Ruine

Les personnages 1 - Les personnages principaux dans ce livre sont Le père Goriot, ancien vermicellier ruiné, ses deux filles qui appartiennent à l'aristocratie parisienne, Eugène de Rastignac, jeune provincial qui part à la conquête des salons parisiens, et Vautrin, ancien criminel, qui est prêt à atteindre ses objectifs à tout prix. 2 - Le père Goriot, ancien vermicellier à la retraite et ruiné, est d'apparence pitoyable. Il a environ 69 ans, a de l'embonpoint, est de taille modeste. Il ne vit

I- LE CONTEXTE HISTORIQUEI- LE CONTEXTE HISTORIQUE XVIII me : un siècle marqué par les difficultés économiques et la philosophie des Lumières qui s’achève par la révolution française · Crise économique (guerre, famine, banqueroute de Law) · Affaiblissement de l’autorité de l’état, montée en puissance de la bourgeoisie, contestation des privilèges de la noblesse, importance de l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables

et L 19 « Et quant à », ou « En somme » L 31 qui est un terme conclusif. Gargantua expose ses principes par des injonctives, les explique et les justifie. Ce savoir a pour but d’atteindre à un idéal de sagesse : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Le terme « conscience » est compris dans deux acceptions : réflexion sur son savoir mais aussi sens moral et sagesse. Rabelais croit en l’homme et en ses capacités de progrès. Il insiste d’ailleurs sur cette notion L 1 et 32 II. Un programme

classé dans les Etudes philosophique de La comédie humaine . C'est en effet un problème philosophique, ou plutôt un problème moral, que Balzac soumet ici à l'attention de son lecteur : celui du génie pris entre ses recherches scientifiques et la ruine de sa famille, celui des droits de l'individu supérieurement doué au sein de la société. Balthazar Claës, richissime Flamand qui habite à Douai, invariablement flanqué de son inséparable valet de chambre et ami de toujours Lemulquinier, se remet à

mais son déhanchement affole tous les hommes, qui rêvent de la posséder. C'est le cas notamment de Muffat, haut dignitaire de l'Empire, pourtant homme chaste et d'une grande piété, que Nana ruine et humilie tout au long du roman. Muffat n'est pas la seule de ses victimes : d'autres sont conduits à la ruine, en particulier Steiner, se suicident (Georges Hugon), volent (Philippe Hugon), deviennent des escrocs (Vandeuvres). Pourtant Nana est une brave fille, mais elle fait le mal sans s'en rendre compte

l’exaltation et la désillusion. Une poétique de la ruine Les artistes voient la France en ruine alors ils veulent recréer la poétique. - Les artistes jouent sur les contrastes, ils recherchent le calme après le chaos pour retourner vers la nature et retrouver le calme. Hubert Robert : Les premiers jours de la démolition de la bastille : Le soleil est contre l’ombre, le feu contraste le ciel bleu et calme. Vue imaginaire de la galerie du Louvre en ruine : Les artistes ont peur que les révolutionnaires

: - Vautrin, un sombre individu plein de roueries, prêt à tout pour de l'argent, - le père Goriot, un vieillard démuni, qui a fait fortune sous la Révolution dans la fabrication et le commerce de vermicelles, Victorine Taillefer, une fille ruinée après le décès de sa mère, car son père lui préfère son frère et l'a déshéritée, qui vit avec une parente, Mme Couture Eugène de Rastignac, un étudiant, venu de sa Charente natale poursuivre ses études de droit à Paris. Anastasie, comtesse de

dans l’intervalle d’ombre attendent de mûrir avec le temps ; d’autres sont détenues par la nuit irréelle ; » Strophe 3 : Mais la terre a retenu le sang du meurtre et la ruine du coupable est inexorable. « mais à travers le sang qu’a bu la terre nourricière s’est figé le meurtre vengeur sans s’écouler – lancinante et perçante est la ruine du coupable quand l’infection gagne et foisonne. » Antistophe 3 : Toucher le seuil d’une épousée est un mal sans remède ; tous les flots réunissant leurs cours sur l’homme

fait parfois référence aussi au mouvement gothique. Friedrich aime représenter des espaces nocturnes, avec beaucoup de solitude, et il aime les représentations mystiques des éléments. Date : 1809-1810 Ce qui est représenté : Une abbaye en ruine (juste une petite partie reste présente) Arbres sans feuille Cimetière Etres humains : moines cortège funéraire (portant des bougies).Apportent un cercueil dans une fosse fraichement creusée (terre retourné) Couleurs : ternes (comme

vite, ces nouveaux locataires découvrent dans cette région si généreusement offerte ce qui fera bientôt toute leur fortune : de l’or. Ce que l’on nomme « la grande ruée vers l’or », vers 1848, finira d’achever la fortune du colonel Suter, rapidement ruiné par l’ignorance des ressources naturelles qui s’écoulaient sous le sol de ce qui était devenu momentanément son bien. Si l’adjectif « merveilleuse » se retrouve dans le titre, c’est que pour Cendrars, l’intention ne fut jamais d’écrire une biographique