Rue de la Ferronnerie

abattoirs à l’ouest de la ville. Enfin, les activités annexes de transport( garages, stations-services, ateliers mécaniques, petite restauration), si classiques sur les axes routiers marocains, s’égrènent aux sorties de a vile et animent la façade sur rue des douars périphériques, notamment sur la route de Fès. Ainsi ce tertiaire de service se localise-t-il en une ceinture externe, éloignée du cœur de la ville densément peuplé et actif. Cela se traduit par de longs déplacements pour les usagers, des

cette institution, continue de recevoir des adolescents dont l’avenir semble quasiment incertain. La seconde raison est suscitée par l’attitude de nombreux enfants remis aux parents, qui à leur sortie du centre préfèrent retourner à la rue. Cette attitude interpellatrice nous amène à en savoir davantage sur les motivations de ce comportement. Au regard de ces attitudes, il nous a paru important d’apprécier la part de responsabilité de certains parents (père, tuteur ou oncle) dans la

médecins, les hommes de religion qui avaient un point de vue différent. Cette vague d'assassinats a terrorisé le pays et tout le monde se sentait visé par les terroristes. Les assassinats étaient commis de jour comme de nuit, dans les maisons, dans la rue, dans les mosquées. Dans le même temps, un autre groupe s'était spécialisé, toujours dans les villes, dans l'assassinat des forces de l'ordre et la destruction de tout ce qui représentait l’institution de l'Etat comme les administrations locales. Le

du magasin puis entrer de nouveau pour acheter le pot de mayonnaise qu'il s'etait refuse l'instant precedent. Drole de clown triste qui amusait la galerie, begayait devant les vendeuses et lui serrait le c?ur. Elle le croisait quelquefois dans la rue ou devant leur porte cochere et tout n'etait que complications, emotions et sujets d'angoisse. Cette fois encore, il gemissait devant le digicode. – Un probleme? demanda-t-elle. – Ah! Oh! Euh! Pardon! (Il se tordait les mains.) Bonsoir mademoiselle

tard. Le quincaillier a bien entendu et, depuis, impossible d’échapper à ces petites remarques chaque fois que je passe devant sa boutique : « Alors mademoiselle, toujours pas d’amant ? » Haha… Christelle, 32 ans ● Robe de princesse En pleine rue, je tombe nez à nez avec la robe de ma vie derrière la vitrine : en satin vert d’eau, recouverte d’un filet de dentelle noire, elle est magnifique ! Et chère aussi : 150 €. Tant pis, je rentre quand même dans le magasin et je l’essaye, juste pour voir

assassiné Henri IV. Mon imagination exigeait la rencontre d'un événement historique. «_Le roi sortit du Louvre en carrosse. Il était au fond de sa voiture, dont les panneaux se trouvaient ouverts. Un embarras de deux charrettes à l'entrée de la rue de la Ferronnerie, qui était fort étroite, força le carrosse royal de s'arrêter. Au même moment, un homme de trente−deux ans, de physionomie sinistre, de grande taille et de forte corpulence, barbe rouge et cheveux noirs, François Ravaillac, met un pied sur

ÉDITION2010 09 MARTINIQUE INSTITUT D’EMISSION DES DEPARTEMENTS D’OUTRE-MER ETABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL SIEGE SOCIAL 164, rue de Rivoli 75001 PARIS Martinique Rapport annuel 2009 Les renseignements autres que monétaires publiés dans la présente étude ont été recueillis auprès de diverses sources extérieures à l’Institut d’émission et ne sauraient engager sa responsabilité. L’IEDOM tient à remercier les diverses administrations publiques, les collectivités et les entreprises

christianisme ont peutêtre seuls connu ce mysticisme-là, où un minimum d’humanité subsiste dans la plus grande somme de superstitions et de pratiques religieuses. Mais si le mysticisme apparaît sous cette forme d’espoir frénétique et vivant qui se rue dans les champs touffus de la sensation et de l’action et recueille dans sa substance l’envahissement simultané de toutes les forces du monde – 15 – qui l’approuvent, le renouvellent et l’exaltent, il est l’esprit créateur même à qui son accord

vie enviable, et ayant néanmoins des ribambelles d'enfants. Il y a quelques années, une charge placée sur une moto a explosé rue Copernic à Paris, à dix-sept mêtres de l'entrée d'une synagogue et derrière l'écran d'un platane. Il n'y a pas eu le moindre blessé dans la synagogue et rien ne permet d'affirmer qu'il s'agissait d'un attentat dirigé contre celle-ci. Dans la rue, par contre, il y eut des morts, huit je crois ; parmi eux une seule juive qui passait là par hasard. Nous n'entendîmes parler

femmes algériennes acceptent que leurs maris les battent[228]. Une étude récente dévoile qu’entre 2007 et 2008, 36 % de garçons et 15 % de filles ont subi une violence physique à l’école, 35 % de garçons et 12 % de filles ont été agressés dans la rue. 26 % d’adolescents ont été battus au sein de leur famille[229]. Depuis 2006, l'IDH algérienne est croissante. Ainsi, en 2010, l'indice atteint 0,787. Passant de 0,754 en 2007 à 0,787 donc en 2010[230]. Le gouvernement accorde 1,5 milliard d'euros