Résumé Le Roi S Amuse De Victor Hugo

du texte Le recueil de 1532 intitulé Adolescence clémentine peut être considéré comme celui de l’apprentissage poétique de Clément Marot. Il regroupe des poèmes datant déjà parfois d’une quinzaine d’années. En l’occurrence, la « Petite Épître au Roi » fut écrite par le poète de vingtdeux ans désireux d’attirer l’attention de François Ier. Ce faisant, comme il le fit ailleurs pour l’épigramme, il renouvelait avec beaucoup de verve et de virtuosité le vieux genre épistolaire et poétique latin.

partial fulfillment of the Requirements for the degree of Master of Arts in The Department of French Studies by Souleymane Fofana B.A, University of Abidjan, 1991 C2 Master, University of Abidjan, 1992 August, 2003 TABLE DES MATIERES RESUME…………………………………………….....………………………………iv ABSTRACT ……………………………………………....…………………………...vi I. INTRODUCTION……………………………………....………………………….1 A. Prologue…………………………………………....…………………………….1 B. Exposition……………………………………….....……………………………..3 C. Théorie………………………………………………………

et qu'ils n'avaient aucun besoin de lui. Moi, je dépendais de lui pour tout: il adorait en moi sa générosité. A la vérité, il forçait un peu sur le sublime: c'était un homme du xixe siècle qui se prenait, comme tant d'autres, comme Victor Hugo lui-même, pour Victor Hugo. Je tiens ce bel homme à barbe de fleuve, toujours entre deux coups de théâtre, comme l'alcoolique entre deux vins, pour la victime de deux techniques récemment découvertes: l'art du photographe et l'art d'être grand-père. Il avait

vouldras » inscrite sur le fronton de l'abbaye. Pantagruel: Pantagruel est le héros éponyme du premier livre de François Rabelais publié en 1532 dont le titre complet est : Pantagruel. Les horribles et épouvantables faits et prouesses du très renommé Pantagruel Roi des Dipsodes, fils du Grand Géant Gargantua. Composés nouvellement par maitre Alcofribas Nasier. Dans Pantagruel, Gargantua adresse dans une célèbre lettre à son fils Pantagruel un programme d'études et une réflexion humanistes ; on y retrouve notamment

et qu'ils n'avaient aucun besoin de lui. Moi, je dépendais de lui pour tout: il adorait en moi sa générosité. A la vérité, il forçait un peu sur le sublime: c'était un homme du xixe siècle qui se prenait, comme tant d'autres, comme Victor Hugo lui-même, pour Victor Hugo. Je tiens ce bel homme à barbe de fleuve, toujours entre deux coups de théâtre, comme l'alcoolique entre deux vins, pour la victime de deux techniques récemment découvertes: l'art du photographe et l'art d'être grand-père. Il avait

leur milieu sociologique comme d'authentiques figures mythiques. Les personnages de Marcel Dubé sont de véritables archétypes. Intérêt philosophique ‘’Zone’’ montre le caractère crucial de l’adolescence, « état de passage où l’illicite est roi », période marquée par la volonté de rupture avec les parents, par le désir d’un autre monde, et, en même temps, par le nécessaire passage à l’état adulte, par l’acceptation du monde tel qu’il est. Marcel Dubé a magnifié en ses personnages leur attachement

___________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ * Amuse-toi maintenant ! Crée les définitions des « mots tordus » par le Prince et son épouse. ______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

et sous la Renaissance + préface édition Fragonard p21 Culture populaire = orale (les fabliaux et les contes). + le carnaval : période de fête dans lequel l’ordre habituel du monde est renversé. = Renversement - de l’ordre social : un « roi » est choisi parmi les plus pauvres, - de l’ordre religieux : un âne en chasuble préside aux « messes de l’âne » - des convenances : on s’asperge de peinture, de lie de vin, d’excréments. Importance du vin. Un moment d’ivresse et de défoulement

sultanes et de muftis où le merveilleux et le pittoresque prennent le pas sur le réel. C’est Bonaparte, en 1798, qui va ouvrir les portes d’un Orient non plus de fantaisie mais vécu, exploité par le romantisme avec ses couleurs propres et ses mœurs. Victor Hugo dira dans la préface de ses Orientales (1829) : « L’Orient est devenu une préoccupation générale ». En 1842, l’historien Edgar Quinet nommait l’orientalisme une renaissance orientale (Le Génie des religions). D’après lui, cette renaissance vise

même remède convienne à des affections diverses, et qu’une maladie s’en aille sous des traitements opposés. Néanmoins, ils donnaient des conseils, remontaient le moral, avaient l’audace d’ausculter. Leur imagination travaillait. Ils écrivirent au roi, pour qu’on établît dans le Calvados un institut de gardes-malades, dont ils seraient les professeurs. Ils se transportèrent chez le pharmacien de Bayeux (celui de Falaise leur en voulait toujours à cause de son jujube) et ils l’engagèrent à fabriquer