Royaume du Baol

les pouvoirs magiques indispensable un chef Dès lors la conclusion impose Depuis des esclaves ne se sont plus réunis pour tuer le fils de leur maître et emparer du pouvoir Le cadre politique de ce conte explique par ce que nous savons des royaumes bambara où la mort du souverain ouvrait toujours une crise le fils du roi même si celui-ci avait désigné comme son successeur étant jamais reconnu emblée mais devant affirmer des qualités personnelles pour conquérir nouveau le pouvoir PAULME

des Otages ou des fils de chefs, Ecole Blanchot, Lycée Faidherbe où se sont formées les premières élites africaines. Saint-Louis a produit ses premières autorités propres avec les "Maires indigènes" gestionnaires des intérêts et arbitres entre les royaumes, les négociants, les traitants42 de tous horizons. Elle entre tôt dans la révolution mondiale transatlantique qui voit les Etats Unis et Haïti accéder à l'indépendance entre 1776 et 1794 et la France vivre une révolution où Saint- SOW F. (1997)

Thiam et ses partisans disent niet Birane LO (Envoyé spécial) Moustapha Niasse «Ce que les Tunisiens ont fait, les Sénégalais peuvent le faire. Et si les choses continuent comme ça, un jour, les Sénégalais le feront. Ça commence en Egypte. Au royaume de Jordanie, il y a eu la même chose. Ici tous les soirs, les jeunes Sénégalais brûlent des pneus. Ça commence comme ça. Abdoulaye Wade, s’il ne fait pas attention, et s’il ne décide pas d’arrêter ce qu’il fait chaque jour, au détriment des Sénégalais

régionale Méckhé-Fatick et de la Nationale III. Elle fut créée en 1886 à partir des hameaux qui s'étaient implantés autour du marigot. Cette affluence de populations s'est vue accentuée par le forage du puits de Kabe en 1906. En 1907, l'ancien royaume du Baol fut érigé en cercle avec comme chef lieu Diourbel et comprenait trois subdivisions dont celle de Bambey qui renfermait les cantons de Tieppes, Ndadène , Guéaul et Lambaye ; En 1926, Bambey fut une commune mixte et elle devient seulement commune

démographique également influait sur la clarté, la précision et l'importance accordées au respect des règles. Ainsi, à l'époque du royaume du Baol, dans l'actuel bassin arachidier, la relation directe entre l'état des peuplements de Cad (Acacia albida) et la fertilité des sols faisait de l'acte d'abattre un de ces arbres un délit passible de la peine de mort. Par contre, dans les royaumes du Sénégal Oriental aux populations plus dispersées, les règles régissant les forêts étaient bien moins rigoureuses, l'intérêt

enfants fût faite par les tantes ou grand mères paternelles. Je ne pouvais ainsi échapper à cette règle. Aussi à l’âge de deux ans et demi, je quittais Mbacké, dans le Baol, où mon père était affecté trois mois après ma naissance, pour la fraîcheur des nuits saint-louisiennes. Au demeurant, Mbacké constitue, pour moi, le royaume d’enfance. J’y revenais passer mes vacances jusqu’en 1945, année où mon père quitta cette ville. A Saint-Louis, ce fut ma grand-mère paternelle Fama Basse qui devait