Résumé La Nuit Sacrée

Socrate conçoit sa ꝕ c une maïeutique . Il suscite la réflexion, il amène son interlocuteur à penser par lui-même. Il est un guide, une aide sur le chemin de la connaissance que CHACUN doit découvrir LUI-MEME. RECIT : résumé de l’allégorie Si Socrate dit de ces prisonniers qu’ils nous ressemblent c’est dans la mesure où cette allégorie dépeint la condition humaine. La Caverne représente le monde sensible limité aux apparences, le

entendu, être bon orateur et bon comédien. Il a plusieurs rôles. Il enseigne la genèse de son peuple et récite le passé glorieux d’un héros, roi ou royaume ; il remplit la fonction d’un clerc et transmet la mémoire collective ; c’est aussi un chanteur sacré, car le conte doit être raconté avec des chants sacrés ; enfin il divertit ; * le « cercle de conte » qui est l’auditoire, est composé de membres issus de toutes les classes sociales et de toutes les catégories de sexe ; * l’ « agent rythmique » :

GIONO). (5) Ce qui ne l’empêcha pas de participer à la vie littéraire de son temps par de nombreux articles donnés à des revues, notamment la revue Aguedal qu’il fonda et dirigea en Afrique du Nord. (6) J.-P. CAUVIN, Henri Bosco et la poétique du sacré, Paris, Klincksieck, 1974, p.262 Henri BOSCO, Lettre à Jean Steinmann (1948) (7) Ces quelques lignes montrent clairement que BOSCO se présente à nous comme un découvreur, un inventeur (au sens anthropologique du terme, pourrait-on dire). I -

pommes dans le cellier avec le compotier de faïence, elle avait beau remettre ses pieds dans ses pas,elle avait beau penser à la cape blanche, au cheval noir et au baudrier d’or,elle avait beau répéter tout haut les phrases qu’elle avait dites cette nuit-là, elle se souvenait des gestes,de la pomme qui craquait sous les dents du seigneur,de son pourpoint, des mots, des phrases,mais elle ne se souvenait pas du nom. A défaut d’avoir répété le nom du seigneur, Colbrune ne peut que répeter ses gestes

parlant des limites imposées par la censure, Makine évoque la condition du poète qui, sans tenir compte de ce genre de limites, a plus du mal à écrire sur des choses apparemment simples, comme «l’amour pour une femme qui n’aime plus, la neige d’une nuit de mars, ou l’effroi et l’éspoir, en tant qu’éléments qui constituent la vie» - «paradoxe agaçant de l’Art lors d’un régime totalitaire». Makine justifie sa décision de quitter temporairement Léningrad par le désir de fuir ceux qui pensent que

de la part de leur mère, sous l'œil de leur père qui semble préférer ne rien voir pour éviter un conflit avec sa femme. L’histoire relate la vie de Jean et Ferdinand et de leur stratégie pour parvenir à échapper à l’emprise de leur mère. • Résumé de l’œuvre Au début de notre histoire, Frédie et Jean sont éduqués par leur grand-mère, le père est enseignant en Chine, où est né Marcel qui, lui, vit là-bas avec ses parents. Il restera toujours le favori de Folcoche. Mais la grand-mère décède

appartient au mouvement littéraire de la préciosité. C’est un mouvement littéraire qui repose sur la volonté de se distinguer par l'apparence, et plus précisément le fait de posséder des bijoux précieux et des grands vêtements, de tissu chers. 2. Résumé par parties Première partie : L’histoire se déroule pendant le règne du roi Henri II, au 16ème siècle à la cour. Mademoiselle de Chartres est une jeune femme de 16 ans qui a perdu son père très jeune. Elle a été élevée par sa mère selon de règles

Mme Chaouch Ramdane Née Merad Boudia Zineb Enseignante de Lettres Françaises Résumé : Accepter l’autre dans sa différence, c’est s’accepter soi-même puisque l’autre c’est soi-même. Pourtant l’être humain dans son désir implacable de vouloir être le meilleur, a crée les conflits et les guerres. Il a détruit au lieu de construire. Il a oublié que la

larmes à verser , Marie en partage la douleur avec Mathilde, la jeune veuve , mère du petit Rémi que son père découvre lors de la courte permission accordée pour la naissance de l’enfant . Entrant en tenue de soldat dans la chambre, à la tombée de la nuit, il s’approche sans bruit du berceau, se penche avec précaution pour ne pas verser sur cette petite chose endormie les tumultes de la guerre – abasourdi de joie soudain par ses minuscules points serrés sur des songes blancs, ses cheveux d’ange, le

déesse qui s'intéresse, avec Arès, aux travaux de la guerre, au pillage (ἡ λεηλασία, ας) des villes et aux clameurs guerrières. » Néanmoins, les deux dieux se distinguent : Athéna peut abandonner son rôle guerrier pour un autre, alors qu'Arès se résume à être un dieu de la guerre. Arès est haï des autres dieux, en particulier Zeus, lequel lui déclare dans l'Iliade : « Je te hais plus qu'aucun des dieux qui vivent sur l'Olympe Car tu ne rêves que discordes, guerres et combats. » Héra, sa mère