Réfugiés Syriens Au Liban

Quatrième Mur : Roman Thématiques : guerre, théâtre, violence, souffrance, trêve, traumatisme 2. Le Quatrième Mur est un roman qui prend pour décor le Beyrouth des années 1982-1983. À cette époque, le Liban est un pays déchiré où les différentes forces en présence s’opposent violemment. La guerre du Liban s’est déroulée de 1975 à 1990 faisant entre 130 000 et 250 000 victimes civiles.  Le 14 septembre 1982, le président de la république libanais, Bachir Gemayel, est assassiné. Israël réagit immédiatement

nationalisme arabe incarné par le mouvement hachémite. La France souhaite dominer en Syrie au nom de la protection des catholiques d’Orient et dans une logique impériale (PO = prolongement naturel de ses possessions au Maghreb). Elle favorise la création du Liban (indépendance proclamée en 1941 et officiellement reconnue en 1945). Certains territoires acquièrent leur indépendance dans l’entre-deux-guerres : l’Irak en 1932 et l’Egypte en 1936. Bien que dominants, Français et Britanniques sont contraints d’associer

Imprimer Envoyer Partager facebook twitter google + linkedin Jeudi 23 août, le vice-ministre des affaires étrangères syrien, Fayçal Meqdad, a affirmé que la Syrie se dit prête à coopérer avec le nouvel émissaire international de l'ONU, Lakhdar Brahimi, pour mettre en place "un dialogue national". Mercredi, l'armée a lancé une offensive d'envergure à Damas. Suivez l'actualité syrienne heure par heure. * 21 h 30 : Merkel et Hollande font pression sur le Conseil de sécurité La chancelière allemande

guerre a conduit a un renforcement de la présence directe de la Grande-Bretagne au Proche-Orient, contrairement à la tendance des années trente • Les Anglais évincent les Français en soutenant systématiquement les nationalismes arabes en Syrie et au Liban durant la guerre. L'éviction est accomplie en 1945, après une vaine tentative de réinstallation voulue par de Gaulle • La Grande-Bretagne ne parvient pas à préserver son influence. En 1945, elle encourage la formation de la ligue arabe (22 mars 1945)

plan de partage de l’ONU (voir carte) : le 14 mai 1948, les Britanniques quittent la Palestine et David Ben Gourion, futur Premier ministre, proclame l’Indépendance de l’Etat d’Israël. Le 15 mai, les Etats arabes voisins (Egypte, Jordanie, Syrie, Liban et Irak) envahissent le nouvel Etat c’est la « première guerre israélo-arabe » B. La guerre de 1948 : la « nakba » pour les palestiniens qui deviennent un peuple sans terre, une diaspora. Israël agrandit son territoire. Les territoires non occupés

Juifs. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux à s’y installer. Après la 1ère guerre mondiale, l’empire ottoman disparaît et les grandes puissances coloniales renforcent leur présence dans la région : * La France reçoit un mandat sur la Syrie et le Liban * L’Angleterre reçoit un mandat sur l’Irak, la Jordanie et sur la Palestine. Les objectifs sont contradictoires : favoriser le développement d’un foyer national juif sans porter atteinte aux droits de la population arabe. Les Palestiniens sont

à la fois le plan de partage de l’ONU et la résolution 194 de l’Assemblée géné- rale des Nations unies du 11 décembre 1948. En clair, cela signifie qu’Israël reconnaît le droit à l’existence d’un État arabe en Palestine et le droit au retour des réfugiés, mais aussi que les Arabes recon- naissent le droit à l’existence d’un État juif en Palestine. Mais, ce même 12 mai, l’État juif est admis à l’ONU. Dès lors, confiera Walter Eytan, codirecteur général du ministère israélien des Affaires étran- gères

de paix signé : Israël + Jordanie. Israël + Liban prêt aussi (mais échec car assassinat). Erreur d’Arafat : ne pas avoir mit au pas le Hamas. 1993 (application en 2000) : accord qui est un échec : accord à Oslo => autonomie des territoires palestiniens (Gaza + Jericho) Mars 2000, à la suite d’une rencontre entre Bill Clinton et Hafez El Assad à Genève, Les discussions entre israéliens et syriens sont interrompues. Paix pas signés avec les Syriens. 2ième Camp David : Arafat pas convaincu

Nethanyahou fait renaître un peu d’espoir dans le conflit israélo-palestinien. On a pu penser que les choses allaient s’arranger car Ehud Barak, contrairement à son prédécesseur, est favorable à une évolution des accords de paix. Israël se retire du sud du Liban mais le processus de paix échoue de nouveau avec un nouvel échec dans les négociations entre israéliens et palestiniens, malgré la présidence et la présence de Bill Clinton en juillet 2000. La raison principale de l’échec des négociations est que Yasser

britannique, dans un contexte de rivalité avivée. L’après guerre sonne la fin des espoirs anglais et français de perpétuer leur influence au proche orient. Du coté français, le général de Gaulle veut tout à la fois amener l’indépendance de la Syrie, et du Liban (territoire de l’ancien empire ottoman qui avaient été confiés a la France par la SDN en 1912) et aussi obtenir des intérêts économico-culturel et stratégique de la France dans la région. Les troupes françaises sont retirées dans l’été en 1946. L’Egypte