Route des Indes

d'étambot pour les manœuvres aux voiles carrées pour la vitesse. La sécurité est cependant relative, naviguer reste très risqué. Mais à l'époque de l'humanisme, l'envie de connaissances et la curiosité qu'a suscité Marco Polo dans son récit sur les Indes sont déjà des raisons suffisantes pour prendre le risque d'embarquer. 2) RELIGIEUSES ET GÉOPOLITIQUES Ensuite, une réelle volonté d'expansion du christianisme (doc2) inspire ces voyages. Elle s'exprime d'abord à travers le mythe du royaume du prêtre

humanitaire d'Espagne. C'était un élève plutôt agité. Il s'aperçoit très vite que ce n'est pas de son goût, que de nombreuses matières ne lui plaisent pas. Il va donc se tourner vers l'infanterie Espagnole. Il préfère plutôt aller sur la mer, car les "Indes" sont à l'époque plus attirantes que les champs de bataille. En 1504 il va faire travailler des indiens sur l'île de Haïti, car on lui a donné une terre à cultiver. Il y connaît quelques amours passagers mais sans aller plus loin . En 1511 il ira conquérir

reconquise par l’Archiduc à la bataille d’Almansa. De plus il est stipulé dans l’article des préliminaires de la Haye que « Louis XIV reconnaitra dès à présent, ainsi que pour le traité de paix à faire, le roi Charles III en qualité de roi d’Espagne, des Indes, de Naples, de Sicile, et généralement de tout les états et dépendance ». Mais également que « le roi de France fera en sorte que dans l’espace de deux mois, à commencer du 1ER juin 1709, le royaume de Sicile soit remis à Charles III », le roi devra

Portugais le métal extrait en Europe Centrale (achat puis réexpédition - vers le marché de l’Escaut – des richesses de l’Asie méridionale que leur flotte des Indes acheminait à Lisbonne. La factorerie d’Anvers devint même le seul comptoir de vente, dans l’Europe du Nord-ouest, de tout ce que produisait l’empire colonial portugais d’Afrique, des Indes et même du Brésil. Sous le règne d’Emmanuel Le Grand (1495-1521), plus d’un million de livres de poivre, environ 17250 kg de sucre, 40 000 livres de cannelle

décolonisation des Indes Britanniques Pour commencer, il est important de préciser certaines choses. Tout d’abord, même si cela relève d’une certaines logique pour beaucoup, qu’est-ce que la décolonisation ? La décolonisation marque l’indépendance du pays colonisé, ainsi quand on parle de la décolonisation des Indes Britanniques, on va parler du processus qui à permis que les Indes Britanniques obtiennent leur indépendance. Ceci étant dit, parlons des Indes Britanniques, il faut préciser que les Indes Britanniques

peuplement. L'Empire des Indes constituait une colonie d'exploitation. L'empire colonial permettait d'atténuer la misère sociale causée par la révolution industrielle : des chômeurs mourant de faim émigraient vers les colonies pour y trouver un avenir meilleur. Cela contribua à une mondialisation humaine. L'Empire des Indes constituait la "perle de l'empire" : exact contraire de la colonie de peuplement (quelques dizaines de milliers de britanniques dirigeaient cette colonie), les Indes étaient peuplées

l'Europe Littéraire (Université de Haute-Alsace). Il s'intéresse particulièrement aux récits de voyage et aux spectacles (théâtre, danse, marionnettes...). Récits de voyage : écriture, récriture Trois récits de voyage –Aziyadé (1879), Mahé des Indes (1887) et Madame Chrysanthème (1887)- servent de référence à une réflexion sur la valeur accordée aux spectacles, vus par Pierre Loti, dans le cadre de la relation variée entre le texte référentiel et le dispositif fictionnel. D'emblée il est nécessaire

créer l'illusion quíun prince va venir la chercher pour l'épouser. -l'illusion des alchimistes de pouvoir transmuter tous les métaux en or -c'était une illusion de la part de Christophe Colomb, quand il croyait avoir trouvé une nouvelle route maritime des Indes -On peut qualifier d'illusion l'assertion de certains nationalistes, assertion d'après laquelle les races indogermaniques seraient les seules races humaines susceptibles de culture, ou bien encore la croyance d'après laquelle l'enfant serait

terres. ; Par la lecture des écrits de Marco Polo au XIII s , les européens ont soif de découvrir cet univers et s’enrichir. Ils souhaitent découvrir de nouveaux espaces pour étendre leur zone de commerce, trouver de l’or , des épices. De plus la route maritime leur permet d’accéder directement en Asie sans passer les routes orientales et enfin, ils espèrent convertir de nouveaux peuples à leur religion. pour étendre le christianisme Les progrès de la navigation En outre, les navigateurs ont de

provinces de l’empire). Les échanges concernaient avant tout les produits agricoles et les tissus ; • — la Renaissance en Europe et la « découverte » du Nouveau Monde en 1492. La recherche d’une route maritime atlantique pour parvenir en Asie obéissait à des motifs commerciaux (tissus et épices). Les Indes occidentales ont ensuite constitué un fabuleux gisement pour des transferts internationaux de métaux précieux (un pillage faudrait-il mieux dire), mais aussi de ressources alimentaires nouvelles