Royaume de Prusse

politique de L’Italie: Après la proclamation de Rome comme capitale du nouveau royaume marque en principe l’avènement de l’unité territorial de l’Italie. Plus préoccupant pour les dirigeants et pour le peuple italiens est l’inachèvement de l’unité politique, administrative et institutionnelle du pays. Dans un cadre élargi à l’ensemble de la péninsule, ce sont, à quelques retouches près, les institutions du petit royaume de Piémont-Sardaigne qui servent de support à la vie politique. La nature, les

Former une nouvelle Europe sous direction de la France Dès 1803, Napoléon commence une politique de conquête militaire : - 1803 : Angleterre : Bataille sur mer, Défaite (l’Angleterre a une force maritime puissante) - 1805 : Autriche : Victoire - 1806 : Prusse (Allemagne) : Victoire (Blocus de l’Angleterre, empêchant les échanges avec le continent) 1811  L’empire français est composé de la France, Pays-Bas, États pontificaux, Corse, iiiiiiiiiiiiiiinos régions, Piémont  Les états vassaux sont dirigés par

Castelreagh et le chancelier prussien Hardenberg. Le tsar rêve d’unir les Etats d’Europe dans une fédération conduite par la Russie ; il est soutenu par la Prusse ; mais l’Angleterre et l’Autriche y sont opposées. * Ils décident des nouvelles frontières en Europe  La Russie s’étend sur la Pologne et la Finlande  Gains territoriaux pour la Prusse et l’Autriche qui a accès à la Méditerranée en occupant l’Italie du Nord et la côte adriatique.  La France perd ses conquêtes et se retrouve dans les

Nassaud-Sarrebruck. Le termedespotisme éclairé, inventé au XIXe et au XXe siècle, renvoie à un ensemble de réformes en Prusse (avec Fréderic II), en Autriche ( avec Marie-Thérèse et le joséphisme), en Suède( avec Gustave III) au Danemark(avec Christian VII), en Russie( avec Catherine II), en Pologne( avec Stanislas Poniatowski), dans les Etats italiens( notamment dans le royaume de Piémont-Sardaigne de Victor-Amédée II, puis de son fils), en Espagne( avec Charles III),au Portugal( avec Pombal). Ces

européennes face aux aspirations nationales1 Le Congrès de Vienne (nov.1814 - juin 1815), nouvelle diplomatie européenne et restaurations monarchiques Après la défaite de Napoléon face aux armées européennes coalisées (Autriche, R-U, Prusse, Russie), se tient à Vienne, sous la direction du ministre des Affaires Etrangères autrichien, Klemens von Metternich, Klemens Metternich est né à Colombe en Rhénanie, il fait son étude à Strasbourg, c’est un ministre des Affaires étrangère de l’Autriche

de la Sorbonne, sa grande spécialité est l’histoire de la Commune, période historique qui s’est déroulé du 28 Mars au 18 Mai 1871, suite à la chute du IIème Empire de l’Empereur Napoléon III en 1870, et à la capitulation de Paris, devant le Royaume de Prusse. Composition du livre Le livre en question est une réédition qui est parue en mars 2004. On nous indique la présence d’une préface inédite, de six chapitres, de plusieurs bibliographies indicatives, et de références.

sous forme libérale. Le prince de Metternich demanda de l’aide à la Prusse et a la Russie pour arrêter cet élan en France et a l’Angleterre pour une aide en Italie. L’Angleterre et à la Russie ont refusé, la Prusse elle a tardé de prendre une décision lorsqu’elle a voulu s’allié a Vienne, la révolution paralysait la Prusse. En Hongrie la vague révolutionnaire s’anime le 3 mars 1848 à la chambre des députés de la Diète du royaume de Hongrie quand L Kossuth demande à vienne des réformes (émancipation

l’équilibre mis en place. Au 19e les grandes puissances secondaires sont l’Espagne, le Portugal, la Chine ; le Japon et l’Afrique subissent différentes pressions qu’elles soient européennes ou coloniales. Les puissances majeures restent l’Italie, la Prusse, la France, la Russie et l’empire Austro-Hongrois. Oscillation entre la paix et la guerre est permanente car même en temps de paix les tensions perdurent, il faut apprendre à contrebalancer avec les tensions pour ne pas arriver dans des tensions

l'Autriche dans le cadre du Saint-Empire romain germanique (de 962 à 1806) puis de la Confédération germanique (de 1815 à 1866), en 1871, à la fin de la guerre franco-prussienne, les divers États allemands furent réunis dans un État dominé par la Prusse, donnant ainsi naissance à l'Allemagne unifiée moderne, dite également Deuxième Reich ou Reich Wilhelminien. La défaite allemande qui suivit la Première Guerre mondiale provoqua en 1918 l'avènement de la République, puis en 1933 celui du Troisième

de la Sainte Alliance, l'empire des Habsbourg soutenu par l'empire de Russie, parvient à maitriser pour temps, un certains nombres de mouvements nationalistes. Néanmoins les aspirations nationales subsistent et déclenchent notamment dans les royaumes de Prusse et de Piémont Sardaigne et chez la plupart des peuples soumis à la domination de l'empire Austro-Hongrois, la maturation d'une volonté d'unification. C'est dans cette ordre d'idée qu'il est nécessaire de se demander dans quelle mesure