Rue des Martyrs

avec le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement et des wilayas du pays. Le tracé de la manifestation dans la capitale s'est étiré du haut de la rue Didouche-Mourad (au niveau du siège du ministère de l'Habitat) jusqu'à la place des martyrs en passant par le boulevard du Front de mer, englobant la Grande-Poste, la rue Asselah Hocine et les boulevards Zighout-Youcef et Che Guevara.

elles aussi clientes du Bonheur de Dames. Bien que attirée par les prix elle reste relativement fidèle au ancien artisan pour tous se qui est de la qualité, elle se méfie du Bonheur de Dames. B- Les amies de Mme Desforges Mme Bourdelais, Mme Marty, Mme Guibal et Mme de Boves sont toutes les quatre des amies de Mme Desforges, Elles apparaissent dans le chapitre III mais sont cités dans le chapitre premier en même temps que Mme Desforges. 1- Mme Bourdelais est âgée de 30 ans, c'est une petite

l'Yser rue de Valmy Cours de l'Yser Cours Gambetta boulevard de la République Quai des Chartrons route du Medoc bis Cours de Fosses avenue Carnot La Forestière avenue de la Côte d'Argent cours Héricart de Thury avenue Jean Jaurès cours du Général de Gaulle place des Martyrs de la Résistance avenue Louis-Barthou rue François Mitterrand rue du 14 Juillet avenue Thiers rue de la Plage avenue du Lac cours du Général de Gaulle rue de Naujac boulevard du Lac avenue Vulcain rue de la Belle Rose rue Duffour

ordonne alors sa reconstruction entre 118 et 128. L'édifice est un temple dédié à l'ensemble aux dieux surtout a Mars et Vénus, avec sa coupole avec 43m de haut percé d'un occulus. Le panthéon devient une église chrétienne vouée a Sainte-Marie-Aux-Martyrs en 609. Il est situé a la place Piazza Rotonda à Rome. Son porche d'entrée est doté de seize colonnes supportant un fronton en avancée. La coupole qui symbolise la voûte céleste était non seulement l'image du lieu de résidence des dieux mais aussi

Analyse du tableau « Un martyr ou Le Marchand de violettes »: Ce tableau à été peint par Fernand Pelez (1848-1913) en 1885. C'est une huile sur toile qui est exposée à Paris, au musée du Petit Palais. C'est un tableau figuratif dont on ne connait pas les dimensions. Au premier plan, on peut voir un enfant avec quelques violettes dans une caisse en bois. Celui-ci semble endormi, ses vêtements sont sales et abimés. Il ne porte pas de chaussures. On en déduit qu'il est pauvre, voir mendiant

travers lui, en trajets délirants, mille existences qui pourraient être les siennes passent et repassent dans une émouvante fantasmagorie. Mille identités contradictoires le soumettent au mouvement de la folie verbale où le juif est tantôt roi, tantôt martyr et où la tragédie la plus douloureuse se dissimule sous une énorme et pudique bouffonnerie. Ainsi voyons-nous défiler des personnages réels ou fictifs qui appartiennent à la mythologie personnelle de l'auteur : Maurice Sachs et Otto Abetz, Lévy-Vendôme

avocat, ne voit pas beaucoup sa femme -Lucien : 4 ans, enfant de Mme Bourdelais -Madeleine : 10 ans, fille de Mme Bourdelais -Mme Marty : 35 ans, dépensière, amie de Mme Desforges -M Marty : professeur au lycée Bonaparte -de Vallagnosc Paul : travaille au ministère de l'intérieur, amant puis mari de Blanche de Boves, ami de Mouret -Valentine : fille de Mme Marty, 14 ans Les employés du « Bonheur » : -Bourdoncle : adjoint du patron puis renvoyé -Bouthemont : premier (chef de rayon) à la

des “petites ouvrières” > sorte de gradation. L16-17: Parallélisme de construction : “Cela représentait deux dîners sans déjeuners ou deux déjeuners sans dîner, au choix”> il est dans le manque, tire le meilleur parti de son argent. L23-24: “la rue Notre-Dame de Lorette” (Lorette : prostituée) > lien avec Rachelle, la première femme avec laquelle il commence son ascension sociale. L26-27 « les jambes un peu entrouvertes comme s'il venait de descendre de cheval » >ironie : Maupassant se moque

associée à la société bourgeoise de la fin du XIX e siècle. En effet, la vraisemblance de l’histoire est évoquée par l’identification de lieux réels. Tout au long du récit, cet auteur utilise des lieux tels que : « plaine de Nanterre » (p.163), « rue des Martyrs » (p.165), « la Seine » (p.165), « Champs-Élysées » (p.170). À la suite de l’identification de ces lieux, nous comprenons que ces endroits son réels et qu’ils se trouvent dans la ville de Paris, où se déroule la nouvelle. Donc, nous n’avons aucun

tout si c'est ça!!) Intro : roman 3 questions : « ou ca se passe ? » ; « quand ? » ; « avec qui ? » I. Un début de roman piégé 1. Incipit apparemment traditionnel: Lieu narratif: Paris. Cadre imaginaire mais avec des repères réels (noms de rue, monuments etc.) + repère historique (1819) + introduction des personnages. Texte répond sur le champ question « qui » --> Mme Vauquer + description. 2. Au delà des apparences : Ecart chronologique entre la date de la description et la narration