Résumé En Attendant Godot

furent les mammouths à leur époque ; avec nostalgie pour les uns, parce que désuète pour les autres. Dès lors, la culture étant censée donner du sens, son recul participerait à la « foire au sens » et amplifierait le « zapping culturel » chacun « attendant Godot »… Mais la culture générale peut-elle se limiter à un stock de connaissances, sorte de réserve constituée à base de volonté personnelle durant sa jeunesse et ses loisirs et conservée grâce à l’inné de la mémoire qui s’effrite sous le poids des

d’eau courante ? » J’ai failli sursauter. Quelle voix ! Quelle vie ! Je m’attendais à une voix chevrotante, aussi usée que ses vêtements. Je pensais que ses mots allaient boiter et voilà qu’ils sautillaient ! Ses grands yeux bleus me fixaient, attendant une réponse, et son visage restait incroyablement lumineux. J’étais perdu entre ma stupeur et ma curiosité ! J’ai bafouillé quelques mots avant de lui demander si ces coupures étaient fréquentes. « Oh oui. Ça arrive ! Mais rassurez-vous, l’eau

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une vacuité

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une vacuité

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une vacuité

penser qu’il épie cette statue et qu’il ne souhaite pas être vu. 4- La quatrième de couverture : a) Le résumé de la quatrième de couverture présente les personnages importants : Zinaïda et Vladimir Pétrovitch. Il s’agit effectivement d’une première histoire d’amour et des tourments qui l’accompagnent. Le résumé nous fait aussi découvrir un élément nouveau : l’existence d’un mystérieux rival. b) Ce résumé confirme l’appartenance des personnages au milieu aristocratique (« princesse »). On comprend également

les bûchers, les échafauds, au fond des chambres de torture, chaque fois que nous avons pu nous saisir d'eux? Les mots qu'ils rediront encore dans des siècles avec la même impudence car la chasse à l'homme ne sera jamais fermée. » Cette réplique résume les trois caractères essentiels de la pièce : - l'image belle et poignante de l'héroïne en prison ; - l'exaltation de la révolte et de l'idéal de liberté contre les forces brutales de l'oppression, politique et religieuse ; - l'habile tissu du passé

les bûchers, les échafauds, au fond des chambres de torture, chaque fois que nous avons pu nous saisir d'eux? Les mots qu'ils rediront encore dans des siècles avec la même impudence car la chasse à l'homme ne sera jamais fermée. » Cette réplique résume les trois caractères essentiels de la pièce : - l'image belle et poignante de l'héroïne en prison ; - l'exaltation de la révolte et de l'idéal de liberté contre les forces brutales de l'oppression, politique et religieuse ; - l'habile tissu du

l'univers où errent des personnages jouets de la providence divine.   | Doc. 2 : Paul Claudel | 3. Comprendre le renouvellement du langage dramatique : l'après-guerre Eugène Ionesco avec La Cantatrice chauve (1950), Samuel Beckett avec En attendant Godot (1953) et Jean Genet avec Les Bonnes (1947) sont les trois pôles emblématiques du théâtre de l'après-guerre également baptisé « théâtre de l'absurde ». a. Les moyens du changement – La dislocation du langage Les dialogues n'obéissent plus à

lourdement à l’endroit où il se trouvait, de l’autre côté de la salle. Sinon, il n’y avait aucun bruit. Quinn n’arrivait pas à se décider. Il pensa à plusieurs possibilités qu’il chassa une à une de son esprit. Il était là, assis sur son siège, en attendant la suite. Un bruit de jambes gainées de bas traversant le séjour brisa enfin le silence. Puis le déclic métallique d’un interrupteur de lampe et soudain la pièce fut remplie de lumière. Les yeux de Quinn se tournèrent automatiquement vers le