Résumé Effroyable Jardin

.......................................................... Erreur ! Signet non défini. Table des matières......................................................... Erreur ! Signet non défini. Résumé............................................................................ Erreur ! Signet non défini. Résumé en anglais ........................................................ Erreur ! Signet non défini. Liste des abréviations utilisées .................................... Erreur ! Signet non défini

s'effraient plus des galères, étaient venus là pour hasarder trois coups et remporter immédiatement le gain probable duquel ils vivaient. Deux vieux garçons de salle se promenaient nonchalamment les bras croisés, et de temps en temps regardaient le jardin par les fenêtres, comme pour montrer aux passants leurs plates figures, en guise d'enseigne. Le tailleur et le banquier venaient de jeter sur les porteurs ce regard blême qui les tue, et disaient d'une voix grêle : - Faites le jeu ! quand le jeune

spécifique Insecte……………………mot générique A retenir : Le mot générique : il englobe des mots spécifiques. Il désigne une définition sous laquelle on peut regrouper d’autres mots. Exercice d’application :P37 Utilisez à chaque fois un mot générique pour résumer les suites : 1- Bombardier – revolver - char d’assaut : armes 2- Danse – architecture –musique – sculpture : arts 3- Vent - pluie – ouragan –tempête : phénomène naturel 4- Vaste –étendu –ample –spacieux : grand ; immense 5- Biologie – écologie – cytologie

tu crois qu’il doit avoir ? Hein ? - Une bonne odeur, dit la nourrice. - « Bonne », ça veut dire quoi ? cria Terrier à la figure de la femme. Il y a bien des choses qui sentent bon. Un bouquet de lavande sent bon. Le pot-au-feu sent bon. Les jardins de l’Arabie sentent bon. Comment sent un nourrisson, je voudrais bien le savoir ! La nourrice hésitait. Elle savait bien quelle odeur avaient les nourrissons, elle le savait parfaitement bien, ce n’est pas pour rien que par douzaines elle avait

tu crois qu’il doit avoir ? Hein ? -  Une bonne odeur, dit la nourrice. -  « Bonne », ça veut dire quoi ? cria Terrier à la figure de la femme. Il y a bien des choses qui sentent bon. Un bouquet de lavande sent bon. Le pot-au-feu sent bon. Les jardins de l’Arabie sentent bon. Comment sent un nourrisson, je voudrais bien le savoir ! La nourrice hésitait. Elle savait bien quelle odeur avaient les nourrissons, elle le savait parfaitement bien, ce n’est pas pour rien que par douzaines elle avait nourri

conçus. La célèbre poupée, se ditil, qui avait conquis l’homme au moment même où celui-ci conquérait les planètes du système solaire. Poupée Pat, l’obsession des colons. Le pathétique symbole de la vie sur les planètes… capable, à elle seule, de résumer l’existence de ces malheureux, victimes des lois de l’ONU sur le service sélectif, arrachés de force à la Terre, condamnés à recommencer une existence misérablement inhumaine sur Mars, Vénus, Ganymède, partout où les bureaucrates de l’ONU s’avisaient

s’effraient plus des galères, étaient venus là pour hasarder trois coups et remporter immédiatement le gain probable duquel ils vivaient. Deux vieux garçons de salle se promenaient nonchalamment les bras croisés, et de temps en temps regardaient le jardin par les fenêtres, comme pour montrer aux passants leurs plates figures, en guise d’enseigne. Le tailleuret le banquier venaient de jeter sur les ponteurs ce regard blême qui les tue, et disaient d’une voix grêle : — Faites le jeu ! quand le jeune

parut, la colline qui suivait à droite le cours de la Seine peu à peu s’abaissa, et il en surgit une autre, plus proche, sur la rive opposée. Des arbres la couronnaient parmi des maisons basses couvertes de toits à l’italienne. Elles avaient des jardins en pente que divisaient des murs neufs, des grilles de fer, des gazons, des serres chaudes, et des vases de gé-raniums, espacés régulièrement sur des terrasses où l’on pouvait s’accouder. Plus d’un, en apercevant ces coquet tes résidences, si tranquilles

s’exprimer, ou à sortir la moindre parole. Finalement, après que Jonas eu réussi à la calmer, elle réunissait toutes ses forces pour lui apprendre qu’une catastrophe venait de se produire. Son père, de retour d’un voyage d’affaire, venait d’avoir un effroyable accident de voiture en s’encastrant à vive allure sous un camion qui avait piler les freins devant lui. Le chauffeur a voulu éviter un sanglier qui traversait la route. Il a ensuite perdu totalement le contrôle de son véhicule avant d’aller s’exploser

s'effraient plus des galères, étaient venus là pour hasarder trois coups et remporter immédiatement le gain probable duquel ils vivaient. Deux vieux garçons de salle se promenaient nonchalamment les bras croisés, et de temps en temps regardaient le jardin par les fenêtres, comme pour montrer aux passants leurs plates figures, en guise d'enseigne. Le tailleur et le banquier venaient de jeter sur les pondeurs ce regard blême qui les tue, et disaient d'une voix grêle : − " Faites le jeu ! " quand le jeune