Rumeur d'Orléans

Les forêts reculent, telles celles de l'îles de France, comme l'Yveline, la Bière, la Laye, la Loge qui, à la suite de défrichements systématiques, sont devenus au XIIIe siècle les forêts de Rambouillet, de Fontainebleau, de Saint-Germain-en-Laye, d'Orléans. Les champs et les prés gagnent aussi sur les marais côtiers, comme en Flandre où les polders commencent à être aménagés après l'an mille. Sur ces terres nouvelles, des paysans ou "hôtes" sont attirés soit par l'extension des villages existants,

acceptée. III] La deuxième conquête de la Gaule (52-51 av JC) La suite de la guerre se fit en trois temps : l'avant, le pendant et l'après Alésia. 1. Le déclenchement de l'insurrection Elle se déclencha chez les Carnutes (dans la forée sacrée d'Orléans). Ils massacrèrent tous les romains se trouvant sur le chemin. Le mouvement s'étendit à de nombreux peuples, surtout ceux du centre, de l'ouest et du sud-ouest. Vercingétorix se fit donner le pouvoir suprême au niveau politique et militaire, il devint

roi. La cour n’est pas une institution formalisée. S’y retrouvent les parents du roi, des officiers et des conseillers, des visiteurs de toute origine et de tout rang qui viennent traiter d’affaires d’Etat comme d’affaires privées. La cour bruit de rumeurs et d’intrigues, les banquets sont égayés d’entremets. La cour voit son rôle s’accentuer sous Charles VI, mais la littérature la présente comme un lieu de corruption où l’on ne peut survivre qu’à l’aide de compromis. Alain Chartier dans « le quadrilogue

le 7 mai 1748, dans une famille bourgeoise. En effet, son père, Pierre Gouze, est un boucher et sa mère, Anne-Olympe Mouisset, est la digne héritière d'une famille de drapier. Dès sa naissance, la petite fille est au cœur des polémiques : selon la rumeur publique, la petite Marie Olympe est issue d’une relation extraconjugale de sa mère avec le marquis Jean-Jacques LeFranc de Pompigan, dont elle était la filleule. Marie-Olympe ne reçut aucune éducation, et ne savait ni lire ni écrire, tout comme sa

Puis, Hérault fait interrompre, le 10 septembre 1737, une assemblée de freys-massons chez Chapelot, marchand de vins à la Rapée. Plusieurs personnes de qualité sont présentes et l’une d’entre elles signifie au commissaire qu’il doit se retirer. La rumeur prétendra, sans preuve formelle, qu’il s’agissait du jeune duc d’Antin, qui devint grand maître en 1738. Quelques jours plus tard, le Châtelet rendit une sentence contre Chapelot (1 000 livres d’amende et six mois de fermeture) et fit défense « à

Puis, Hérault fait interrompre, le 10 septembre 1737, une assemblée de freys-massons chez Chapelot, marchand de vins à la Rapée. Plusieurs personnes de qualité sont présentes et l’une d’entre elles signifie au commissaire qu’il doit se retirer. La rumeur prétendra, sans preuve formelle, qu’il s’agissait du jeune duc d’Antin, qui devint grand maître en 1738. Quelques jours plus tard, le Châtelet rendit une sentence contre Chapelot (1 000 livres d’amende et six mois de fermeture) et fit défense « à

noblesse et son neveu Philippe d’Orléans (neveu du roi) qui sera régent. Le fait de se voir adjoindre les 2 fils illégitimes ne l’enchantent pas. Pour gouverner comme il le souhaite, Philippe d’Orléans va demander au parlement de Paris de rendre inefficace le testament de Louis XIV, le Parlement de Paris va accepter en estimant que ces dispositions vont à l’encontre des lois fondamentales de la royauté. Le parlement a accepté car en contre partie de leur aide, Philippe d’Orléans restaure le droit de remontrance

de gouvernement par Louis XIV, celui-ci préférant s’appuyer sur des bourgeois pour diriger l’Etat. A la mort du Roi-Soleil, le trône revient à son arrière petit-fils : Louis XV, âgé de 5 ans. La régence est confiée à son cousin le duc Philippe d’Orléans, neveu de Louis XIV. Pour les grands du royaume, emmenés par le duc de Saint Simon, il y a là une occasion à saisir pour reconquérir le pouvoir politique, dont ils avaient été écartés par Louis XIV. Pour cela, il faut éliminer les secrétaires d’Etat

alors à marier. La présence de la reine autorisait la sienne. Cette princesse était belle, quoiqu'elle eût passé la première jeunesse; elle aimait la grandeur, la magnificence et les plaisirs. Le roi l'avait épousée lorsqu'il était encore duc d'Orléans, et qu'il avait pour aîné le dauphin, qui mourut à Tournon, prince que sa naissance et ses grandes qualités destinaient à remplir dignement la place du roi François premier, son père. L'humeur ambitieuse de la reine lui faisait trouver une grande

salle du jeu de paume et vont prononcer un serment, par lequel ils s’engagent à ne jamais se séparer jusqu’à ce qu’une constitution du royaume soit établie. La fonction initiale des états généraux a été complètement modifiée. Le 22 juin, des rumeurs indiquent qu’ils vont être séparés par le roi. Ils s’installent à l’église Saint louis de façon à trouver une protection contre l’attaque royale. Le 23 juin, réunion avec le roi. Le roi entre dans la salle, prononce un discours pas lequel il ordonne