Rédaction Registre Réaliste Et Fantastique

ANALYSE DU ROMAN «UNE VIE» de Guy de Maupassant BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR Guy de Maupassant, (1850-1893), est un auteur de romans et de nouvelles situés entre le réalisme, le romantisme et parfois le fantastique, où il met en scène la méchanceté et l'horreur ordinaires. Né le 5 août 1850 au château de Miromesnil en Normandie, Guy de Maupassant fait ses études à Rouen, avant d'occuper un poste de fonctionnaire à Paris. Son éducation littéraire se fait auprès de Flaubert, auquel sa famille était

en 1964, quelques mois avant qu'il gagne le prix des jeunes auteurs de Radio-Canada. Il écrivit alors une autre pièce de théâtre : ‘’Les belles-sœurs’’. Mais elle fut refusée au ‘’Dominion drama festival’’ de 1966. Il publia alors des textes fantastiques qu’il avait écrits entre 1959 et 1962 : ____________________________________________________________ _____________________ ‘’Contes pour buveurs attardés’’ (1966) Recueil de nouvelles -----------------------------------------------

Sylvie «Souvenirs du Valois» ! → genre autobiographique ! Nerval écrit à Georges Sand «j'écris un petit roman (nouvelle) qui n’est pas tout à fait un conte», la nouvelle indique l’invention, fictionnelle , le conte lui induit le merveilleux ( fantastique : irrationnel inscrit dans le réel / merveilleux : les actant accepte l’irrationnel comme réalité) ! → conte philosophique ( Candide apologue) avec une morale ne pas ! vouloir obstinément ressusciter le passé faute de ne pas vivre le! ! présent

réalité. Il n'y a de conceptualisation qu'individuelle puisque c'est une interaction entre le sujet connaissant et l'objet. Mais comment enseigne-t-on l'histoire aujourd'hui? UNE DEMARCHE D'APPRENTISSAGE Le fait de raconter l'Histoire comme un récit réaliste que l'enfant doit retenir n'est plus l'objectif recherché dans cette matière. En effet, c'est davantage sa participation à l'éducation à la citoyenneté et la formation de son esprit critique qui est éveillée. De plus, le fait de considérer que l'élève

consacrées l’une à la mixité des genres et des registres (la tragi-comédie, la comédie-ballet, l’évolution du drame, le mélange des registres), l’autre à l’art de la scène (à travers les composantes du spectacle théâtral, l’espace et les accessoires, la double énonciation, le procédé du « théâtre dans le théâtre »). l. La démarche du chapitre En classe de Première, l’étude du théâtre s’inscrit dans la perspective de l’étude des genres et des registres, et dans la continuité du programme de la classe

suivant Texte A : Anonyme, Le Prud’homme qui sauva son compère (XIIIe siècle) Texte B : Jean de la Fontaine, « L’Huître et les Plaideurs », Fables, IX, 9 (1678)  Texte C : Voltaire, Zadig (1747), chapitre VI SUJET 15  : « Malgré ses airs de conte fantastique, cette légende est vraie d’un bout à l’autre... » écrit Alphonse Daudet dans La Légende de l’homme à la cervelle d’or. Vous vous demanderez pourquoi certains écrivains ont recours à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons. Vous répondrez

suivant Texte A : Anonyme, Le Prud’homme qui sauva son compère (XIIIe siècle) Texte B : Jean de la Fontaine, « L’Huître et les Plaideurs », Fables, IX, 9 (1678)  Texte C : Voltaire, Zadig (1747), chapitre VI SUJET 15  : « Malgré ses airs de conte fantastique, cette légende est vraie d’un bout à l’autre... » écrit Alphonse Daudet dans La Légende de l’homme à la cervelle d’or. Vous vous demanderez pourquoi certains écrivains ont recours à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons. Vous répondrez

classique de la mimésis pour imposer l’originalité et le Génie qui est au centre de son argumentation. « Celui qui imite un poète romantique devient nécessairement un classique puisqu’il imite ». Idée de l’imitation qui fait basculer d’office dans le registre classique, nous la retrouverons très présente dans la préface de Cromwel. Il les compare à des plantes qui se nourrissent de ce qui existait avant elles. Ils ne seront jamais qu’une pâle copie de ce qu’ils tentent d’imiter. Idée qu’il ne faut pas

Cozens et Constable ; dans un paysage de Delacroix («Les nuages [...] sont d’une grande 4 légèreté ; et cette voûte d'azur, profonde et lumineuse, fuit à une prodigieuse hauteur.» [‘’Le Salon de 1846’’]) ; chez Boudin («Tous ces nuages aux formes fantastiques et lumineuses […] toutes ces profondeurs, toutes ces splendeurs me montèrent au cerveau comme une boisson capiteuse ou comme l'éloquence de I'opium. Chose assez curieuse, il me m’arriva pas une seule fois, devant ces magies liquides ou aériennes

babil de la grive sur le buisson et l’attitude de la jument au bord de la haie », quoiqu’il trouve l’ultime développement « un peu long »... [4].  Notre lecture sera toutefois moins générale dans son champ d’application et moins généreuse dans son registre d’évaluation. L’hypothèse est en effet qu’une polyphonie culturelle assez inattendue est au cœur du récit.  Post-scriptum Rappelons d’abord à quel point l’histoire génétique et éditoriale du texte est symptomatique du statut incertain de ce post-scriptum