Résumé De Cromwell De Hugo

Baccalauréat de droit Refus de l'état notaire que son père souhaitait 31 mars 1819 : Retraite du père (né en 1746) Parents quittent Paris, lui reste dans une mansarde au 9 rue de Lesdiguières Lit beaucoup, écrit sa première pièce de Théâtre, Cromwell, échec complet des sa première lecture en 1821, ainsi que Scylla Souhaite écrire un roman historique, mais pour gagner sa vie il se résout à écrire une série de petits romans d'aventures (il devient romancier mercenaire) qu'il signe d'un pseudonyme

Préface de Cromwell, Victor Hugo (1827) La Préface de Cromwell (1827) est une véritable défense et une illustration du drame romantique. Le drame hugolien engendre une révolution qui remet en question les préceptes dont la tragédie est dotée depuis le Grand Siècle, notamment la règle fondamentale des trois unités. Selon cette règle, l'intrigue devait former un tout (unité d'action), cependant que la scène devait ne représenter qu'un seul lieu (unité de lieu) et la durée des événements représentés

molettes d'or ». Cependant, rien dans la condition de Boileau ne laisse à penser qu'il ait pu avoir de véritables titres nobiliaires. Victor Hugo (1802-1885)   Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besancon en France. Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants de la littérature française.Les romans les plus connus de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" (1831) et"Les Miserables" (1862). L'auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la

courant de pensée se manifeste par une attitude d’esprit inspirée de la méthode scientifique, cherchant à découvrir la vérité derrière les préjugés, à l’aide de la raison illuminatrice. La pensée s’établit dans l’utile et le concret. Son idéal se résume dans l’ouvrage collectif de L’Encyclopédie. Les genres dominants sont l’essai et le conte philosophique. Ce mouvement s’appuie sur une idéologie du progrès, de la tolérance et du bonheur matériel, contre toutes les contraintes de la monarchie. Le

jusqu'à la peine», mais surtout personnelles, individuelles, originales, c'est-à-dire vraiment vivantes. Par ses leçons enfin et par ses théories exposées dans le Génie du Christianisme, il disait au XIXe siècle qui s'ouvrait quelque chose qui peut se résumer ainsi : Malgré d'excellents génies et d'admirables œuvres, que je sais goûter plus que personne, vos pères se sont trompés sur l'art littéraire pendant près de trois cents ans. Ils ont cru que la littérature devait être impersonnelle et que l'auteur

messages inaudibles de forces supérieures, il est inspiré des Dieux. Ceci est appelé au 16ème siècle la Théorie de l’enthousiasme. Il prône un art soit élaboré soit simple. La poésie est senti dans le cadre de la possession (elle est reprise par Hugo le « poète-mage »). Cette théorie se réintroduit donc et s’oppose à une autre vision des choses (le 17ème siècle est le siècle de la régularité, on se méfie de l’inspiration). Les auteurs de la Pléiade reviennent tout de même un peu aux éléments

provocations. L'ambition de Hugo est ici très explicitement révolutionnaire. Il ne s'agit pas de réformer la tragédie, mais de transformer le théâtre tout entier et de conquérir le public populaire. Public qui avait assuré le triomphe de grands fabricants de mélodrame comme Caigniez et Pixerécourt; masse disponible, mais insuffisamment avertie, des spectateurs du Boulevard en proie au vaudevillistes. La tendance mélodramatique que la critique a souvent stigmatisée à Victor Hugo tire la leçon de la Révolution

sensibilité se manifeste dans la littérature et les arts plastiques par un renouvellement thématique, le Moyen Âge, l'Orient, l'époque napoléonienne, la littérature étrangère…etc Le mal du siècle : Musset en 1836 dans La Confession d'un enfant du siècle résume le mal dont souffre la jeunesse française : « Toute la maladie du siècle présent vient de deux causes ; le peuple qui a passé par 93 et par 1814 porte au cœur deux blessures. Tout ce qui était n'est plus ; tout ce qui sera n'est pas encore. Ne cherchez

le jour où Zola a décidé de bouleverser le théâtre. Lui-même, il était fatigué de son enthousiasme naturaliste. Né entre deux époques fécondes du théâtre, autrement dit, d’une part suivi du drame romantique lancé par Hugo ,celui qui a bouleversé la scène par son préface de Cromwell et la représentation d’Hernani respectivement en 1827 et 1830 ;d’autre part précédé du théâtre symboliste qui était à l’apogée de son grandeur à la fin du siècle ,le théâtre naturaliste connait une certaine éclipse. D’où

c’est parce qu’il ne peut pas contenir toute la vie. En effet, toute la vie ne saurait rentrer dans un roman car le romancier doit faire des choix et s’arrêter sur les moments cruciaux qui composeront son œuvre. A ce sujet, Victor Hugo indiquera dans la préface de Cromwell la nécessité pour le drame d’être un miroir de concentration : « Le drame est un miroir où se réfléchit la nature. Mais si ce miroir est un miroir ordinaire, une surface plane et unie, il ne renverra des objets qu’une image terne