Résumé Des Pensees De Pascal

où l’on trouve dans l’autre une source de plaisir qui nous coupe de l’ennui.  Pascal, Les pensées  : l’amour qui n’est pas tourné vers Dieu n’est qu’un simple divertissement. Avant la chute, l’homme ressentait un désir infini pour un bien infini. Depuis le péché originel, l’homme tente de se combler avec des biens finis, dont l’affection des autres. Ce sont selon Pascal des divertissements qui certes permettent à l’homme de pallier son ennui mais ne peuvent régaler

EXPOSÉ SUR MICROMEGAS DE VOLTAIRE  XVIIIè siècle Résumé Micromégas (qui signifie petit et grand) est un jeune savant, géant (32kms de haut). Il a 670ans au début du conte. A la suite de travaux scientifiques contestés par les fanatiques du clergé de sa planète, il est contraint à l’exil. Il est doué d’une intelligence exceptionnelle, il devine très tôt le 50 propositions d’Euclide. Toutefois, il n’a nulle trace d’orgueil, au contraire, il est conscient de l’insuffisance de son savoir.  Il

aussi estimable que la morale d’un croyant. Le dialogue se nourrit d’un jeu de questions (la dernière étant une question rhétorique puisque elle sous- entend la réponse négative) et de réponses. Il s’agit en fait d’un pastiche du fameux pari de Pascal et d’une véritable maïeutique qui amène la maréchale (et le lecteur avec elle) à évoluer dans ses convictions et à écouter Diderot. L’argumentation se fait plaidoyer pro domo puisque l’auteur prend la parole et la conservera in fine. Le texte de

 Juliette  ?évoque  d’emblée  la  célèbre  pièce  de  Shakespeare   Kiffe  ?  introduit    le  texte  dans  un  langage  «  jeune  »,argotique  ,  celui  des  cités.  On  pense  que  «  kiffe  »  serait   dérivé  d’un  mot    arabe  voulant  dire  aimer  ou  plaisir   Un  auteur  :  Fabien  Marsaud  ,  auteur  et  chanteur  de  slam  reconnu

Proposition de corrigé : Introduction : Puis-je dire que je suis ce langage que je parle et où ma pensée se glisse au point de trouver en lui le système de toutes ses possibilités propres, mais qui n’existe pourtant que dans la lourdeur de sédimentations qu’elle ne sera jamais capable d’actualiser entièrement ? En posant cette double question, Michel Foucault résume bien le débat introduit par le sujet qui nous est proposé : « Ne sommes nous que des mots ? » En d’autres termes

Accueil > Cours > Toute croyance est-elle irrationnelle ? | page 1 | 2 | 3 | Toute croyance est-elle irrationnelle ? page créée le 01/01/2003 |   |   Résumé: | | liens associés - introduction à la philosophie de Platon - Descartes, Méditations Métaphysiques, Première Méditation, surtout le premier § - cours religion   | Plan Introduction I- la croyance comme insuffisamment fondée et opposée au savoir II- La croyance comme assentiment A- Les diverses formes de croyance

que dans les définitions premières du droit et de la force, ces deux notions semblent s’opposer. Plus précisément on peut rattacher le droit au juste et à la justice qui sont elles-aussi antagonistes à la force. C’est ce que tend à montrer Pascal dans Pensées, fragments 298 et 299. L’idée de droit est coextensive à l’idée de justice : le droit naturel - à comprendre ici dans le sens de la déclaration des droits de l’Homme - est lié au concept de justice pris comme norme du droit, c'est-à-dire comme

conscience perceptive comme moyen d’explorer son intériorité. Chaque homme développe au contact avec la réalité la faculté de se représenter non seulement ce qui l’entoure (cette table, cet homme…) mais aussi ce qui le traverse : sensations, sentiments, pensées, tendances spontanées… Plus encore, il est capable d’isoler certains éléments de la PERCEPTION, qu’elle porte sur le monde extérieur ou sur soi-même. Cette faculté s’appelle la conscience perceptive (ou « aperception »). Pour prendre une métaphore

les vulgarisant dans leur Encyclopédie (cf. manuel, p. 278-281)[footnoteRef:3]. Leur but était de s’attaquer à l’obscurantisme et à l’intolérance religieuse (cf. Voltaire, L’Affaire Calas ). [2: On pense bien sûr aux humanistes de la Renaissance. C’est pourquoi le XVIIIe siècle est considéré comme un « second humanisme ». ] [3: Ces pages sont à lire avec soin : la compilation des savoirs de tout un siècle ; une entreprise critique triomphant malgré

décolonisation en Afrique Noire dès 1960. Enfin, l'ouvrage vient après plus d'un demi-sicèle de colonisation pendant lequel plusieurs écrivains se sont attachés sur la condition du colonisé, comme Albert Memmi dans son Portrait du colonisé paru en 1956. Résume et thème principal : L'histoire est celle d'un jeune musulman, Simba Diallo, qui passe de l'école coranique à l'école étrangère, c'est à dire française. Ce passage d'une culture à une autre va provoquer dans l'esprit du personnage, plutôt qu'une