Résumé Plongée Fatale

présent qu’il s’actualise sous les yeux du poète. Les images (un paysage, un château dans un parc, une femme à sa fenêtre) naissent du souvenir musical. Les derniers mots du poème « je me souviens » précisent la manière dont le poète conçoit cette plongée dans le passé : c’est un souvenir qu’il croit avoir vécu et qu’il réactualise dans son poème. 5 Voici une proposition de plan pour traiter la question  d’ensemble  : Comment Nerval intervient-il et exprime-t-il la nostalgie dans son poème ? I. La

Sattelifax. Une bonne occasion de faire semblant de travailler avant la plongée 19 LA VOLEUSE DE VIES dans le bain. Arriver avant mes collaborateurs, c‟est important. Leur laisser penser que, peutêtre, cela fait une heure que je suis là. Les arrivées s‟étalent jusqu‟à 9h30. Au-delà, je le note histoire de pouvoir m‟en servir, au cas où, pendant les entretiens annuels et justifier une nonaugmentation. Le métier dont je rêvais se résume parfois à maîtresse d‟école ou surveillant général, super. 9h00

les toges bordées de pourpre, les luttes du Forum, le peuple courroucé défilaient lentement devant lui comme les vaporeuses figures d'un rêve. Enfin la Rome chrétienne dominait ces images. Une peinture ouvrait les cieux, il y voyait la Vierge Marie plongée dans un nuage d'or, au sein des anges, éclipsant la gloire du soleil, écoutant les plaintes des malheureux auxquels cette Eve régénérée souriait d'un air doux. En touchant une mosaïque faite avec les différentes laves du Vésuve et de l'Etna, son âme

toujours ouverts au repentir. Mais la passion l'avait emporté. Un premier amour jette dans le cœur de profondes racines qui étouffent jusqu'aux germes des sentiments antérieurs. Toutefois l'esclandre avait eu, dans l'organisme d'Olympe, un retentissement fatal. Sa conscience, bourrelée, se révoltait. La fièvre la prit le lendemain. Elle se mit au lit. Elle mourait de honte, littéralement. Le moral tuait le physique: la lame usait le fourreau. Couchée dans sa petite chambrette, et sentant les approches du

– « et mon cœur bat, et mes jambes frémissent ; et tout mon corps tressaille […] » (l. 67-68). 9. a. « Je tombe tout à coup dans le repos, comme on tomberait, pour s’y noyer, dans un gouffre d’eau stagnante » (l. 69 à 71). Le narrateur compare la plongée dans le sommeil à une sorte de noyade. Dans l’œuvre de Maupassant, l’eau est souvent associée au sentiment du danger et à l’idée de la mort. Le sommeil est assimilé à un être maléfique et perfide (« ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette…

Celui-ci se manifeste dans sa longue marche dégradante par des troubles psychopathologiques de plus en plus graves qui peuvent conduire au burn-out, à des actes de sabotage, à des menaces collectives sur les biens et les personnes jusqu’à l’issue fatale : les accidents mortels au travail, les suicides ou les meurtres10. En réchappent ceux et celles qui prennent une décision difficile : démissionner avant de se ruiner la santé. Ils peuvent en effet changer de voie s’ils ne peuvent changer leur haut

toges bordées de pourpre, les luttes du Forum, le peuple courroucé défilaient lentement devant lui comme les vaporeuses figures d'un rêve. Enfin la Rome chrétienne dominait ces images. Une peinture ouvrait les cieux : il y voyait la Vierge Marie plongée dans un nuage d'or, au sein des anges, éclipsant la gloire du soleil, écoutant les plaintes des malheureux auxquels cette Eve régénérée souriait d'un air doux. En touchant une mosaïque faite avec les différentes laves du Vésuve et de l'Etna, son âme

des noms propres), le nom se trouve décliné par le personnage lui-même dans le texte. Le personnage est mis en mouvement (Barda-mu). Il veut avoir le dernier mot, il fait preuve d’une pseudo-résistance, mais il est déjà entraîné dans le mouvement fatal. Il a encore eu le temps de dire « … » mais ces paroles ne servent à rien, ce temps ne lui appartient déjà plus. Il est déjà entraîné et complètement passif. on tourne: désigne tout le monde, impersonnel. Bardamu s’inscrit dans un mouvement qui le

insista : – Pourquoi refusez-vous de m’accompagner chez les flics ? – Parce que je connais la police, figurez-vous. Le jazzman s’insurgea : – Mais de quel droit m’entraînez-vous dans votre galère ? – Comment ça, ma galère ? Je suis peut-être plongée dans la merde, mais vous y êtes avec moi jusqu’au cou. – Non, car moi, je n’ai rien à me reprocher ! 19/281 – Ah bon ? Et qu’est-ce qui vous permet d’être si affirmatif ? Je croyais que vous aviez tout oublié de votre nuit… La réplique

toges bordées de pourpre, les luttes du Forum, le peuple courroucé défilaient lentement devant lui comme les vaporeuses figures d’un rêve. Enfin la Rome chrétienne dominait ces images. Une peinture ouvrait les cieux : il y voyait la Vierge Marie plongée dans un nuage d’or, au sein des anges, éclipsant la gloire du soleil, écoutant les plaintes des malheureux auxquels cette Eve régénérée souriait d’un air doux. En touchant une mosaïque faite avec les différentes laves du Vésuve et de l’Etna, son âme