dans ses cheveux couleur de sable. Le radiateur l'envoya dans notre direction. J'avais l'habitude de ce que cette odeur me faisait ressentir- la douleur sèche dans ma gorge, le profond désire de mon estomac, l'automatique contraction de mes muscles, l'excès du flot de mon venin dans ma bouche... t-w-i-l-i-g-h-tC'était à peu près normal, d'habitude, facile à ignorer. C'était juste difficile à ce moment là, avec un ressentiment

route par ce matin où il y a des flamboyants dans tous les yeux il a pris sa revanche contre la tête hideuse du monde De toute sa colère empruntée au vent d’août il a fracassé la boîte osseuse de ce siècle fou ô délices du poète devant ce rouge réveil des hommes -------------------------------------------------------------------------- Ce matin il y a des flamboyants autour de mes pensées il y a des flamboyants partout où l'on peut aimer et je redis encore pour ceux dont

ramassa son sac à dos et ses livres, et se traîna jusqu’à la cuisine. Richard, le cuisinier, se penchait sur la poubelle où il poussait un gâteau recouvert de sucre glace et décoré des fleurs rouges et jaunes. Elle ne parla pas à Richard parce que sa gorge était bien trop serrée. Et Richard ne lui parla pas davantage parce qu’il ne l’aimait pas. En fait, il n’aimait personne, sauf Hannah. Jane quitta la cuisine pour entrer dans la salle à manger. Elle ne voulait pas croiser sa petite soeur et pria