Ruy Blas Acte 2 Scène 2

comte prend toute sa valeur lorsqu'il déclare: « c'est un jeu que tout ceci ». DOUBLE ENONCIATION Les personnages communiquent entre eux sur la scène, mais les dialogues des acteurs sont aussi dits à l’ intention du public. * Perso porte-parole de l’auteur, directement adressé au public. EX : Illusion Comique Acte V, scène 5 : dans la dernière scène de l'œuvre, l'apologie du théâtre que fait Alcandre s'adresse autant à Pridamant qu'au spectateur DIALOGUES Oppose plusieurs énonciateurs Chaque

Vitez metteur en scène de Hugo (article paru dans la revue Romantisme, SEDES, n°102, Sur les scènes du XXe siècle, 1998) Il aura fallu au théâtre de Hugo plus d'un demi-siècle pour sortir de l'oubli : devenu théâtre officiel aux débuts de la IIIe République, quand les audaces romantiques ont cessé de choquer, il passe, notamment aux yeux de Zola, pour parfaitement dépassé, tant dans sa facture que dans ses enjeux ; les commémorations l'enlisent alors dans un style lourdement décorativiste

* 1 Personnages principaux et présentations * 2 Résumé d’Hernani * 2.1 Préface * 2.2 Acte I : Le roi (Saragosse, une chambre à coucher au palais du duc Don Ruy Gomez de Silva, la nuit) * 2.3 Acte II : Le bandit (Saragosse, un patio du palais de Silva) * 2.4 Acte III : Le vieillard (Le château de Silva, dans les montagnes d’Aragon) * 2.5 Acte IV : Le tombeau (Aix-la-Chapelle, dans le tombeau de Charlemagne) * 2.6 Acte V : La noce (Saragosse, sur une terrasse du palais

classique reprend deux grandes règles principales : la règle des trois unités et la règle de vraisemblance. Ce genre théâtrale ne respecte pas l'unité de temps, effectivement dans Hernani, l'intrigue se passe sur plus que 24 h, la scène 1 se passe en une nuits et scène 2 se passe à une autre nuit. De plus le drame romantique ne respecte pas l'unité de lieu, dans Hernani les scènes se passent dans différentes pièces comme la terrasse ou encore la chambre de Dona Sol. Victor Hugo le dit clairement dans

Microsoft Word - HugoRuyBlasActeIIIscène3texte.docxVictor 
  Hugo, 
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  Extrait 
  2, 
  Acte 
  III, 
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  3 
   
   La 
  Reine, 
  du 
  fond 
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  théâtre. 
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  Blas 
   Ciel 
  ! 
   
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  Reine 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
  Vous 
  avez 
  bien

proposé (ou ici l'oeuvre étudiée): repérez les expressions, les phrases qui sont des pistes de réflexion et peuvent servir de citation. Construire le plan. 1. Dans le cas d'un sujet didactique (ou critique) comme ici, deux possibilités: Un plan en 2 parties : chaque partie représente un point de vue différent et développe des arguments et des exemples. On commence en général par soutenir le point de vue du sujet pour ensuite en montrer les limites. I/ La lecture suffit à apprécier une pièce de

par la société. Il développera alors en France un nouveau genre littéraire, le drame romantique. Ces caractéristiques sont clairement énoncées dans la préface de Cromwell (1827) et mises en oeuvre dans plusieurs de ses pièces de théatre telles que Ruy Blas ou Hernani. Publiée en 1830, sous Charles X, cette oeuvre a un impact immense sur la société française, puisqu'elle divise quelque peu la population entre les "Anciens" et les "Modernes", les classiques et ceux faisant partie de la jeune génération

Comédie légère : Le vaudeville = comédie de boulevards, Georges Feydeau. Comédie « romantique » : XIXe siècle, Musset avec On ne badine pas avec l’amour, 1834, fin tragique, p.125. 2) Tragédie et drame Tragédie classique : Racine, Phèdre, 1677 Drame romantique : XIXe siècle, Lorenzaccio de Musset, 1834 ou Victor Hugo, Ruy Blas, 1838, p.162. Tragédie (dans les pièces modernes) : cf ; théâtre existentiel, de l’absurde. Beckett = dramaturge irlandais mais amoureux de la langue française En attendant Godot

Charles Nodier y voit « le tableau véritable du monde et la seule tragédie populaire qui convienne à l’époque ». Bien que genre médiocre, le mélodrame marque le passage entre deux siècles et surtout annonce le virage vers le drame romantique. 2. Le renouvellement des genres a. La tragédie : survie ou renouvellement ? La tragédie a certes quelque peu disparu durant le XVIIIe siècle malgré les tentatives de Voltaire ou Crébillon mais elle demeure un modèle. Sous l’Empire et la Restauration

curiosité et de fascination : antithèse (l.29) « admirait et tremblait ». Un contexte éloigné « vue de soixante lieues » (l.27) : un divertissement pour purger la peur du surnaturel (catharsis). -Démesure des moyens pour conclure cette affaire : (l.2/3) : m étaphores : « massue » et « mouche », hyperbole « toute la force du royaume » : une disproportion révèle un mauvais jugement de la réalité des faits. La position du narrateur et les « on » : Occurences du pronom personnel « on », nombreuses et