Rue Le Peletier

le décrit en1834 dans une lettre à Ewelina Hańska, était déjà conçu : « Je crois qu’en 1838, les trois parties de cette œuvre gigantesque seront, sinon parachevées, du moins superposées et qu’on pourra juger la masse18. ». Dès 1832, il accourt de la rue Cassini jusqu'au Faubourg Poissonnière où habitent les Surville pour leur annoncer : « Saluez-moi car je suis tout bonnement en train de devenir un génie. ». Et il déroule son plan en faisant les cent pas dans leur salon19. -------------------------------------------------

intendant général d’armée, et alors directeur d’une des plus importantes administrations du ministère de la guerre, conseiller d’État, grand officier de la Légion d’honneur, qui occupe une grande maison nouvellement construite entre la rue de Bellechasse et la rue de Bourgogne (56). En le voyant, la baronne Adeline Hulot demande à sa fille Hortense d’aller dans le jardin avec Elisabeth Fischer, dite Lisbeth ou Cousine Bette, une vieille fille sèche qui paraît plus âgée que la baronne, quoiqu’elle

d'un véritable procès. 20 novembre 1792 : découverte de l'armoire de fer aux Tuileries. → contribue à déteriorer l'image du roi et convaincre les hésistants à se rallier aux partisans du procès. 3 décembre 1792 : le rapport est adopté. Dans la rue la pression est énorme et les sections réclament la mort du roi. 10 décembre 1792 : le député Lindet énumère toutes les charges retenues contre Louis XIV depuis 1789. → Louis XVI en prend connaissance, les récuse et base sa défense sur son inviolabilité

d'une famille de petite noblesse. Son père est un bourgeois gentilhomme passionné par les beaux-arts, il aura sûrement transmis ce goût à son fils. Il sera surnommé le Prince des poètes dans les années 1550 par ses homologues : Pontus de Tyard, Baif, Peletier et bien entendu Du Bellay. Il meurt en 1585. Tout comme Joachim Du Bellay il était atteint de surdité. Invocation à la Mort Invocation à la Mort est le dernier poème de son Hymne à la Mort (1555), selon la tradition antique,

aux bals masqués. On y vient autant pour voir les spectacles que pour s’y montrer. Mais avant l’inauguration en 1875 de ce grand bâtiment, conçu par l’architecte Charles Garnier, le théâtre parisien dédié à la musique et aux ballets se trouve rue Le Peletier. C’est dans ce théâtre plus modeste, détruit en 1873 par un incendie, que Degas vient d’abord observer les danseuses qui s’exercent sous l’œil attentif du maître de ballet, Jules Perrot. La Classe de danse du musée d’Orsay témoigne de ses visites

décorations des nouvelles boutiques témoignent de cette transformation : Andrée Putman pour Azzedine Alaïa a l’idée des vêtements dissimulés dans les cloisons couvrant les murs et plus tard Julian Schnabel fait pour lui une boutique invisible de la rue, fermée par une lourde porte de métal aveugle. La mode des créateurs doit se mériterait, comme l’œuvre d’art, ne parle qu’à un public averti. Un autre créateur qui fait entrer l’art dans ses créations est Jean-Charles de Castellbajac qui fait

que cette commission pose comme principe : • L’instruction à tous les âges • La gratuité • La mixité • L’avènement du citoyen. A la suite de cette commission Condorcet un plan d’éducation national construit en 1793, rapport construit par LE PELETIER ; ce plan reprendre certaines dispositions du rapport Condorcet : • Tous les enfants doivent être pris en charge par la république • Garçon : de 5 à 12 ans. Filles : de 5 à 11 ans. De 5 à 11 ans pour des raisons biologiques (la fille devient une

honneur en gage, Et de grand’peine emporte peu d’estime Qui fait parler Petrarque autre langage, Le translatant en vers rime pour rime: Que pleust aux Dieux et Muses consentir Qu’il en vinst un qui me peust dementir. (J. Peletier du Mans, Oeuvres poétiques, 1547) * Chi vuol veder: Qui vouldra veoir tout ce que peult Nature, Contempler vienne une qui en tous lieux Est ung soleil, ung soleil à mes yeulx, Voire aux ruraulx qui de vertu n’ont cure

syllabes. « J’aurais bien voulu, mon cher Gérard, t’aller rejoindre au Caire, comme je te l’avais promis… J’aimerais me promenant en devisant avec toi au bord du Nil… Ne pouvant te suivre, je me suis fait construire un Orient et un Caire, rue Le Peletier, à l’Académie royale de musique et de danse. » Par ses propos, Gautier reconnait qu’il ne connait l’Egypte que par son imagination dû au récit de Gérard de Nerval avec son Voyage en Orient. Mais, Gérard de Nerval incite à l’imagination et non

BONGIOVANNI :: Les rues de nos mégapoles sont devenues des espaces privilégiés pour la création artistique. Parce qu’elle est le territoire sur lequel se télescopent, se confrontent, ou se conjuguent les différentes strates qui composent le tissu social, la rue est un atelier collectif et ouvert permettant aux artistes de proposer leurs préoccupations, leurs fulgurances, leurs contributions participant ainsi, par leurs visions, au travail "du vivre ensemble" dans la cité. Il me semble que c’est bien cela que