Rufisque

L'industrialisation de la pointe occidentale du pays a encore impulsé une migration caractérisée par des départs massifs des zones rurales et des régions périphériques. Les autres villes importantes sont Thiès (185 000 habitants), Kaolack (157 000 habitants), Rufisque (150 000 habitants), Ziguinchor (124 000 habitants) et Saint-Louis (118 000 habitants), la plus ancienne de toutes les villes fondées par les Français en Afrique. Parmi les principaux groupes ethniques, les Ouolofs, nombreux dans la région du Cap-Vert

hormis l’est qui la relie au Sénégal. Sa position avancée dans l’océan lui vaut le titre de « la presqu’île du Cap-Vert » ce qui engendre son engorgement. Afin de la soulager, trois banlieues ont été créées à sa proximité: Guédiawaye, Pikine, et Rufisque. Ces banlieues, avec la ville de Dakar, forment l’une des 14 régions administratives du Sénégal. 2.2.2. Répartition territoriale et démographique Indicateurs | Région de Dakar | Sénégal | % | Population estimée | 2,5 | 12.1 | 20

mouvement est fait à l’échelle nationale et internationale. A l’échelle nationale : - Les populations vont à l’UCAD à Dakar et à Rufisque pour les études. - Les habitants du village à Rufisque, au Port Autonome de Dakar et au Cours Ste Marie de Hann pour l’emploi. - Pour ce qui est de la pêche, les villageois vont à Joal, Mbour et Yarakh. - Les populations de Rufisque migrent vers Toubab Dialaw à la recherche d’une main d’œuvre. - Les touristes étrangers et nationaux migrent très souvent vers Toubab

08 91 24 2004 Cheikh Balla Nar DIENG Charge de ZIGUINCHOR I (1993) 132, Rue Lemoine BP : 576 ZIGUINCHOR (Sénégal) notairesud@yahoo.fr 33 991 18 01 33 991 19 01 25 2004 Magatte Bop BENGELOUNE Charge de Rufisque dénommée Dakar XVIII (2008) Rufisque Route des HLM près du Bloc Fiscal E-mail : mebengeloune@orange.sn 33 836 41 10 33 836 41 08 26 2004 Aminata Sophie Diop SOW Charge de TAMBACOUNDA 186, quartier Dépôt TAMBACOUNDA 27, rue Jules Ferry, Angle Moussé

coraniques, il rejoint les bancs de l'école française à l'âge de onze ans, puis fréquente le Lycée avant d'intégrer l'École normale William Ponty. Il devient en 1929 l'un des premiers instituteurs africains et exerce en Casamance, à Thiès, Louga, Dakar et Rufisque, où il occupe ensuite le poste de directeur d'école et d'inspecteur Primaire de 1959 à sa mort, en 1961. En 1932 il défie les autorités coloniales en devenant le deuxième bachelier sénégalais.À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Abdoulaye Sadji

simple de l’anglais, tout en leur donnant un cadre d’expression de cette langue, ne peut que leur être bénéfique pour leur avenir scolaire et professionnel. MISE EN ŒUVRE DU PROJET : J’ai dispensé des cours d’anglais dans une école privée de Rufisque de 2009 à 2010. Durant l’année scolaire j’ai été ébahi par l’assimilation des cours et la passion des élèves du préscolaire et de l’élémentaire pour l’anglais. En effet j’ai remarqué que les enfants avaient une capacité d’imiter et un degré de curiosité

comptoirs appartenant à différents empires coloniaux Européens s'établissent le long de la côte, ils servent de support au commerce triangulaire. La France prend peu à peu l'ascendant sur les autres puissances puis érige Saint-Louis, Gorée, Dakar et Rufisque en communes Françaises régies selon le statut des Quatre communes. Avec la Révolution industrielle, la France désirait construire un chemin de fer afin de les relier et entra en conflit avec le Damel du Cayor, Lat Dior. Ce conflit permit à la France

Association des Etudiants Socialistes. En 1933, L.S.Senghor se naturalise français afin de pouvoir passer l'agrégation. Étant né à Joal, Senghor ne jouissait pas du statut de "citoyen français", réservé aux Africains, originaires des 4 communes (Dakar, Rufisque, St Louis et Gorée). Il était "sujet français" selon la politique de la période coloniale du "divide et impera" (diviser pour régner). Senghor réussit l'agrégation de grammaire française, en 1935, à la Sorbonne et le diplôme de Lettres classiques

ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 1957[2]. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour raison de santé[1]. Ayant donné naissance à neuf enfants, elle obtient

formations à temps -proposition d’accompagnement (exercices) Encadrements et suivis par les inspecteurs. Ensuite vint l’inspectrice de DAKAR BANLIEUE qui présenta le rapport (du15 au juin 2010) pour les IDEN suivantes : Dakar-Banlieue, Dakar-Médina, Rufisque…. Pour elle SARENA est une didactique qui nous permet de surmonter les difficultés que rencontrent les élèves du CI-CP en lecture qui est la base de tout. Durant ces inspections ou collectes d’informations ils ont observé des classes de CI avec