Réflexions Sur La Guillotine Réquisitoire

Hugo publié en 1829 chez Charles Gosselin, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. Le roman se présente comme le journal qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence dans lequel il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de son exécution, soit environ six semaines de sa vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la « vie d’avant »

bouleversant par les mots justes employés, il nous procure une identification au personnage et à son terrible destin. Il doit susciter de sérieuses réflexions et vaut la peine d'être lu. Ce récit est assez dur et sombre, qui interpelle forcément. Il n'y a aucune morale dans le fait de prendre la vie à quelqu'un à raison qu'il l'a lui même fait. Ce réquisitoire politique de Victor Hugo ainsi que sa position sur le sujet sont connus. Par cet écrit, il nous influe à prendre pitié de cet homme condamné,

chez Gosselin, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. Victor Hugo est né le 26 février 1802 en France à Besancon, et est mort le 22 mai1885 à Paris.Victor Hugo est un poète, dramaturge et écrivain romantique. Il est considéré comme l'un des plus importants francais. Son livre, « le dernier jour d'un condamné » , est engagé car il dénonce la peine de mort. Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société

l'exécution de la peine capitale par la guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le condamné sont proches l'une de l'autre au niveau moral. CADRE SPATIO-TEMPOREL : L'histoire se passe dans les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l'Hôtel de Ville. Elle dure six semaines, le temps qui passe depuis le moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu'au moment où il monte sur l'échafaud pour être guillotiné. THÈMES : - La peur : thème principal :

Opposée à l’esclavage , elle suscite l’hostilité des planteurs esclavagistes avec sa pièce Zomore et Mirza publiée en 1785. Elle adhère à la Société des Amis des Noirs et dénonce les préjugés de la couleur dans Réflexion sur les hommes nègres. L’abbé Grégoire se réclamera d’elle en promouvant la loi qui abolit une première fois l’esclavage en 1794. - Ecrivaine prolifique . Entre 1788 et 1793, elle publie une cinquantaine d’écrits politiques,

date de sa publication : Le dernier jour d'un condamné, 1829. Contexte : Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permette de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel de Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très

seul pays à avoir procédé à des exécutions capitales tout en étant membre de la Communauté européenne, ancêtre de l'Union européenne. Contrairement à ce que rapporte souvent la presse, ce n’est pas Christian Ranucci, mais Hamida Djandoubi qui, guillotiné le 10 septembre 1977 à la prison des Baumettes de Marseille, est la dernière personne à avoir subi la peine de mort en France. Histoire : Époque gauloise  Certains condamnés étaient conduits au lieu de supplice qui était le bord d'une falaise

Le Dernier Jour d’un condamné est un roman de Victor Hugo publié en 1828. Ce roman social est un véritable réquisitoire sous la forme d’un journal à la première personne contre la peine capitale. Victor Hugo se bat, cette fois-ci, pour cette cause à travers le récit d’un condamné à mort. Ce dernier, durant ses dernières 24h, décide d’écrire tout ce qu’il a vécu depuis son procès jusqu'à son dernier souffle de vie, soit une période d’environ 6 semaines. Il y décrit ses pensées et ses états d’âme

2 L’attitude du locuteur : les formes de la subjectivité Champs lexicaux à faire émerger par les élèves. a) Vocabulaire affectif : champ lexical de la souffrance b) Vocabulaire évaluatif : champ lexical de la pensée, du jugement et de la réflexion c) L’intonation : les exclamatives et les interjections permettent de transcrire les émotions du locuteur (l’indignation, la souffrance, l’angoisse), les interrogatives s’adressent au destinataire ou à lui-même d) Les modalisateurs traduisent

Préoccupé par l'adéquation entre la justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a déjà écrit en 1829 Le Dernier Jour d'un condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il poursuit en 1834 avec Claude Gueux. En 1845, alors qu'il vient d'être fait Pair de France par le roi Louis-Philippe Ier, le peintre François-Auguste Biard fait constater le flagrant délit d’adultère de sa femme Léonie Briard avec le poète. Léonie est emprisonnée pendant deux mois dans la prison Saint-Lazare