Résumé Utopie Thomas More

aux bouleversements de la révolution industrielle. Les progrès techniques, les exigences économiques, les pressions sociales ont des répercussions profondes sur l'urbanisme ; en quelques décennies le monde urbain change et ce changement peut se résumer en un mot : NOUVEAUTÉS. Ce mot se décline en plusieurs thèmes: nouvelles rues, nouveaux bâtiments, modes de circulation, matériaux, centres de pouvoir, nouvelles villes. C'est à tout cela que va s'attaquer Napoléon III avec le concours du préfet

plusieurs fronts, en particulier langagiers et plastiques. Cela signifie greffer, combiner, relier des formes identiques ou parallèles, au prix de grands écarts historiques, pour mieux capter des continuums souvent inaperçus1. » 1. Olivier Shefer, « Utopie et langage : une politique des formes », in Société Réaliste : Empire, State, Builing, catalogue de l’exposition, Paris, éditions Amsterdam / Paris, éditions du Jeu de Paume / Budapest, Ludwig Múzeum, 2011, p. 58. 10 / découvrir les expositions

Figaro, acte V, scène 3, 1784. Annexes Le théâtre en utopie ; p. 96 Les sources de l'Île des esclaves, p. 103 L'Ile des esclaves et la scène ; p. 106 l'Île des esclaves et la critique, p. 109 Avant ou après la lecture, p. 116 Bibliographie, filmographie, p. 118 94 95 ANNEXES Le théâtre en utopie D'un renversement social à une épreuve morale Une fable utopique ? La tradition universitaire a qualifié l'île des esclaves d'« utopie sociale » ; on a vu, dans cette pièce, la représentation

Aristote, pour qui l’homme est aussi un zôon politikon (animal politique), lui conseille de s’y engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[4]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le

s'appelle la lecture, et elle ne dure qu'autant que cette lecture peut durer. Hors de là, il n'y a que des tracés noirs sur le papier.» (p.48) Par conséquent la synthèse de la perception et de la création se réalise à travers l’acte de lecture que Sartre résume ainsi : «La lecture est induction, interpolation, extrapolation, et le fondement de ces activités repose dans la volonté de l'auteur, comme on a cru longtemps que celui de l'induction scientifique reposait dans la volonté divine. Une force douce nous

189 Sujet 17 Peut-on dire des beaux-arts qu’ils sont une manière d’apprivoiser l’espace ? 197 Sujet 18 Pourquoi des espaces sacrés ? 206 Sujet 19 L’imaginaire ouvre-t-il de nouveaux espaces ? 214 Sujet 20 À quoi servent les utopies ? 222 Citations à retenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230 Lexique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

d’exister ». IV. Le concept d’Utopie L’Utopie est le pays de nul part tel que le décrivait Thomas More (1478-1535) dans son ouvrage. Le mot est resté dans le langage courant mais il désignait à la base la république idéale que décrivait More comme un nouveau monde ressemblant à l’Angleterre de l’époque, c’est-à-dire divisée en contés et peuplés de commerçants et de marins. La vie sociale en Utopie est réglée par un impératif, celui que nul ne doit être oisif. L’emploi du temps est stricte,

personnalité forte. Tout le monde est visé, la société humaine en générale. L'œuvre commence par un savant éloge imité de l'auteur satirique grec Lucien qui est un auteur grec qu'il connaissait bien ar il venait de traduire son oeuvre en latin avec Thomas More, le ton qui est au départ élogieux devient plus sombre notamment lorsque la folie va faire l'éloge de l'aveuglement, de la démence et on va passer à un examen satirique de la superstition et des pratiques pieuses dans l'église catholique et elle

perception façonnée par la personne. Nous avons tous « une vision des choses », c’est ma vision des choses. Ce que nous allons étudier tout au long de cette année c’est « la vision des choses » qu’entretenaient des penseurs tels que Platon, Aristote, Thomas d’Aquin, Colbert, Locke, Smith, Rousseau, Malthus, Marx, Proudhon, Say, Marshall, Keynes, Friedman, etc. 3 Raison d’être d’un cours d’histoire de la pensée économique dans votre cursus : Mark Pattison, un historien renommé de la fin du 19ème

par un jury composé des personnes suivantes : Marie-Odile Trépanier, président-rapporteur Béatrice Sokoloff, directrice de recherche Gérard Beaudet, co-directeur de recherche Georges Adamczyk, membre du jury Ferran Sagarra, examinateur externe i RÉSUMÉ Cette thèse questionne l’apport de la conservation du patrimoine urbain à l’urbanisme. Il y est avancé que l’association entre la conservation du patrimoine urbain et l'urbanisme, dans leur cadre conceptuel actuel, plutôt que d’être le catalyseur