Rêves Réalité

de ne pas faire confiance à nos sens, il semble que toute saisie de la réalité nous soit alors interdite. D’un autre côté, si l’on considère que nos sens sont fiables, il nous faut alors porter autant de crédit à nos rêves qu’aux perceptions qui nous parviennent lorsque nous sommes éveillés. Quelle que soit l’option pour laquelle on se décide, on doit ainsi opérer un pari risqué sur le sens que l’on accorde aux notions de réalité et de vérité. La question pourrait alors se résumer ainsi : nos sens

utopie (cf. Utopia de l’anglais Thomas More) L’Eldorado est présenté d’entrée comme un espace merveilleux : →on ne peut y accéder que grâce à un miracle ou un hasard, ici c’est le courant. →on passe sous une voute qui marque la rupture avec la réalité, le monde réel, plus tard le roi confirmera que le pays est inaccessible et surtout qu’il est impossible d’y revenir si on le quitte. →contraste entre cet Eden (paradis) et l’enfer (monde réel que Candide a quitté). L’Eldorado est l’antithèse de

choses dont la vue nous est pénible dans la réalité (…) leur contemplation est apporte un enseignement et permet de se rendre compte de ce qu’est chaque choses. » L’art est donc naturel, et vient nous apporter par ce qu’il représente, une meilleure connaissance du monde. Hegel, dans « cours d’esthétique I », y verra le moyen de « purifier » le quotidien, obstrué par la raison et le pratique ; l’art est en quelque sorte le moyen de revenir à la réalité première de l’idée, nue, sans tous les affres

Pourtant la priorité revient à notre monde subjectif et original * « C’est du fond de sa subjectivité que chacun projette ce monde « unique » » Maurice Merleau-Ponty * Le problème * Comment savoir que notre représentation est conforme à la réalité ? * Peut-on s’assurer que le monde existe ? * Que je ne rêve pas ? Que la vie n’est pas un songe (Calderon) ? * Que je n’hallucine pas ? * Que je ne suis pas seul ? ------------------------------------------------- Texte 1 -------------------------------------------------

DIRECTE ET INDIRECTE  Argumenter c’est convaincre et/ou persuader. Convaincre = donner raison, réfléchir avec son esprit, sa tête. C’est donc démontrer de façon logique, rationnelle. Persuader = faire appel aux sentiments, émotions, désirs, rêves c’est obéir à son cœur, ses instincts. On utilise des métaphores, des comparaisons, des allégories, on utilise l’art de la rhétorique. Il existe deux formes d’argumentation :  ARGUMENTATION DIRECTE : Le locuteur parle a des interlocuteurs

de Nerval au début de l’Aurélia. Mais la première vie, celle que nous menons lorsque nous sommes éveillés, est-elle bien différente de la seconde ?L’opposition semble bien évidente. En effet, le rêve dans sa définition même semble dissocié de la réalité. Lorsque nous disons de quelque chose que c’est un rêve, nous entendons naturellement que cette chosen’a rien de réel. Le rêve a cependant plusieurs sens à ne pas confondre, il peut être le rêve au sens d’activité psychique, avec suite d’images se

« L'hiver » → une saison connue de tous et qui existe. Volonté d'ancrer le texte dans un certain réalisme afin de montrer que la situation vécue est vraie. Le réel dans ce texte, c'est d'abord un cadre spatio-temporel précis et existant en tant que réalité connue et vécue par tous. Le réalisme de la vie quotidienne des habitants. « Les maisons sont de briques, sans étages » → une phrase simple, presque lapidaire : un seul verbe et une seule juxtaposition nominale qui montre à la fois la simplicité

Discours direct. Monologue intérieur, elle rêve. pot au lait vers 22 à 27 ->Retour à la réalité, chute du pot vers 30 à fin -> Tout le monde peu être touché par cette généralité-- Réflexions sur la morale Pot représente fortune  transformation successive croissante : lait-argent-cent œufs-couvée-poulet-cochon-une vache et son veau  Morales: Il ne faut pas prendre ses rêves pour la réalité/ Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Cette Part

plaisir et le principe de réalité.L’homme est mû par un désir, mais face à ce désir il y a la réalité qui limite, voire empêche la réalisation de ce désir. - Ici la réalité peut vouloir dire l’impossibilité matérielle de réalisation de ce désir mais aussi le caractère illusoire de ce dernier lorsque son objet n’existe pas. - Notre moi conscient est à la jonction entre nos désirs inconscients et la réalité. -Si tous nos désirs ne peuvent se réaliser, ils nous quittent pas pour autant, ils sont refoulés

des sens, tout ce qui provient des rêves, les démonstrations) L’individu est porté à se fier aveuglément à ses sens donc Descartes ne veut plus être trompé par ses sens, car il ne sait pas lorsqu’il est trompé ou non, les sens ne sont pas fiables. On ne sait pas toujours faire la différence entre nos rêves et la réalité. On croit parfois profondément dans nos rêves ou nos illusions. La différence entre les deux n’est pas claire. Ce que je crois être une réalité n’est peut-être qu’une illusion. Donc