Rue des Martyrs

semblent accorder de l’importance sont le luxe et la richesse dont elle est privée 3. A) « au bout d’une semaine,…, vieilli de cinq ans », « angoisses de l’avenir », « noire misère ». B) Moyen de transport = un vieux coupé, nom de la rue = rue des Martyrs (représentants leur future vie, une vie de sacrifice).  4. A) « C’était une de ces jolies … », « les femmes n’ont point de caste … plus grandes dames ». B) Maupassant souligne les inégalités sociales entre Mathilde et son amie, elles

bonheur des Dames Chapitre 1 : Les trois détails qui montrent l’importance du Bonheur des Dames, l’idée général sont le volume du magasin qui est grande ex dans la page 8 1er exemple : « Puis les vitrines enfonçaient, longeaient la rue de la Michodière et la rue Neuve-Saint-Augustin ; où elles occupaient , outre la maison triangle , quatre autres maisons , deux à gauche , deux à droite , achetées et aménagées récemment »  Ensuite, la variété des objets présent dans le magasin : 2ème exemple

n’est pas au courant de ce que Mouret veut. Mme Desforges est la maîtresse de Mouret. Il entra dans le salon où se trouvait toutes les femmes et les salua. Les femmes parlaient de leur affaires. Elles demandèrent l’avis de Mouret sur leurs achats. Mme Marty une fièvre acheteuse du bonheur des dames arriva. Elle montra au autre ce qu’elle avait acheté. M. de Boves et M. de Vallagnosc arrivèrent. Mouret retrouvait un amie d’enfance n’étant qu’autre que M. de Vallagnosc. Ils se remémorèrent leur enfance

passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. - Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres

passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. – Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les

avocat, ne voit pas beaucoup sa femme -Lucien : 4 ans, enfant de Mme Bourdelais -Madeleine : 10 ans, fille de Mme Bourdelais -Mme Marty : 35 ans, dépensière, amie de Mme Desforges -M Marty : professeur au lycée Bonaparte -de Vallagnosc Paul : travaille au ministère de l'intérieur, amant puis mari de Blanche de Boves, ami de Mouret -Valentine : fille de Mme Marty, 14 ans Les employés du « Bonheur » : -Bourdoncle : adjoint du patron puis renvoyé -Bouthemont : premier (chef de rayon) à

passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. - Oh! dit-elle, regarde un peu, Jean! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres

prison en Irlande car ils demandaient le statut de « prisonnier politique ». Ils furent considérés comme des « martyrs républicains » La partie où la chanteuse est couverte de peinture dorée devant un grande croix avec des enfants, également avec de la peinture sur le corps, armés d’arcs et de flèches,est la partie qui fait clairement référence au martyr de Saint Sébastien, un saint martyr romain, qui aurait été tué lors de persécutions antichrétiennes au début du IVe siècle. Il est souvent représenté

passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. Licence : Domaine public 1 I DENISE était venue à pied de la gare Saint-Lazare

Denise ne possède qu’une robe de laine noire qu’elle doit repriser en permanence. Par ailleurs, leur rapport à la mode traduit aussi la personnalité des personnages : même lorsqu’elle gagne plus d’argent, Denise ne s’habille pas richement, et Mme Marty est habillée de façon extravagante, ce qui reflète son esprit détraqué par la passion des chiffons. Il est intéressant de lire le commentaire de Zola à propos du tableau de Monet Camille ou la femme à la robe verte qu’il a aperçu lors du Salon de