Résumé Crime Et Châtiment

déguisés, ce qui donne une côté carnavalesque et burlesque de la cérémonie : « ils furent tous deux revêtus d'un san-benito, et on orna leurs têtes de mitres de papier ». Les costumes sont révélateurs du degré de leur culpabilité, une allégorie de leur « crime » : « la mitre et le san-benito de Candide étaient peints de flammes renversées et de diables qui n'avaient ni queues ni griffes ; mais les diables de Pangloss portaient griffes et queues, et les flammes étaient droites ». Comme dans tout spectacle

La pensée de Beccaria Une formule résume tout le contenu de l'école classique de pensée : « punir pas plus qu'il n'est utile, pas plus qu'il n'est juste » C’est sur cette idée que les réflexions des écoles de pensées de l’époque ont alors commencé à prospérer au XVIII° siècle et avec notamment les réflexions de l'école classique crée en partie par Cesare Beccaria et Jeremy Bentham. Cesare Beccaria est un philosophe et juriste italien du 18e siècle. Il appartient à la noblesse milanaise. A la

droit romain. Au lendemain de leur installation, les peuples barbares font également codifier leurs coutumes. Dans les royaumes méridionaux, où ils restent minoritaires, leurs lois nationales se juxtaposent à celle de leurs sujets romains, simple résumé du code Théodosien. On aboutit ainsi à une double législation : Code d'Euric (476) et bréviaire d'Alaric (506) dans le royaume wisigoth, loi gombette (502) et loi romaine des Burgondes dans le royaume burgonde. Après la victoire de Clovis à Vouillé

individuel, auquel cas on vas’intéresser au crime, et d’autre part, il peut être étudié d’un point de vue macro, global, auquel cas on s’intéresse à la notion de criminalité. SECTION 1 : LE CRIME Le crime, en doit pénal, est le degré d’infraction le plus haut. Le crime est une notion polysémique, d’un point de vue juridique, le crime est une catégorie d’infraction désignant les infractions les plus graves. Dans un autre sens beaucoup plus large, le crime désigne un comportement particulier pénalement

bizarre. Il ne pleure pas aux funérailles de sa propre mère, (ce qui le fait apparaitre comme froid et émotionnellement détaché). Il commet un crime atroce lors d’un après-midi (acte qui est également appréhendé comme un écart de conduite). Il refuse même de faire appel à l’avocat qui lui est proposé pour sa plaidoirie, et accepte fièrement son châtiment et sa sentence de mort à la guillotine. Il ne réagit pas comme tout le monde. Page 97: « puis il a voulu savoir si j’avais choisit un avocat. J’ai

: Les Atrides sont les descendants d’Atrée dans la mythologie grecque, qui est le roi de Mycènes. On désigne les Atrides comme une famille maudite, on parle de la malédiction des Atrides. La malédiction de la famille des Atrides commence par le châtiment de Tantale ayant donné son fils Pélops à manger aux Dieux. Tantale fut condamné aux enfers avec soif et faim éternelles. Son fils quand a lui fut ressuscité par les Dieux. Devenu adulte il convoite Hippodamie et va demander l’aide de Myrtilos pour

d’accusation. Elle renoue avec un désir de mort qui marquait déjà le premier acte et qui clôturera la pièce. La machine infernale tragique achève ainsi de se mettre en place. Le retour du roi rend Phèdre adultère et fait de son aveu à Hippolyte un crime. Elle ne peut revenir en arrière et s’accuse, mais apparaît au même moment comme une victime du sort. La péripétie a pour effet de séparer Œnone et Thésée, pour qui le retour en arrière est possible, et Phèdre, qui ne dispose pas d’une telle alternative

souvent, d'ailleurs, ils participent physiquement aux conflits de leur époque, tel Hugo descendant sur les barricades. De plus, ils mettent leur art au service d'idées sur lesquelles ils cherchent à éclairer l'opinion, telle est la fonction des Châtiments, et traitent des problèmes actuels dans leurs œuvres : Hugo a publié, par exemple, Le dernier Jour d'un Condamné, réquisitoire contre la peine de mort. madame de staËl Anne-Louise Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, connue sous le

d'autres) ; ils sont alors intradiégétiques. 2.2 LA PERSPECTIVE NARRATIVE Le narrateur extradiégétique, à l'image de Dieu, tend souvent à être omniscient : il possède le don d'ubiquité, sait tout ce qui est nécessaire à l'action. Il a alors tendance à résumer, dire l'action ; il la manipule quand cela s'avère nécessaire : il est ainsi omnipotent. Le narrateur peut se présenter comme un témoin-observateur : il aura tendance à montrer l'action, comme un témoin apparemment impartial, sans en tirer toutes

Juger du crime et du criminel Il faut distinguer " juger le crime " et " juger le criminel ". Le crime est l'objet qui tombe sous le coup de la loi. Le criminel est le sujet qui commet l'acte. Les deux sont différents et n'impliquent pas un même rapport à la loi. Un crime peut ne pas avoir le même sens dans un cas ou dans un autre, et il peut être juger autrement. Le criminel n'est lui non plus identique tout le temps. Certains facteurs psychologiques peuvent jouer et influencer des décisions