Rugissement

1 : Eurysthée demanda d'abord au héros de lui apporter la peau du lion de Némée. Cette terrible bête vivait dans une forêt d'Argolide. Elle terrorisait les habitants de cette région. Ses rugissements étaient si glaçants que bergers et laboureurs se terraient dans leurs maisons. Héraclès, armé d'un arc, de flèches et d'une massue se dirigea vers l'antre du fauve. Une à une, il décocha ses flèches mortelles. Chacune touchait sa cible, mais l'animal était invulnérable, sa peau était si

Puis un grand blond s’écria : − N’importe quoi, PSG en force ! Le cours se passa bien. A dix heures, je retournai voir la CPE pour qu'elle me donne mon carnet, quand soudain, j'entendis des voix à travers la porte : -...la créature... Puis un rugissement grave. La CPE ouvrit la porte qui était restée entrouverte. Quand elle sortit, elle me fit un sourire mauvais. J’étais paralysée, je ne savais plus quoi faire. Paniquée, je m’enfuis en courant dans le couloir pour aller m’enfermer dans les toilettes

le meurtre, les rapines, Egorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. Il vivait dans un antre, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements : Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ; Devant moi tout recule et frémit, tout émigre, Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! Les bêtes l'admiraient, et fuyaient à grands pas. Un belluaire vint, le saisit dans ses bras

funérailles. Il y a des bruits étranges, des gémissements, des éclats de rire. La mélodie aimée réapparait encore, mais elle a perdu sa noblesse et sa timidité ; ce n’est plus qu’un air de danse grotesque ; c’est elle qui vent au Sabbat, il y a un rugissement de joie à son arrivée, elle se mêle à la débauche diabolique. Ici, le leitmotiv est la femme, aimée pas le jeune musicien. C’est la pensée mélodique. Le but de Berlioz était de mettre l’orchestre vraiment au centre de son œuvre, et d’ailleurs

il obéissait à ses muscles, à la bête enragée » (chap.2) « sa machoire inférieure avançait tellement, dans une sorte de coup de gueule, qu'il s'en trouvait défiguré » (chap.11) « il entendait un reniflement de bête, grognement de sanglier, rugissement de lion » (chap. 11) « cela venait-il donc de si loin, du mal que les femmes avaient fait à sa race, de la rancune amassée de mâle en mâle, depuis la première tromperie au fond des cavernes? » (chap. 2, 6 et 11) « ce n'était pas lui qui agissait

Opposition dramatique => oxymore Césure l.1-2, "mourir"/"mort" avant la césure Antithèse au dernier vers L.1 : 2 termes opposés à la césure : la disposition renforce l’idée de mort Gradations/amplifications : - Sons : "éclatera", "tonnerre", "rugissements" Allitération en "R" - Visuels : "flammes", "clairs éclairs" 3) De la vanité à l'apocalypse Implication du poète chrétien : utilisation du "je" Temps contradictoires Références bibliques Insistance => anaphore/impératif "urgence"

le meurtre, les rapines, Egorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. Il vivait dans un antre, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements :  Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ;  Devant moi tout recule et frémit, tout émigre,  Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! Les bêtes l'admiraient, et fuyaient à grands pas. Un belluaire vint, le saisit dans ses

au loin ; courant à toute allure vers le bruit qu’il entendit il fût surpris d’apercevoir à l’arrivée une bête géante, elle aussi stupéfaite parce qu’elle vît, qui tout d’un coup s’écria « Miiiraaaacle! » ; Douti ne comprenant rien de l’étrange rugissement de l’animal, fit un bon en arrière, restant sur ces gardes,. Hébété et heureux par la vision qu’il avait, William ne mis longtemps avant de s’apercevoir que le pygmée porter sur lui un visage craintif vis-à-vis de lui, alors William Tourna sur lui

incessant. Le rythme du texte est très irrégulier, avec l'emploi de phrases courtes et de la locution « Tout à coup » l.1, ce qui contribue à rendre le texte expressif. Plus encore, l'utilisation du champ lexical de la violence au cours du texte : « rugissement » l.5, « barbare » l.22, « agonie » l.25, « férocité » l.23 donne un effet d'accumulation et de ce fait, la violence apparaît comme globale et virulente. De plus, la généralisation du conflit avec des termes indéterminés : « la troupe » l.24, « mêlée »

lendemain matin il se leva en pleine forme et tout à coup, il trouva des objets spirituels dans sa chambre qui l'intrigua fortement. Il ne fit pas compte de ses objets et alla prendre une douche quand soudain il entendit des voix de monstres, de rugissements, Mohamed se referma sur lui même jusqu'à en crié de souffrance. Quelques semaines plus tard passé, Mohamed vit de plus en plus les signes qu'envoyèrent ses parents, il vit du sang dans cuisine, des vêtements tachés de peinture rouge, ses draps