Résumé Du Drame Romantique

l'incorporation d'un romantique ; mentalement et émotionnellement elle n'a aucune relation aux réalités de son monde. Elle devient inévitablement mécontente parce que ses imaginations sont impossibles à réaliser. Flaubert a déclaré : « Madame Bovary, c’est moi». Madame Bovary, est un commentaire sur la culture bourgeoise de la période de temps de Flaubert. Son mépris pour la bourgeoisie est exprimé par ses caractères : Emma et Charles Bovary perdu dans des délutions romantiques ; un bailleur, amoureux

Le théâtre grec est né durant l'antiquité. Il s'agissait au début de cérémonies religieuses, célébrées en l'honneur de Dionysos (le dieu du vin et de la fête). Ce sont des histrions de jeux étrusques ; esclaves ou affranchis (anciens esclaves), en résumé, des non-citoyens. Les acteurs sont des professionnels eux-mêmes sous l'autorité d'un professionnel : le dominus gregis, qui signifie le chef de groupe. A cette époque, les acteurs qui réussissaient à mener une carrière à bien étaient rares. Un personnage

Pour accentuer l’effet de réel, les auteurs n’hésitent pas à mentir, comme Balzac au début du Père Goriot qui affirme : « Ah ! sachez-le : ce drame n’est ni une fiction, ni un roman. All is true, il est si véritable, que chacun peut en reconnaître les éléments chez soi, dans son cœur peut-être. » Mais est-ce vraiment là un mensonge de la part de Balzac ? Le lecteur sait bien que les personnages

au comique des situations. Ex : A la Renaissance, les sotties combinaient jeux physiques (acrobaties, sauts etc.) et jeux langagiers. ➢ La sottie du Jeu du Prince des Sots et de Mère Sotte, de Pierre Gringore Ex : au XVIIIe siècle, dans le drame bourgeois, importance de la pantomime (= la gestuelle). La scène de théâtre est comparée à un tableau où est représenté un moment pris sur le vif : importance de l’attitude, de la posture des personnages. Selon Diderot, à chaque discours doit être

Par contre, le drame romantique est plus riche en didascalies et l'auteur plus directif. Boris Vian est un écrivain français, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz (trompettiste), né le 10 mars 1920, à Ville-d'Avray (Seine-et-Oise, aujourd'hui Hauts-de-Seine), mort le 23 juin 1959 à Paris. Il fut aussi ingénieur de l'École centrale, inventeur, scénariste, traducteur (anglo-américain), conférencier, acteur d'occasion et peintre. Vian a signé ses nombreux écrits de pseudonymes

les yeux) datant de 1997 et du réalisateur Alejandro Amenabar ainsi que son remake en 2002 Vanilla sky de Cameron Crow. Nous commencerons dans un premier temps par résumer ces deux films puis, dans un second temps, nous verrons qu’ils présentent un type de thriller différent chacun : fantastique et romantique .Enfin dans un troisième temps nous soulèverons le contraste entre l’original espagnol ( européen) et son remake américanisé. Ouvre les yeux est un film espagnol réalisé

pratiquait la torture et l'autodafé. Il détestait Rousseau notamment parce que celui-ci pensait que tout le mal de la terre venait de la corruption de la civilisation. Le drame bourgeois sont des pièces de théâtre crée par Diderot situées entre le genre tragique et comique . Certes le XVIIIe est marqué 1750 par l’émergence de la sensibilité préromantique mais c'est

considéra comme l’enfant prodige du romantisme, mais il allait prendre très rapidement ses distances avec le culte porté au «maître» par les jeunes écrivains de sa génération, se refusa à l’aduler, se moqua notamment des promenades nocturnes que les romantiques faisaient sur les tours de Notre-Dame. D’ailleurs, dans ses premières œuvres, il n’y avait rien de personnel, rien d'intime du moins. Nulle teinte de mélancolie lamartinienne, de révolte byronienne ; rien qui pose ou suggère une idée philosophique

les guérisons miraculeuses, et sent chanceler sa foi. * Rome (1896) : Le roman de la Cité des papes. L'abbé Pierre Froment vient à Rome pour tenter de défendre un livre qu'il a écrit et qui est menacé de l'Index. Le roman dépeint à la fois le drame de l'amour et de mort d'un couple d'aristocrates romains, les rivalités cardinales, les scandales immobiliers de la nouvelle Rome et l'aventure intellectuelle du jeune prêtre, déçu par Léon XIII. * Paris (1898) : Le roman de la capitale républicaine

considéra comme l’enfant prodige du romantisme, mais il allait prendre très rapidement ses distances avec le culte porté au «maître» par les jeunes écrivains de sa génération, se refusa à l’aduler, se moqua notamment des promenades nocturnes que les romantiques faisaient sur les tours de Notre-Dame. D’ailleurs, dans ses premières œuvres, il n’y avait rien de personnel, rien d'intime du moins. Nulle teinte de mélancolie lamartinienne, de révolte byronienne ; rien qui pose ou suggère une idée philosophique