Route des Indes

Bartolomé de las Casas à Séville est controversée3. Jusqu'en 1975, on a cru qu'il était né le 24 août 1474, parce que c'est la date indiquée par son premier biographe, Antonio de Remesal. En 1975, l'historienne Helen R. Parish a trouvé aux Archives des Indes de Séville un document daté du 15 septembre 1516 où le clerc Las Casas "jure par Dieu et les saints ordres qu'il a reçus, et par les Évangiles, qu'il a trente-et-un ans passés"4. La majorité des sources contemporaines affirment, depuis, que la date

contre les épices découverts sur l’île et démarre ainsi sa fortune qu’il ramène à bagdad. Le second voyage de Sindbad Pages 23 à 31 : La vie calme de Bagdad ne suffit pas à Sindbad qui repart pour d’autres voyages. Avec ses compagnons de route, des marchands comme lui, il prend la mer et après plusieurs escales fructueuses, il arrive sur une île. Après l’avoir explorée, il s’endort et à son réveil, il s’aperçoit que ses compagnons sont partis sans lui. Il découvre un nid de Roc (oiseau

Monde » Trace écrite introductive : En 1492, Christophe Colomb part pour le compte de la reine d’Espagne dans une expédition visant à rejoindre les Indes (Asie orientale) par l’Océan Atlantique. Le 12 octobre 1492, il débarque sur une île de l’archipel des Bahamas, puis des Antilles. Il est persuadé d’avoir atteint la côte orientale des Indes (Japon), l’autre bord du monde. Or, en réalité

mesure avec celui des avions en service en 1946. L'amortissement de ces appareils a accru l'importance de la cinquième liberté de l'air (8). Le droit d'embar quer passagers et des marchandises en cours de route permet seul des d'assurer la rentabilité du vol jusqu'au point terminal de la route aérienne Sur le plan économique, la suprématie des Etats-Unis a été entamée par le développement de l'aviation européenne. La prospérité aidant, les compag nies européennes ont acquis une flotte aérienne importante

L’Inde anglaise dans la seconde moitié du XIXe siècle A la fin du XIXe siècle, le vice-roi des Indes Lord Curzon évoquait l’importance que l’Inde anglaise avait acquise tout au long du règne de Victoria en devenant l’une des clés de voûte de la puissance britannique dans le monde: « Aussi longtemps que nous gouvernerons l’Inde, nous serons la plus grande puissance du monde. Si nous la perdons, nous tomberons aussitôt au rang d’une puissance de troisième ordre ». En fait, il avait fallu près

titre qu'on le vit, en 1534, recevoir sa premiere mission.Au retour de son dernier voyage, il se retira a saint-malo, ou au moins dans un village voisin, Limoilan, ou il mena des lors une vie tranquille jusqu'a sa mort, le 1er septembre 1557. LA ROUTE DES EPICES Jacques cartier n'a probablement pas ete le 1er europeen a aborder les cotes septentrionales de l' Amerique.De nombreux marins bretons, basques et meme portuguais avaient deja frequenté ces parages mais personne n'y avait encore fondé

(Italie).Art Resource, NY/Giraudon Agrandir Né à Sabrosa (province de Trás-os-Montes) dans une famille de l’aristocratie portugaise, Fernão de Magalhães, dit Fernand de Magellan, passe son enfance comme page à la cour. En 1506, il part pour les Indes orientales, participe à plusieurs expéditions maritimes, scientifiques et militaires à Malacca (péninsule de Malacca) et aux Moluques (ou archipel des Épices). Promu au rang de capitaine en 1510, il retourne au Portugal deux ans plus tard. En 1513

britannique. Il ne s'agit pas en fait d'un mouvement limité aux forces armées comme on le présente souvent. Le mécontentement gronde alors en Inde du fait de la campagne d'occidentalisation à marche forcée imposée par la Compagnie anglaise des Indes orientales (East India Company, EIC) et le gouverneur général Dalhousie, convaincus de leur supériorité. Parmi les sujets de mécontentement se trouvent les interventions dans la politique intérieure des États indiens sous protectorat : la doctrine

Les épices sont réputées excellentes pour la cuisine, mais aussi pour la médecine : les médicaments et les épices sont donc en vente chez l’APOTHICAIRE – ÉPICIER de la fin du Moyen Âge. Dès avant l’ère chrétienne, la mystérieuse ROUTE de la SOIE apportait de Chine le précieux tissu, à travers les steppes et les déserts de l’Asie centrale . Pendant dix siècles (de la chute de l’empire romain d’Occident, en 476, jusqu’à celle de l’empire romain d’Orient, en 1453),

savaient qu’il existait un empire de Chine mais on ignorait les contours. Ils ignoraient l’Amérique, l’Océanie et la moitié sud de l’Afrique. Motivations des grands voyages de découverte : Economique : Les Européens cherchaient à trouver une route maritime directe en Inde pour se procurer des épices sans passer par l’intermédiaire des marchants arabes. Ils cherchaient aussi à trouver de nouvelles terres, de nouvelles sources d’approvisionnement où l’on pourrait se procurer de l’or et de l’argent