Résumé De La Médiocrité

Résumé: Le personnage principal, Frédéric Moreau, est présenté comme «l'homme de toutes les faiblesses». Les idéaux et les espoirs du personnage se confrontent à la réalité. Une discordance entre le moi et le monde se présente alors. Pour la majorité des personnages, il y a une impossibilité de parvenir au but fixé. Dans ce texte, nous est donc présentée la désillusion d'un personnage, dans une société qui l'est tout autant. Cette poétique de la désillusion est assez présente dans le livre et

progrès économique et social significatif et durable devenait impossible dans chacun de nos pays. Il en résulte entre autres, le déficit chronique des balances commerciales et de payement. Par ailleurs, l’étroitesse des marchés nationaux, la médiocrité des infrastructures de communications et de télécommunication, un environnement institutionnel précisément juridique, administratif et fiscal peu incitatif ont conduit à une quasi absence des IDE dans tous nos états (moins de1% conte 10% en Amérique

avidité, ou encore le verbe « fascine » : l’homme dévisage la femme dont il admire la beauté, s’absorbe avidement dans sa contemplation.   ·        Vers 9 : C’est un vers de transition entre la partie rencontre et la partie méditation. Le vers résume d’un mot, « un éclair », l’expérience fulgurante que vient de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de

sur un passage du chapitre 9 de la première partie du roman et il est important de noter que c’est le dernier passage de cette première partie et il fait donc office de transition entre la 1ère et la 2ème partie. On va tout d’abord commencer par résumer l’histoire. Emma est la fille du riche fermier M Rouault. Elle a été élevée dans un couvent. Pdt sa période au couvent, elle se réfugiait dans des lectures de romans à l’eau de rose pour se distraire et échapper à l’ennui. C’est là qu’elle commence

Kafka -résumé La Métamorphose
(Die Verwandlung) L a Métamorphose est une nouvelle écrite par Kafka en 1912, alors que l'auteur, un simple fonctionnaire de Prague, était âgé de 29 ans. Ce récit, probablement le plus connu de Kafka, est également le plus énigmatique. Sur une centaine de pages, l'auteur nous fait la narration de la nouvelle vie de Grégoire Samsa, simple représentant de commerce qui s'est éveillé un beau matin "transformé en une véritable vermine". C'est à dire que Samsa est devenu

Bovary. Critiqué et mit en procès pour « l’immoralité » de son œuvre, il est finalement acquitté et son roman deviendra célèbre en 1857. Il passe pour le 1er écrivain moderne obsédé par la forme ou s’affrontent lyrisme, ironie, grandeur tragique et médiocrité. Flaubert soutiendra : « Bovary aura été un tour de force inouï et dont moi seul jamais aurai conscience, sujet, personnage, effet, tout est hors de moi. » Pour Flaubert toujours « il faut chercher la réalité dans les choses qui la signifient »

novembre. En 1870, il souffre d'eczéma et de maux de tête qui l'empêche d'écrire. Sa mère meurt en 1872 et Flaubert a des problèmes de santé et d'argent en 1874. Flaubert meurt subitement le 8 mai 1880 à la suite d'une hémorragie cérébrale. RESUME : Première partie : Chapitre 1 : Charles Bovary, âgé d'une quinzaine d'années, est un "gars de la campagne". Il entre en 5ème au Collège de Rouen et ses camarades se moquent de lui à cause de son air un peu ridicule. Il arrive d'un village

en suivant cette conduite que Duroy parviendra : en jouant la comédie. Il entrera par la suite justement dans un journal, La Vie Française, qui sera comparé à un immense théâtre. Il ne faut pas oublier non plus que chaque personne rencontrée se résume à son emploi et donc à l’argent qu’il gagne. En plus d’être une obsession quotidienne pour Duroy, l’argent et les apparences l’aident à cerner les gens qui l’entourent et qui pourrait l’intéresser voire l’aider… Ce monde corrompu sera donc celui qui

avidité, ou encore le verbe « fascine » : l’homme dévisage la femme dont il admire la beauté, s’absorbe avidement dans sa contemplation. · Vers 9 : C’est un vers de transition entre la partie rencontre et la partie méditation. Le vers résume d’un mot, « un éclair », l’expérience fulgurante que vient de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de

avidité, ou encore le verbe « fascine » : l’homme dévisage la femme dont il admire la beauté, s’absorbe avidement dans sa contemplation.   ·        Vers 9 : C’est un vers de transition entre la partie rencontre et la partie méditation. Le vers résume d’un mot, « un éclair », l’expérience fulgurante que vient de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de