Rue du Montparnasse

point de partir, apparaissent fatigués, le visage fermé et triste. Quel est le contexte historique ? Dessin reproduit en série et collé sur les murs des immeubles détruits au moment de la réhabilitation de certains quartiers parisiens (ici, Montparnasse). Ainsi Ernest-Pignon Ernest met en scène des personnages qui sont sur le départ à cause d’une expulsion déclenchée par la ville de Paris, sous prétexte d’une rénovation de quartier. Réhabilitation : remettre en bonne état un immeuble  La prise

BONGIOVANNI :: Les rues de nos mégapoles sont devenues des espaces privilégiés pour la création artistique. Parce qu’elle est le territoire sur lequel se télescopent, se confrontent, ou se conjuguent les différentes strates qui composent le tissu social, la rue est un atelier collectif et ouvert permettant aux artistes de proposer leurs préoccupations, leurs fulgurances, leurs contributions participant ainsi, par leurs visions, au travail "du vivre ensemble" dans la cité. Il me semble que c’est bien cela que

les hauteurs des étages en fonction de la largeur de la voie, font que, d'un immeuble à l'autre et parfois sur toute une rue, les lignes de balcons sont continues * La hauteur : A cause des diverses circulaires et règlements (avant, pendant et après "Haussmann"), la hauteur des immeubles est strictement limitée en fonction de la largeur de la voie qu'ils bordent : plus la rue est grande, plus la façade sera grande. D'où l'impression d'unité donnée par les rues reconstruites à cette époque

Jacques Prévert Jacques Prévert est un poète et scénariste français, né le 4 février 1900 à Neuilly-sur-Seine, et mort le 11 avril 1977 à Omonville-la-Petite. Jacques Prévert naît au 19 de la rue de Chartres à Neuilly-sur-Seine (actuellement Hauts-de-Seine) le 4 février 1900. Il y passe son enfance. Son père André Prévert, fait divers métiers pour gagner sa vie et de la critique dramatique et cinématographique par plaisir. Il l’emmène souvent au théâtre et au cinéma. Suzanne, sa mère (née Catusse)

l'époque, s'installent à Montmartre. Cette zone de campagne était idéale pour échapper à l'agitation de la ville et permettait de se démarquer de la société bourgeoise, de laisser libre court à la nouveauté et l'anticonformisme. Dans le quartier Montparnasse, la Ruche est une cité d'artistes qui accueille une soixantaine d'ateliers. Parmi ces innovateurs, il y avait des peintres et des sculpteurs : Mark Chagall, Pablo Picasso, Vincent Van Gogh, Henri Matisse, Cézanne, Georges Braque, Auguste Rodin

animations ce faisaient par milliers dans la grande rue des champs Elysée. Ensuite, j’allai vers la Tours Eiffel, cette dame de fer que j’aime toujours autant et qui domine tout Paris. Il n’y avait rien de nouveau (mis a part les nouvelles technologies d’ailleurs aux quelles je commence à m’habituer et au surplus de populations) dans ce quartier je décidai donc de marcher plus loin et j’arrivai devant une gigantesque tour : la tour Montparnasse une nouvelle tour apparu il y a quelques années de ca

la démarche appropriative à laquelle, Villeglé surtout, restera attaché tout au long de son parcours artistique : « le décollage des affiches de l’environnement urbain. » En février 49, Hains et Villeglé repèrent à Paris, près de la Coupole à Montparnasse, placardée sur la palissade d’un entrepôt de charbon, une série d’affiches de concerts. Ils vont s’en approprier des morceaux assez longs pour réaliser une nouvelle « tapisserie de Bayeux » (selon Raymond Hains). La Tapisserie de Bayeux (1077)

Jusqu’à 1876, il habite au 2 rue de Moncey une pièce obscure au rez-de-chaussée. Malgré l’écriture d’articles et de récits pour quelques journaux, les semaines d’un fonctionnaire sont surchargés de travail que, de 1872 à 1880, il se rend régulièrement le dimanche sur les bords de Seine pour se baigner, canoter, retrouver la compagnie de ses amis, des peintres impressionnistes… et des femmes. En 1884, il emménage au rez-de-chaussée du 10 rue Montchanin (devenue rue Jacques Bingen), où il demeure

Londres. Il s’intéresse au suicide à cette époque. • Entre 1934 et 1936, il publie des poèmes et des nouvelles qui ne lui apportent aucun succès. • Fin 1937, il s’installe définitivement à Paris. En Janvier 1938 il se fait agresser au couteau en pleine rue. Il retrouve une ancienne amie, Suzanne, rencontrée en 1928, qui devient sa compagne puis son épouse en 1961. Elle s’occupera de sa carrière auprès des éditeurs. • En 1938, il publie son premier roman, Murphy, après 42 refus. • Durant la seconde Guerre

Suzanne, sa mère, l’initie à la lecture. Il s’ennuie à l’école, et dès 15 ans, après son certificat d’études, il la quitte. Il multiplie alors les petits travaux. En 1925, il participe au mouvement surréaliste, qui se regroupe au 54 de la rue du Château près de Montparnasse. C’est en fait un logement « collectif » où habitent Marcel Duhamel, Raymond Queneau et Yves Tanguy. Prévert est toutefois trop indépendant d’esprit pour faire véritablement partie d’un groupe. Il supporte mal les exigences d’André Breton