Résumé Les Contemplations

parviennent pas à rendre compte de la singularité de nos expériences. C’est pourquoi, les arts par leurs diversités se présentent comme les moyens les plus propices de faire état de nos traumatismes individuels. Néanmoins, les arts ne peuvent se résumer à exprimer notre propre individualité : par la mémoire, les artistes se font les portes paroles d’une génération tourmentée durant une période passé douloureuse, comme la 2nd Guerre mondiale. Première partie : Selon Bergson, dans son ouvrage

penseurs, mais aussi des artistes, selon des critères pouvant être à la fois esthétiques, techniques, politiques, sociaux ou plus généraux. La phrase « C’est beau » exprime un sentiment, un plaisir suscité par la contemplation d’une œuvre, d’une chose ou d’une personne. Par exemple, la contemplation d’une œuvre artistique peut être, pour une personne qui n’y connaît rien en art, quelque chose d’absolument hideux et totalement inutile, or, pour un individu qui s’y intéresse, il regardera non pas le simple

meublé entièrement et il installe Juliette Drouet au bout de sa rue. En haut de sa demeure il installe un pupitre ou il travaille tout les jours. Il y ecrit 100 vers ou 20 pages chaque jours. Pendant son exile il ecrit Les chatiments (1853), Les contemplation (1856) ce livre a un grand succès, il publie les miserables (1862), Les travailleurs de la mer (1866) et l'homme qui rit (1869). En 1870 le second Empire s'ecroule et Victor Hugo revient en France, en 1876 il devient sénateur, en 1883, sa maitresse

confidences, etudié en Francais dans le cadre théatre et stratagème. C’est une piece ecrite par Marivaux, né en 1688 et mort en 1763. L’intrigue est centrée sur le langage et sur les farces, pièce typique du mouvement appelé le marivaudage. Pour résumer rapidement, Dorante, un jeune noble qui a perdu sa fortune, aime Araminte, une riche héritière. L’ancien valet de dorante, donc dubois, qui se retrouve au service d’araminte, a

Rousseau : « Les confessions » . N.Sarraute.(XIX) Themes: Reconnaitre une autobiographie: -“Je”, “vie”, Difficultés de l’écriture autobiographique : -L’abondance du « je », égotisme(parlez de soi sans contemplation, sans s’admirer) -La vérité, ne pas mentir lorsque l’on écrit son autobiographie :dire tout ce qui est bon et mauvais. -problème de mémoire : on ne se rappel pas de tout, les auteurs ont tendance a rajouter des « ornements » comme dirais Rousseau

enceinte mais dont l’enfant meurt prématurément. Jacques Arnoux : mari de Marie Arnoux, par argent change de métier et n’a aucun scrupule. Mme Dambreuse : grande dame de Paris, son mari meurt pendant le récit, et épouse Frédéric par la suite. Résumer rapide : Sur le bateau qui le ramène à Nogent, Frédéric Moreau, jeune bachelier, a le coup de foudre pour Madame Arnoux, femme d'un spéculateur qui finira ruiné. Si elle lui avoue, fort tard, qu'elle partage son amour, elle ne lui cédera jamais.

historique et philosophique Auteur : Victor Hugo Mouvement: romantisme 19ème siècle Genre : roman Titre : Notre Dame de Paris Date : 1831 Edition / collection/ nombre de pages : petits Larousse classique / Larousse / 11 livres   Résumé Dans le Paris du XVe siècle, une jeune et superbe gitane appelée Esmeralda danse sur la place de Grève et sur la place du Parvis-Notre-Dame à Paris. Sa beauté bouleverse l'archidiacre de Notre-Dame, Claude Frollo, qui tente de l'enlever avec l'aide

de Cosette C.Le paradoxe de la clairvoyance II.La symbolique de l'enfant et de la poupée : antipodes et personnifications A.La circularité littéraire B.Délitement et splendeur : deux poupées aux antipodes C.La fonction symbolique du passage Résumé du commentaire de texteEn 1862, Hugo prend sa plume pour mettre en scène, dans un roman qui retrace la vie d’une jeune enfant que la vie a délitée, le quotidien d’un forçat tutélaire, Jean Valjean. Dans l’extrait soumis à notre étude, Hugo donne à

Ruy Blas Victor Hugo (19e siècle) Poète, dramaturge, écrivain Fondateur du drame romantique Pièces romantiques : Hernani, Cromwell (avec préface), Ruy Blas Résumé Acte I : En ce début de pièce, Dom Salluste a été disgracié par la reine d’Espagne, Dona Maria. Elle l’a exilé de la cour, ce qui provoque sa colère. Il médite donc une vengeance, et espère rallier son cousin Don César, un débauché, dans celle-ci. Son cousin, dans un sursaut d’honneur, refuse de le suivre. Par contre, Ruy Blas, le valet

de l’homme à Dieu durant les dernières décennies, par l’analyse de deux grands événements significatifs : « le soulèvement d’une génération » en 1968, et  « l’effondrement des régimes socialistes » en 1989. Le fond de son questionnement, peut se résumer dans ces deux questions: Comment croire aujourd’hui ? Et que faut il croire, face à un monde en recherche de lui-même, qui depuis longtemps tente de se construire sans Dieu ? Nous cherchons à répondre à l’opinion de Jean-Paul II dans un commentaire