Révolte De Vautrin

il trouve vite en lui une nouvelle détermination : Il y a une ascension du regard qui marque le recommencement de l’espérance et donc une deuxième naissance. Le jeune homme d’autrefois meurt à ce moment : le spectacle de la pauvreté entraîne la révolte, le refus de se laisser réduire soi-même à l’état d’un Goriot La volonté de la conquête s’énonce de façon concentrée dans la fameuse apostrophe à la capitale : « A nous deux maintenant! ». Par-là, l’ambitieux affirme sa volonté de prendre possession

si léger en lui-même détermina chez Rastignac un accès d’horrible tristesse ». Il prend alors une conscience plus aiguë que jamais de son dénuement personnel. Le jeune homme d’autrefois meurt à ce moment : le spectacle de la pauvreté entraîne la révolte, le refus de se laisser réduire soi-même à l’état d’un Goriot. Ici, Eugène pleure sur un mort qui est aussi l’adolescent d’hier, un garçon honnête et pauvre, auquel il dit adieu. La scène est réussie sur le plan poétique : le crépuscule de la journée

indéfini « une » a une valeur généralisante diront les grammairiens: il sert à désigner par un nom l’ensemble de la classe. Par ce même principe Eugène de Rastignac sert à représenter le type du provincial ambitieux exalté par le luxe de Paris. Vautrin le type du révolté ou du tentateur, etc. D’ailleurs c’est pour cette raison que ces personnages- dont les portraits physiques, psychologiques, sociaux, et idéologiques sont précisément tracés- accèdent à l’antonomase et deviennent de véritables références

XVIIIe siècle. Mais ce roman par lettres vaut aussi en lui-même, en outre par sa peinture des contradictions déchirant le personnage central d'Usbek : partagé entre ses idées modernistes et sa foi musulmane, il se verra sévèrement condamné par la révolte des femmes de son harem et le suicide de sa favorite, Roxane. Le lecteur lisant ce roman épistolaire se moque du Persan faisant preuve d'une naïveté à l'égard des modes occidentales. Mais il ne rit pas longtemps, car en continuant sa lecture il

si léger en lui-même détermina chez Rastignac un accès d’horrible tristesse ». Il prend alors une conscience plus aiguë que jamais de son dénuement personnel. Le jeune homme d’autrefois meurt à ce moment : le spectacle de la pauvreté entraîne la révolte, le refus de se laisser réduire soi-même à l’état d’un Goriot. Ici, Eugène pleure sur un mort qui est aussi l’adolescent d’hier, un garçon honnête et pauvre, auquel il dit adieu. La scène est réussie sur le plan poétique : le crépuscule de la journée

étudiées en classe (littéraires, cinématographiques ou poétiques) on peut constater deux visions. Tout d’abord, la vision réaliste de la Commune, on montre des aspects plus réels de la commune, comme les révoltes ou les massacres faits par le gouvernement. Dans le texte liminaire de Vautrin « le cri du peuple », l’auteur montre que la période de la commune est oubliée dans les livres d’histoire alors que c’était une période importante pour les français donc a décidé de faire équipe avec le caricaturiste

habitait Rouen, d’aller voir au théâtre les acteurs de Paris. ». Alors que Balzac lui décide de présenter les pensées d’Eugène au Discours narrativisé ligne 5 « Il avait vu les trois grandes expressions de la société ; L’Obéissance, la Lutte et la Révolte … ligne 9 Sa pensée le reporta au sein de sa famille…. » Pour finir, il est intéressant d’analyser certains procédés d’écriture telle que les énumérations présentent dans chacun des textes. L’énumération dans le texte de Stendhal nous informe de

longtemps pour les raisons de prestige social, le père ancien commerçant, et de surcroît ruiné, étant une compagnie peu distinguée. II/ Un moment capital dans la vie d’Eugène Eugène a une réelle prise de conscience par rapport au passé. Il se révolte contre le spectacle de la pauvreté. En effet, il lui manque Vingt sous et « Ce fait si léger en lui-même détermina chez Rastignac un accès d’horrible tristesse ». La tristesse domine, il est démuni et n’est plus celui qu’il était. Il réalise l’importance

monstres, des soldats et la guerre, et, partout, la misère qui poisse, la révolte … L'œuvre de Tardi est très explicite. Son travail sur la Première Guerre mondiale (C'était la guerre des tranchées) est salué unanimement. Il évoque en particulier les soldats fusillés pour l'exemple. Son grand-père avait été gazé pendant cette guerre[réf. nécessaire]. De ses choix d'auteurs (adaptés, illustrés comme Céline, Daniel Pennac, Jean Vautrin, Léo Malet …) se dégagent des cohérences affectives, imaginaires, mais

funèbre de C conventionnelle et écho du bn sens pop, sorte de vérité du bn sens La fin de l’initiation de Rastignac Narrateur souligne la solitude E auprès de l’agonisant, son dévouement, sa fidélité envers G qu’il soigne et veille av constance Vautrin arrêté, G décédé, le héros de roman d’apprentissage est livré à lui-mm. Leçon initiateurs et mtn trace sa route Focalisat° sr R à la fin, pers solitaire, différencié des autres, par son mutisme, son respect, sa compassion nn feinte, nn conventionnel