Rugissement

sa personnalité et son engagement pertinent. Pour finir, on peut dire que Hugo décrit cet aspect sanglant de bataille tout au long du texte à travers le topos de la mort, ainsi que le prouve le champ lexical de la violence: « cadavres, agonie, rugissement, … ». L'auteur paraît abattu par ses morts et blessés: « L'acceptation de l'agonie en pleine jeunesse et en pleine santé fait de l'intrépidité une frénésie » et il termine son extrait par ses quelques mots pour inviter le lecteur à rejoindre ce

les choses dorées Ils pourraient avoir leur propre butin. Mais Fenrir le chef Refusa, ce que la corneille fit grief De ne pas sauter sur l’occasion Ce qu’elle fit en abandonnant ses compagnons. Voulant le trésor, Mammon entendit un rugissement. C’était le dragon qui d’une voix de stentor L’avertit de son sort grâce à son souffle brûlant. Les semaines passaient Puis ils arrivèrent devant d’autres indications : À gauche des pièces, oboles et monnaie À droite l’antre du dragon

transpercent les alentours pour venir se graver dans la mémoire de chaque être vivant mourant par amour. Peu m’importe le temps qui passe, qui court et s'enfuit, puisque tout ce qu’il me reste, ici, ne tient plus qu’a une corde de ma guitare, rugissement mélodieux sortit du fond de la caisse. Sous mes yeux noircis par l’ivresse du chaos présent dans ma vie au seul dévoilement de mon art, l’enfer se matérialise à mes pieds. (Ian pose l’instrument, se lève brusquement et va se tenir devant la fenêtre)

meurtre, les rapines, 
Egorgea les passants, dévasta la forêt, 
Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. 
Il vivait dans un antre, entouré de carnage.
 Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. 
Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements :
 Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ;
 Devant moi tout recule et frémit, tout émigre,
 Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! 
Les bêtes l'admiraient, et fuyaient à grands pas.
 Un belluaire vint, le saisit dans ses

fatalité, assassiné «sans qu'elle eût jamais compris». Toutefois, dans la suite du texte, la bestialité de Jacques semble reprendre le dessus. Il est d'ailleurs comparé a une bête : «Il entendit un reniflement de bête, grognement de sanglier, rugissement de lion :et il se tranquilisa, c'était lui qui soufflait» Ce passage est extrêmement important, car il symbolise le passage de Jacques de l'état humain à l'état de bête :Pendant un instant, les deux parties de son être se confondent, Jacques pense

village, effrayant les villageois et couvrant de reproches le soldat. Finalement la communauté se reforme, et tout le village adopte le soldat et les tigres. Suit alors un épisode où les tigres (et les villageois qui se déguisent et imitent les rugissement des tigres) mettent en déroute successivement les armées de Tchang Kaï-chek, du Japon et de nouveau des nationalistes. A chaque fois, le pouvoir communiste félicite le village et exige cependant que les tigres, jugés "anarchistes" soient renvoyés

Bientôt la foule devenue une seule entité ne s'identifie plus qu'à un chant, elle s’efface au profit de la Marseillaise qui la représente avec des hyperboles « La Marseillaise emplit le ciel » (ligne 6), « à tous les coins de la vallée » (ligne 8), « rugissement populaire » (ligne 20), des valorisations « monstrueuses » (ligne 7), « notes ardentes » (ligne 11), et une comparaison « comme soufflée par des bouches géantes dans de monstrueuses trompettes » (lige 6 et 7). Dans un second temps, alors même

hâte : « Laisse moi te conter une histoire mon jeune! ». J’avais 17 ans à ce moment, cela fait longtemps. J’étais à une fête, c’était une belle soirée, l’alcool coulait à flot et les filles dansaient en masse. Peu après minuit, on entendit un rugissement de moteur, un invité inattendu arriva. C’était Hector, le petit gars timide et renfermé de l’école. Dieu ne lui avait pas donné la vie facile, ce n’était vraiment pas le plus beau, ni le plus intelligent. Ce soir là, personne ne l’avait invité.

cette occasion, Montra ce qu'il était, et lui donna la vie. Ce bienfait ne fut pas perdu. Quelqu'un aurait-il jamais cru Qu'un Lion d'un Rat eût affaire ? Cependant il advint qu'au sortir des forêts Ce Lion fut pris dans des rets, Dont ses rugissements ne le purent défaire. Sire Rat accourut, et fit tant par ses dents Qu'une maille rongée emporta tout l'ouvrage. Patience et longueur de temps Font plus que force ni que rage. Livres VIII : le Pouvoir des Fables La qualité d'Ambassadeur

sentiments. v14 : temple : cérémonie religieuse. Aspect animal et humain. v15 : en conséquence : « à son exemple » de plus en fin de vers donc en insistance. « On » : pronom impersonnel. Rugir : aspect animal. Patois : aspect humain. Tous imitent les rugissements dans leurs propres cris. « Messieurs » : dénomination respectable. v17 : commentaire de LF sur ses contemporains. v18 : tristes-gais → antithétiques. Chiasme avec tout : montre le caractère changeant des animaux. v19 : le caractère hypocrite